[Originale] Un garçon trouve un travail. (chapitre 8)

Fandom : Fashion boy
Prompt : Ne te laisse pas faire !
Note : vive p&f

***

C’était le dernier trimestre, et ça se sentait. Les profs étaient complètement stressés parce que c’était bientôt le Bac de français. Tout à coup ils se mettaient à rabâcher ça deux fois par jours, en nous donnant encore plus d’exercices. Le prof de physique, surtout, s’énervait tout seul en crisant « que nous étions en retard sur le programme et que nous devions nous dépêcher ». Personnellement je n’étais pas vraiment stressé. J’aurais sûrement pile la moyenne, ça me suffirait largement.
Shana me proposa d’aller réviser chez elle, et en guise de révision je commençai une nouvelle tenue. J’avais en ce moment envie de mettre du satin partout, adieu ma période tulle. Le problème c’était le prix. Mes parents me donnaient un peu d’argent de poche mais je commençais à manquer.
- Je pense trouver un boulot pour les vacances, dis-je.
- Bonne idée, m’encouragea Shana, moi je pense en profiter pour dormir le plus possible afin de rattraper toutes les grasses matinées ratée à cause du lycée.
Je souris, ça ne m’étonnait pas de Shana.

ooo

Alors que j’avais parlé de trouver du boulot pour les vacances, j’en trouvai un beaucoup plus tôt que prévu. Ma tante avait besoin de quelqu’un pour garder sa fille.
Je connaissais assez peu la sœur de mon père, c’était une femme toujours en vadrouille. Chaque fois qu’elle nous rendait visite, elle avait un mari différent, si bien que je ne savais pas trop qui était mon oncle. A dire vrai j’ignorais même qu’elle avait une fille avant aujourd’hui. Mon père l’appelait « l’écervelé » mais les jugements de mon père était souvent faux.
- Je te payerai bien sûr, dit-elle
- D’accord, acceptai-je.
- Clovis tu me sauves la mise, merci.
Je devais aller chez elle le samedi après midi jusqu’au dimanche matin. J’arrivai assez tôt. Ma tante avait des cheveux orange pétant et portait des habits tout aussi colorés. Je comprenais pourquoi mon père ne s’entendait pas trop bien avec elle.
- Clovis, génial, tu es à l’heure. J’admire ta ponctualité. Viens je vais te présenter le petit monstre.
Ma tante me poussa à l’intérieur. Une petite fille brune de trois ans était entrain de colorier un dessin sur une feuille, écrasant son feutre sur la feuille.
- Clotilde, je te présente ton cousin Clovis, il va te garder aujourd’hui. Ah tiens c’est marrant, Clovis et Clotilde. Vous allez bien vous entendre, puis que ces deux là étaient mariés à une autre époque.
Clotilde leva les yeux vers moi :
- Bonzour Totis !
- Bonjour Clotilde.
Ma tante eut l’air satisfaite.
- Je peux vous demander pourquoi vous n’avez pas pensé demander à Ana ?
- Anastasia ? Oh non alors, quelle peste. C’est le portrait craché de mon crétin de frère, non merci. Et tutoie moi !
