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[Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8)

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Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
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MessageSujet: [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) Icon_minitimeSam 13 Déc - 16:23

Fandom : Fashion Boy
Prompt : Surtout ne pas se plaindre.
Note : la suite:D

***

Mon psychologue préféré désirait plus que tout guérir son patient le plus compliqué. Moi. Non seulement je le décevais dans tout ce que j’entreprenais, mais en plus voilà que je travaillais dans un magasin de vêtements mixtes. Que j’aidais les femmes comme les hommes à se trouver des habits, que je donnais des conseils fringue.
- Tu es un garçon Clovis, pourquoi ne pas travailler comme mécanicien ?
- Je sais à peine changer une ampoule. Les vêtements au moins je m’y connais.
- C’est justement le problème. Ce n’est pas normal et tu le sais.
C’était lui qui le disait. Lui et mes parents. Je trouvais la guerre anormal, eux c’était les garçons qui aimaient les habits et la couture.
- Shana serait une bonne mécanicienne, elle aide son père de temps en temps.
- Shana est une fille, vous avez tout inversé.
- Cela va m’empêcher d’être heureux ?
- Bien sûr que oui. On ne peut pas trouver le bonheur quand on est… Rejeté par la société.
Je ne me sentais pas rejeté par la société toute entière. Je ne me sentais pas si malheureux que ça, pas tant que je pouvais coudre en tout cas.
- Si vous le dites.
- Je le dis, et j’ai raison. Tout au fond de toi, tu le sais. Laisse moi t’aider à devenir un vrai garçon viril.
Le plus difficile au cours de ces séances étaient de ne pas éclater de rire, ou de rage. Que c’était dur de retenir les répliques acerbes qui me venaient dans la tête. Un vrai garçon viril était-il l’antonymie d’une vraie fille à la cuisine ?
N’y avait-il pas « interdiction à la misogynie, aux préjugés, à la bêtise » quand on signait un diplôme de psy ?
Ce type était-il vraiment psychologue d’ailleurs ? Parfois je me disais qu’il était un gourou pour parents perdus dont les enfants sont si décevants. Des enfants qui n’étaient pas le portrait copié/collé de leurs parents, qui avaient des idées différentes, qui avaient grandi sans être à leur image. Je fini par couper le psy dans ses élucubrations.
- On peut terminer la séance plus tôt ? Je dois aller à l’aéroport.
- Pourquoi ?
- Dire au revoir à quelqu’un.
- D’accord mais en échange promet moi de réfléchir à tout ce que je t’ai dis.
- Promis.
Je me levai, un au revoir vite fait, et sortit enfin de ma séance hebdomadaire. Réfléchir à ce qu’il avait dit. Voyons voir. Etre un vrai garçon viril, ne pas travailler dans un magasin de vêtement, renoncer à son rêve. Hors de question. Voilà j’avais réfléchi assez longtemps.
Je montai dans la voiture des parents de Shana qui m’attendait à la sortie.
- Alors ta séance avec monsieur coincé-du-cul c’était comment ? Me demanda Shana après que j’ai salué sa mère qui conduisait.
- Comme d’habitude. Il m’a demandé d’être un vrai garçon viril pour devenir heureux.
- Super. Tu sais ce qu’il te reste à faire !
- Mettre des chaussures à crampon et jouer au foot ?
- Ou bien t’engager dans l’armée.
- Quelle horreur, je crois que je vais rester un faux garçon.
- Bonne idée.
Nous échangeâmes un sourire.

***

A l’aéroport, je le remarquai tout de suite. Peut-être parce que l’air semblait tout glacé autour de lui. Jude avait cet effet là, les gens se sentaient refroidis en sa présence. A cause de ses paroles acerbes et de son regard hautain. Pourtant quand on le connaissait bien, on savait que Jude était un type sympa et carrément bizarre. Assez attachant par certains côtés. La mère de Shana décida d’aller visiter quelques boutiques de l’aéroport en nous attendant, et Shana et moi rejoignîmes Jude.
- Vous êtes venu, dit-il en nous apercevant.
Je hochai la tête et Shana répondit :
- Moi je m’en foutais mais Clovis a insisté.
Je filai un coup de coude à ma meilleure amie.
- On voulait venir te dire au revoir.
Jude sourit :
- C’est cool. C’est des beaux adieux, je suis tout ému.
- Tu reviens dans un mois, ce ne sont pas vraiment des adieux.
- Sauf si l’avion se crashe.
Je levai les yeux au ciel :
- Tu es vraiment positif.
Jude partait pour un mois aux Etats-Unis afin de rencontrer d’autres couturiers et d’apprendre de nouvelles techniques et améliorer les siennes. Il m’avait promis qu’en revenant il me révélerait tous les secrets qu’il aurait apprit.
Je m’étais senti obligé de venir lui dire au revoir avant qu’il parte. Après tout, il faisait partit de mes amis.
- Ton père n’est pas là ? Demandai-je.
- Non, et heureusement. Il n’a pas voulu me lâcher de la soirée parce qu’il ne voulait pas que je parte. Il est vraiment ennuyant. S’il avait été là j’aurais dû me cacher pour qu’il ne me rende pas ridicule.
Il était vrai qu’Omer Shiver avait une manière très spéciale de montrer son attachement à son fils, il était bien plus exubérant que ce qu’il montrait quand il passait à la télé.
- Je vais devoir bientôt passer les contrôles, vous êtes arrivés juste à temps.
- Bon ben A+ Jude. Lâcha Shana.
Je tendis pour ma part la main pour serrer la sienne :
- Amuse toi bien, à bientôt.
Jude ignora totalement ma main tendue et me serra dans ses bras :
- Pour les adieux il faut un câlin obligatoire.
Je tapotai son dos un peu gêné par la situation, Jude fini par me relâcher :
- Ce ne sont pas des adieux, insistai-je.
Jude ne répondit rien et se tourna vers Shana qui leva les mains devant elle :
- Pas besoin de câlin.
- Je voulais juste te dire au revoir.
Shana hocha simplement la tête. Jude commença à s’éloigner, nous fit un dernier signe de la main avant de disparaître dans un couloir.
- Je me demande s’il va s’en sortir aux Etats-Unis… Il est tellement à côté de la plaque.
Shana me rassura :
- Je crois qu’il s’en sortira à sa manière.
Elle avait sûrement raison. En décalage avec les autres peut-être, mais je n’étais même pas sûr que Jude s’en rende compte. Il n’avait pas conscience de sa bizarrerie.
C’est ainsi qu’un mois se déroula, loin de Jude.

***

Les douleurs commencèrent à peu près le lendemain du départ de Jude. En me levant j’avais mal partout, aux jambes, aux bras et surtout au dos. J’aurais voulu rester allongé parce que me lever était encore plus douloureux, mais je savais ce que dirait mes parents si je n’allais pas travailler. Que j’étais fainéant, bon à rien, que je faisais semblant pour me faire plaindre.
Alors j’allai travailler et tant pis si me tenir debout était difficile. Je préférais encore ça, à supporter les commentaires de mes parents à mon égard. Pourtant je savais que ce n’était pas normal, je n’avais pas fait de sport – je n’en faisait jamais vraiment – alors pourquoi est-ce que j’avais l’impression d’être courbaturé comme après un marathon ? Peut-être que c’était grave, peut-être que j’avais de la fièvre (je n’avais pourtant pas cette impression) ? Mais ce n’était pas à mes parents que j’allais pouvoir en parler. J’étais trop persuadé qu’ils ne comprendraient pas ou ne me croiraient pas.
Depuis tout petit, dès que je tombais malade, je n’étais pas choyé et soigné, c’était plutôt l’inverse. Je devenais un poids. Mon père me traitait de fillette parce que je n’étais pas capable de supporter une toute petite grippe de rien du tout, ma mère pensait que je faisais exprès d’avoir de la fièvre pile le jour où elle avait des projets. Ma sœur était persuadée que j’étais une lavette tellement faible que je n’avais que ce que je méritais. Pourtant je ne tombais pas souvent malade, mais c’était comme ça, je n’avais tout simplement jamais le droit d’être faible. Etre malade peut-être mais surtout ne pas le dire, ne pas s’en plaindre.
Comme maintenant.

La douleur était de plus en plus difficile à supporter, et plus la journée avançait, plus je me sentais fatigué. Marcher jusqu’à un client m’était presque une torture, bouger chacun de mes membres me demandaient beaucoup d’efforts, je n’avais qu’une envie : m’allonger et ne plus bouger. Heureusement ma patronne, Samantha, était plus compréhensive que mes parents, elle fini par remarquer que ça n’allait pas.
- Clovis, tu devrais faire une pause.
- Merci.
J’allai m’asseoir avec un vrai plaisir dans l’arrière boutique, quelques minutes plus tard Samantha me rejoignit.
- Tu es malade ?
- Je ne sais pas. Dis-je. J’ai juste très mal aux articulations, courbaturé.
La femme posa sa main sur mon front. Elle avait l’air réellement intéressé par mon état.
- Tu n’as pas l’air d’avoir de la fièvre.
Samantha avait une bonne cinquantaine d’année, se teignait les cheveux en blond, et ses rides montraient qu’elle était une personne souriante. De ce que je connaissais d’elle, je la trouvais douce et bienveillante avec les clients. Je l’aimais bien et j’étais contente qu’elle s’occupe de moi à cet instant.
- Tu devrais demander à tes parents de t’emmener au médecin.
- Non, c’est bon, ça va aller.
Elle pinça ses lèvres :
- Tu es sûr ?
- Je ne sais pas, mais je ne veux pas embêter mes parents avec ça.
Samantha parut réfléchir quelques secondes puis fini par dire :
- Bon écoute, je suis amie avec une femme qui travaille à la médecine du travail, est-ce que tu veux que je l’appelle pour qu’elle te consulte ?
Je ne savais pas quoi dire :
- Elle me doit un service, alors tu es d’accord ?
Je fini par acquiescer. Et Samantha passa son coup de téléphone.