Je souris intérieurement, je n’étais pas le seul à ne pas m’entendre avec ma sœur apparemment. Ma tante me fit faire le tour du propriétaire, elle avait laissé à manger dans le frigo pour le soir, je n’avais qu’à faire réchauffer. Elle me donna une liste de numéro à appeler au cas où j’avais besoin. Puis me donna quelques conseils et finalement me remercia encore et partit. Je me retrouvai seul avec la petite.
Je n’étais pas très doué avec les enfants, mais je supposai que ce ne devait pas être bien difficile. Ma tante m’avait conseillé de mettre la petite à la sieste pour commencer.
- Alors Clotilde, on va faire un dodo ?
- Non.
D’accord, ça commençait mal. Il allait falloir que je trouve une idée.
- Tu veux que je te lise une histoire ?
- Non.
Bon.
- Il faut que tu ailles dormir d’accord ?
- Non.
Au secours ?
Clotilde continuait de colorier son dessin et je m’accroupis près d’elle.
- Il est très beau ton dessin.
- Tu dessines toi ?
- Oui un peu !
- Fais un dessin.
J’obéis, remarquant que Clotilde était apparemment plus doué que moi pour se faire obéir. Je dessinai ce que je savais le mieux faire, un modèle avec une robe.
- Princesse ? Elle est belle !
Je lui souris et je dessinai une autre tenue.
- Tu sais bien dessiner Totis.
- Merci. Alors, tu veux bien aller à la sieste ?
- Non !
- Et je te ferai d’autres dessins ?
La petite sembla hésiter quelques secondes puis finalement répondit :
- Non ! On zoue !
Il était clair que je n’avais pas vraiment le choix. C’est en emmenant la petite dans sa chambre que j’eu une idées.
- On va jouer à la belle au bois dormant, tu connais ?
- Ouiiii !
- Super. Dis-je.
Tout d’abord, il fallait lui trouver une robe. Je fouillai dans ses habits et dans ses déguisements. Elle avait une robe de princesse – pas très jolie – mais qui ferait l’affaire. Après que j’y ai fais quelques modifications – heureusement j’avais avec moi tout ce qu’il fallait pour l’améliorer. Je fis des retouches au déguisement.
- Tu fais quoi ?
- Je te couds une vraie robe de princesse pour le jeu.
La petite me regarda faire le pouce dans la bouche. Puis elle se lassa et alla jouer avec ses cubes. Finalement je revins vers elle :
- Alors la belle au bois dormant doit porter sa robe. Dis-je en lui montrant le costume.
Clotilde écarquilla les yeux devant l’amélioration de son ancienne robe de princesse et tendit les bras pour que je lui enfile la robe.
- Ensuite, la princesse doit aller faire pipi sur le pot.
La petite obéit. Pensant que ça faisait partit du jeu.
- Alors c’est quoi l’histoire de la belle au bois dormant ? Demandais-je à l’enfant.
- Elle a piqué le doigt à cause de la sorcière et elle fait dodo !  
- Très bien ! Tu le connais par cœur.
- Oui !
- Donc tu dois te piquer le doigt pour faire le jeu, et ensuite tu dors !
Elle fronça les sourcils quelques secondes cherchant le piège, puis fini par accepter de jouer le jeu. Clotilde fit semblant de se piquer le doigt et alla se coucher dans son lit. Le pouce dans la bouche, elle ferma les yeux. Il lui fallu deux minutes seulement pour s’endormir.
Je n’étais finalement pas si nul que ça avec les enfants.