L’amie médecin de Samantha pu me recevoir trois jours plus tard. La douleur était toujours présente et j’étais content de pouvoir enfin voir un docteur. Celle-ci m’examina, me pesa, prit ma tension, et tous les trucs que font les médecins. Elle me prescrit des anti-douleurs et m’expliqua que j’étais en pleine croissance, que ça allait passer.
Moi ? En pleine croissance ? Je croyais qu’elle se moquait de moi, mais elle avait l’air très sérieuse. C’était ce qu’on appelait « une poussée de croissance », selon elle, la douleur était normal, j’allais aller mieux au bout d’un moment. En attendant les médicaments m’aideraient à supporter. J’avais un peu du mal à croire ce qu’elle me disait, je pensais qu’elle se trompait, qu’il y avait une autre explication. J’avais toujours été petit, et pour ne rien arranger un peu rond. Ma croissance s’était arrêtée au collège, tout le monde me dépassait d’une tête et j’étais devenu une proie facile. Je m’étais habitué à cet état de fait, je ne serais jamais grand.
Sauf que maintenant on me disait l’inverse, le médecin m’affirmait que j’allais pousser. C’était trop beau pour être vrai.

Les douleurs continuèrent tout le mois, mais avec les médicaments elles étaient beaucoup plus supportables. Mes parents n’avaient rien remarqué du tout, sauf une fois où j’avais profité de mon dimanche pour dormir un peu plus longtemps et où mon père m’a dit que je me servais de mon travail comme excuse pour ne plus aider à la maison.
Je ne vis pas beaucoup Shana pendant cette période, je me sentais trop épuisé le soir pour faire le trajet jusque chez elle, je rentrais directement chez moi, aidait le plus possible pour ne pas me faire rabrouer, et m’endormait épuisé dans mon lit. Je manquais de temps pour coudre, ça me manquait, mais je devais attendre d’aller mieux. Impossible de me concentrer sur la couture alors que j’avais parfois l’impression que mes os s’entrechoquaient.
Shana m’appelait, on s’échangeait des sms, je reçu une carte de la part de Jude. Elle représentait un chat avec un bonnet de noël (en plein été) et n’avait rien à voir avec les Etats-Unis. Il me disait qu’il avait trouvé la carte mignonne et qu’il avait pensé à moi, Jude parlait aussi des gens qu’il avait rencontré, et avait conclu par « tu me manques » et j’avais été content.

Au boulot ça se passait bien, j’aimais travailler entouré d’habits, et Samantha était vraiment une bonne patronne. Elle prenait soin de moi comme si j’avais été son fils, et c’était bizarre de se dire que cette femme que je ne connaissais pas y a deux mois, était plus douce que mes propres parents. Je le dis à mon psychologue, pour voir ce qu’il en pensait.
- Tes parents t’aiment tu le sais.
- Mais je les déçois tout le temps.
- A toi de ne plus les décevoir.
Bien, c’était de ma faute. Tout était de ma faute. Evidemment. Le fait qu’ils voulaient faire de moi une personne que je n’étais pas ne rentrait pas en compte dans les donnés.

Au magasin je servais surtout les clientes et de façon générale elles étaient satisfaites, j’étais capable de vendre quelque chose tout seul, pourquoi est-ce que cela devrait être mauvais juste parce qu’il s’agissait de vêtements de femme ?
D’autant plus que j’avais la côte auprès des femmes au dessus de cinquante ans. Je sais pas pourquoi mais certaines d’entre elles revenaient me voir et m’offraient des chocolats. C’était à la fois amusant et un peu effrayant. Je ne plaisais pas aux filles de mon âge mais aux femmes plus âgées… Trop pour moi. Dans un sens cela me faisait plaisir. Je leur rappelais peut-être leur petit fils ou quelque chose comme ça.

***

Le temps passa vite malgré mes douleurs et ma fatigue. En un clignement d’œil, on était un mois plus tard. J’étais à l’aéroport, encore. Shana à côté de moi. Shana qui avant me dépassait d’une bonne tête et que maintenant je regardais face à face.
- J’ai l’impression que tu es passé à la machine à écarteler.
- C’était un peu l’impression que j’avais moi aussi.
J’avais pris au moins dix centimètres et oui j’avais souffert et pourtant je ne m’étais jamais senti aussi bien. Pour la première fois depuis des années j’étais bien dans mon corps, comme si enfin mon âme avait trouvé sa place à l’intérieur. Je ne me sentais plus à l’étroit, j’étais bien dans ma peau. Je n’étais pas devenu un canon de beauté, j’avais toujours des rondeurs, des cheveux frisés et ternes, mais je voyais enfin le monde à la bonne hauteur. Ca me suffisait.
Jude arriva enfin après plus d’une heure d’attente. Il me regarda droit dans les yeux :
- Qui êtes-vous ? Me demanda-t-il.
Je lui souris.
- Toi tu n’as pas changé.
Il hocha la tête, me prit dans ses bras :
- C’est le câlin des retours j’imagine.
- C’est ça, répondit-il.
Shana se contenta d’un bonjour. Puis Jude fouilla dans son sac :
- J’ai des cadeaux.
Il avait ramené un tee-shirt « I love NY » à Shana, et à moi…
A moi il m’avait ramené un serre-tête avec des oreilles de mickey.
- Elles sont super non ? J’ai tout de suite pensé à toi en les voyant.
- Tu trouves que j’ai une tête de souris c’est ça ? Demandai-je faussement vexé.
Jude éclata de rire :
- Non pas du tout, mais je me disais que tu serais mignon en les portant.
Je roulai des yeux puis installai le serre-tête sur ma tête :
- Tu as grandi pendant mon absence, mais ça te va bien quand même.
Mon sourire s’élargit et Shana toussota à côté :
- Tu as l’air parfaitement ridicule Clovis.
Ce qui nous fit rire tous les trois.

Un mois à la fois long et court. Le lycée reprenait dans une semaine, et dans deux j’aurais dix-huit ans. J’avais gagné un peu d’argent que je mettais de côté, j’avais demandé à Samantha si je pouvais continuer à travailler le samedi. Ma vie prenait un sens que j’aimais, même si mon psy détestait cette direction.
Et j’avais des alliés. J’avais Shana. J’avais Jude.
- Et si on allait se boire un café avant de se séparer ?
Shana et moi acceptâmes avec plaisir. Et malgré ce que disait mon psy, j’étais heureux comme ça. Parfaitement heureux.

A suivre.
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Danashulps
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MessageSujet: Re: [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) Icon_minitimeSam 13 Déc - 21:16

Jude. Jude. Jude. :'D Lol.
(j'comprend que Mamaeve imagine du Jude x Clovis dans ce chapitre....)
Pauvre Clovis Sad. Plus ça va moins j'aime ses parents. Et son psy est juste con.
Mais j'adore.
Swato
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MessageSujet: Re: [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) Icon_minitimeSam 13 Déc - 22:35

Aie, aie, aie poussée de croissance, c'est clair que ça doit faire mal v_v
Moi j'ai pas eut ça mais mon frère oui, c'était compliqué >< J'ai compatis avec Clovis, je l'ai trouvé mignon, j'ai haï son psy (de toute mon âme) et ses parents encore plus... Et Jude, Jude <3 Bon sang ce que je l'aime ^^
Maeve
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MessageSujet: Re: [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) Icon_minitimeJeu 25 Déc - 23:46

Et coucou! Very Happy

Tu avais déjà eu certains de mes commentaires par texto mais aaaaaaahhh!!!

Les parents de Clovis sont simplement abusifs et maltraitants. Voilà, je l'ai dit.

Et qu'est-ce que le psychologue me gonfle. :'D

Mais Juuuuude!!! En fait, Clovis le fait fondre totalement, pas vrai? :'D Un mignon petit chat lui fait penser à lui, il lui ramène des oreilles de Mickey parce qu'il pensait qu'il serait mignon avec...

Et il ne fait des câlins qu'à lui, pas à Shana (il en profite à fond, à prendre le premier prétexte pour lui subtiliser des câlins en douce xD).

Et je ne suis pas sûre que Shana ait reçu une carte non plus. :'D

BREF. Je voiiiiiis ce que tu prépares, ahahaha! *coeurs partout* (j'adore Jude!!)

Merci!! Bon courage pour la suite, surtout!!


Maë

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MessageSujet: Re: [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) [Originale] Un garçon ce n'est pas petit. (chapitre 8) Icon_minitime

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