ooo

- Un dessin animé ! Réclama la petite après que je lui ai donné à manger le soir.
Après sa sieste on avait fait quelques jeux, puis je lui avais fait prendre son bain avant de la nourrir. Je pouvais bien lui accorder cinq minutes de télévision.
En tombant sur Phineas et Ferb, je considérai que c’était un dessin animé tout à fait potable et laissé la petite regarder celui-là. Ca a eut l’air de l’amuser, même si je n’étais pas sûr qu’elle comprenne tout ce qu’il se passait à l’écran. Elle tapa des mains quand ils se mirent à chanter, et je tapai des mains avec elle, parce que c’était amusant.
- Allez au lit. Fis-je quand l’épisode prit fin.
- Totis lit une histoire !
- Bien sûr. Tu choisis.
Dans sa chambre, Clotilde alla prendre un livre dans sa petite bibliothèque. Je failli éclaté de rire en voyant le titre « le féminisme apprit aux enfants ». Il était facile de comprendre tout de suite les idées de ma tante. Peut-être que j’aurais dû apprendre à la connaître un peu mieux, si ça se trouve on avait beaucoup de points communs.
Je lu le livre à Clotilde qui n’arrêta pas de poser des questions, puis elle alla chercher un nouvel album :
- Encore !
- D’accord mais c’est le dernier, ensuite dodo.
- D’accord !
Bien entendu, quand j’eu fini ce livre, elle couru en prendre un autre et je ne pu lui refuser la lecture. Cette gamine me faisait tourner en bourrique.
Au bout du cinquième album, elle se frotta les yeux et bailla.
- Dodo maintenant.
- Le bisou !
J’embrassai son front.
- Totis est trop zentil. Ze t’adore. Dit-elle pendant que je la bordais dans son lit.
Au moins il y avait quelqu’un dans ma famille qui m’aimait. C’était une gamine de trois ans, mais j’étais content quand même. J’éteignis la lampe et allumai sa veilleuse. Clotilde serra fort son nounours et je la laissai s’endormir tranquillement.
Je profitai d’avoir un peu de temps pour moi pour continuer à coudre le petit chemisier que j’avais commencé dans l’après midi pendant sa sieste. Il était pour Clotilde et je le fabriquai avec des restes de tissus, ne laissant rien se gâcher.  
Je m’endormis très tard sur le canapé. Ma tante me trouva là en revenant et me laissa dormir. Je me réveillai à midi et elle m’invita à rester manger.
- Merci d’avoir gardé Clotilde, voilà ta paye.
Ma tante me tendit un chèque de 200 euros.
- C’est beaucoup trop, je ne peux pas accepter, fis-je poliment.
- Bien sûr que si tu vas accepter.
- Non je…
- Tu acceptes ou je me fâche !
Je n’avais pas vraiment le choix.
- Bon d’accord.
- Bien. J’ai vu ce que tu avais fait de la robe de princesse de Clotilde, et aussi le chemisier que tu as cousu. Tu es plutôt doué.
- Merci.
- J’imagine que ton père ne te laisse pas faire.
- Vous imaginez bien.
- Tutoie moi, je suis ta tante, pas une étrangère.
- Tu imagines bien, répétais-je un peu gêné.
- Quel crétin. Il a toujours eu un petit pois à la place du cerveau celui-ci. En tout cas, avec l’argent que je t’ai donné, tu vas pouvoir financer le tissu pour d’autres créations.
Je compris mieux pourquoi elle m’avait donné autant, elle voulait m’encourager ;
- Merci, répétais-je.
Elle me sourit.
- Tu es le mieux de la famille Clovis. Je regrette de pas être souvent là pour plus te soutenir. Déjà petit, je te trouvais plus gentil et intelligent que tes parents et ta sœur.
Je fus touché par ses paroles. Même si elle ne m’avait pas beaucoup vu, ma tante m’appréciait.
- Garde mon numéro de téléphone, si t’as besoin appelle moi. J’imagine que ce ne doit pas être facile tous les jours chez toi.
- Comment vous… Comment est ce que tu le sais ?
- C’est facile à deviner. Mon frère ressemble à notre père, aussi bouché que lui. Ta sœur est une peste. Et ta mère a l’air aussi intéressante qu’un cloporte. Bon peut-être que je devrais pas dire du mal d’eux mais…
- Ce n’est pas grave, la coupai-je.
- En tout cas, reprit-elle, maman m’a parlé de ta passion pour ta couture, tu sais avant qu’elle ne meure. Ajouta-t-elle tristement. Et je me suis dit que t’allais galérer dans ta famille. Mon frère a toujours été persuadé que pour être un vrai mec il fallait suivre tous les stéréotypes débiles qu’on rabache dans les médias.
- C’est vrai.
- C’est dommage. J’ai vu ce que tu pouvais faire avec pas grand-chose. Qu’est ce que tu aimerais faire plus tard ?
- Couturier, répondis-je.
- Je m’en doutais. Bon courage. Poursuis tes rêves même si c’est difficile, okay ?
- Okay.
Elle ébouriffa mes cheveux d’un geste tendre, ma tante m’aimait et m’encourageait plus que mes parents. Clotilde, qui mangeait à côté, finit par nous rappeler qu’elle était là en se mettant à babiller, et ma tante s’occupa de sa fille.
Avant de partir je l’interrogeai sur le petit livre que j’avais lu la veille à Clotilde :
- Oh ça ! Je voudrais lui apprendre les bonnes choses dès toute petite, j’aimerais qu’elle ait l’esprit ouvert et libre. J’ai peur que la société l’écrase sous les préjugés et lui fasse croire qu’elle n’a qu’un seul chemin en tant que fille.
- C’est une bonne idée. Dis-je. J’envie un peu Clotilde, j’aimerais que mes parents pensent comme toi.
Ma tante me serra alors fort dans ses bras :
- Courage mon grand. Tu vas t’en sortir. Ne te laisse pas faire ! Et sinon, appelle moi.
Je souris.
- D’accord.
Je venais de me trouver une nouvelle alliée. Et deux-cent euros pour poursuivre ma passion.

ooo

Le deuxième petit boulot que je me trouvai par hasard, ce fut grâce à Judicaël.
- Bientôt le Bac ? Me demanda-t-il soudainement alors que nous étions entrain de réfléchir à une nouvelle création.
- Oui.
- Ca va ? Tu t’en sors ?
- A peu près. Et toi ? Tes partiels ?
Jude fit la moue et devint pâle.
- Ca ne se passe pas bien ? Devinai-je.
- Je crois que je vais redoubler, je ne m’en sors pas. Je ne comprends pas, pourtant j’adore l’histoire, mais je mélange tout.
J’avais remarqué.
- Je ne pensais pas que ce serait si compliqué, je pensais qu’il suffisait que quelque chose nous plaises pour que ça devienne facile.
- Pas toujours, il faut faire beaucoup d’efforts des fois, mais si tu y tiens tu vas y arriver. L’encourageai-je.
- Mouais.
- Pas de mouais qui tienne. Tu sais que c’est ma grand-mère qui m’a apprit à coudre, mais au début j’étais vraiment nul, je n’arrivais à rien. J’aimais ça mais j’étais juste bon à faire des mouchoirs et encore. C’est elle qui m’a dit de ne pas abandonner. J’ai fais énormément d’efforts et voilà où j’en suis.
Jude m’avoua que pour lui la couture avait toujours été instinctive, ça lui avait paru simple dès le début. Mais l’histoire, c’était autre chose.
- Les gens de la fac se moquent souvent de moi parce que je confonds tout. Peut-être que je ne suis tout simplement pas fait pour ça, je devrais laisser tomber.
Je secouai la tête.
- Pas question !
- Mais je ne m’en sors vraiment pas, mes notes sont catastrophiques.
- Dans ce cas là, Shana et moi on va t’aider à réviser. Shana est une tête et je n’ai pas trop de difficulté en histoire, je m’y connais un peu. On n’est pas à la fac, mais ça pourrait déjà t’aider non ?
- Tu ferais ça ?
- Bien sûr. Après tout, toi aussi tu m’as aidé, je peux bien essayer de te rendre la pareille.
Jude retrouva le sourire et me remercia.

C’est ainsi que la semaine d’après, Shana et moi nous sommes retrouvés dans la chambre de Jude pour l’aider à bosser son histoire.
Jude savait énormément de choses, de noms, de dates, mais il confondait tout. Il pensait que Christophe Colomb avait fait le tour du monde et était persuadé que Galilée avait découvert la gravité.  
- T’es mal barré mon gars, fit Shana décourageante.
Je la fis taire.
- Bon on va reprendre depuis le début.
J’essayai de faire entrer dans la tête de Jude des événements, sur le coup il se rappelait de tout, mais au bout de quelques minutes, il commençait déjà à tout mélanger. Les noms, les époques, les événements. Il se souvenait de tout ce qu’on avait révisé mais pas dans le bon ordre. Shana ne nous aidait pas vraiment, elle était dans un coin et somnolait, pour elle Jude était un cas perdu.
Je décidai de faire une pause après deux heures d’acharnement intensif. Je regardai autour de moi pour trouver une idée afin d’aider Jude. Sa chambre ressemblait beaucoup à la mienne d’une certaine façon. Elle était plus grande et il avait tout un espace pour pouvoir coudre, mais ses murs étaient comme les miens, pleins de posters de mannequins et d’habits.
Je l’interrogeai soudainement sur la mode. Je lui posai des questions sur des mannequins, des dates, des événements. Judicaël était incollable, il ne se trompa pas une seule fois.
- J’ai une idée, finis-je par dire.
- Laquelle ?
- On va faire comme si les personnages de l’histoire étaient des mannequins et des couturiers.
- Tu crois que ça va marcher ?
- Je ne sais pas, mais on peut essayer non ?
Jude hocha la tête.

Deux heures plus tard Jude se souvenait que le mannequin Jeanne d’Arc avait été brûlé à Rouen et que le grand couturier roi Louis XIV avait construit le château de Versailles. Il se souvenait des dates de la guerre de 100 ans (de la couture) et avait assimiler pas mal d’autres choses. Ca semblait fonctionner.
- Je vais continuer à apprendre les événements les plus importants avec ta méthode. Dit-il le soir alors que Shana et moi devions partir. Merci tu m’as vraiment aidé.
Je lui souris.
- Attends, ne bouge pas, je vais te payer pour les cours.
- Pas besoin, dis-je. Je faisais ça pour te rendre service !
- J’y tiens, aucun prof ne m’a aussi bien aidé que toi.
Il revint avec un billet de cinquante euros pour moi et un de dix euros pour Shana.
- Pourquoi j’ai moins que Clovis ? S’insurgea-t-elle.
- Parce que tu as passé ton temps à somnoler.
- Pas faux, admit-elle.
Je pris le billet un peu gêné :
- Achète toi de quoi réaliser ton rêve, sourit Jude.
- Merci.
- Merci à toi. Vraiment.
Il me serra la main très fort et très longtemps.
- Merci. Répéta-t-il.
- Bonne chance pour tes partiels.
Jude hocha la tête et relâcha ma main, qui resta encore chaude plusieurs secondes.

Quelques semaines plus tard, Jude m’envoya un sms, il avait raté ses partiels, mais ses notes avaient tout de même augmenté.
« Je vais redoubler, mais grâce à toi je vais sûrement m’améliorer et je ne perdrai pas courage. Je poursuivrai mon rêve, comme toi tu poursuis le tien ».

ooo

Les deux cent cinquante euros que je gagnai grâce à Jude et ma tante, financèrent des nouveaux tissus pour des nouvelles idées de créations. Je mis également quelques sous de côté, pour plus tard, quand je partirais de chez moi.
Pendant quelques temps je dus faire une pause dans la couture, afin de réellement réviser pour le Bac de français. Shana le réussit haut la main et récupéra donc des tonnes de points d’avance pour la terminale. Pour ma part je ne m’en sortis pas si mal. Treize partout, sauf en maths où j’eus tout pile dix.
Mes parents trouvèrent mes résultats pas terribles, et félicitèrent ma sœur pour sa mention bien à son Bac. Les vacances arrivèrent.

Comme je l’avais dis, je cherchai un petit boulot pour bosser pendant l’été. Je trouvai une place comme vendeur dans un magasin de vêtements, c’était un simple job étudiant, mais j’étais plutôt content de travailler parmi les habits. J’avais deux mois pour gagner encore de l’argent et en mettre le plus possible de côté.
L’année prochaine serait la dernière de mon calvaire. Ensuite je partirais de la maison. J’essayerais de vivre mon rêve, et tant pis si mes parents n’étaient pas d’accord, il ne pourrait plus rien quand je ne serais plus là.

Mais en un an, il pouvait encore se passer beaucoup de choses.

A suivre.

HAHAHA. J'adore Clotilde.
(par contre, au tout début, Clovis tutoie une fois sa tante sans que ça ne paraisse lui poser de problème)

Jude est cute ! J'adore sa façon de retenir ! (j'avais un peu ma propre méthode... Dès qu'un tableau ou un fait historique avait une date proche de 1888 j'arrivais à le retenir à cause de ça ...Jack l'éventreur, mon sauveur)

(j'ai changé le tutoiement >O<)

Juste, j'adore tellement Jude ahaha :p

Que de péripéties ! Clovis est un battant, il va y arriver
Et je me répète mais j'adoooooore Jude, il me fait kiffer XD
Shana et sa passion pour le sommeil m'ont bien amusé aussi et les nouveaux personnages que tu as inséré dans l'histoire sont touchants, j'ai bien aimé la tante de Clovis, enfin une personne intelligente dans cette famille ! Je commençais à désespérer ! Et la petite Clotilde est mignonne

J'ai hâte de connaitre la suiiiiite ! Écris la vite !

Et coucou!

Je suis tellement, tellement contente, que Clovis ait trouvé une nouvelle alliée en la personne de sa tante! Il en a terriblement besoin. T T

Clotilde est trop mignonne.

Sacré Clovis et ses dates historiques. Ils font un chouette trio, tous les trois, même si là Shana n'a pas fait grand-chose. :'D

Merci encore pour cette histoire! Je te souhaite plein d'inspiration pour la suite!!


Maeve