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NEW [Les 100 - pas de spoil c'est une UA] Le ringard, le meilleur ami, la déesse, le truand et le grand frère (25)

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Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
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MessageSujet: NEW [Les 100 - pas de spoil c'est une UA] Le ringard, le meilleur ami, la déesse, le truand et le grand frère (25) NEW [Les 100 - pas de spoil c'est une UA] Le ringard, le meilleur ami, la déesse, le truand et le grand frère (25) Icon_minitimeMar 19 Avr - 20:31

Fandom : Les 100
Prompt : Je compte les moutons.
Note : J'ai pas relu, j'ai super mal au crane, ce chapitre est hyper court mais j'ai décidé de l'arrêter là, sinon il allait faire je sais pas combien de page. Il sert vraiment à que dalle, y a beaucoup de blablabla pour rien du tout, mais bon, vous allez me pardonnez n'est ce pas?
J'ai tellement pas envie que cette fic se termine, que les personnages causent et font leur vie.

***

25. Cachotteries.

Mi-mars. Murphy oscillait entre chez Wendy et Peter Pan et chez Bellamy. Cela dépendait de son humeur, mais également de où dormait Jasper. Si ce dernier restait chez Monty, Murphy choisissait obligatoirement Bellamy. Autrement il y réfléchissait. Il n’avait pas envie d’être le connard dépendant qui emménage chez son mec à seize ans et se fait entretenir. Puis il aimait bien également avoir ses moments solitaires, tranquilles, avec Bob l’Eponge, où il pouvait mettre de l’ordre dans ses idées.
Au lycée, ils se faisaient discret comme promis, s’embrassaient dans un couloir vide, s’enfermaient dans l’étude quand il n’y avait personne, allaient se retrouver sur le toit – après un SMS à Jasper pour qu’il ne débarque pas. Mangeaient ensemble, mais avec les autres. Finalement c’était moins difficile que ne l’avait pensé Murphy, c’était presque comme un jeu, sortir ensemble devant tout le monde sans que personne ne puisse le voir. Glisser sa main dans celle de Bellamy quand on leur tournait le dos ou quand ils étaient seuls, laisser Bellamy venir chuchoter à son oreille quand personne ne regardait, se fixer longuement en étude, demander de l’aide à Bellamy pour un exercice et frôler ses doigts sur la table, se faire du pied sous la table. Ca avait quelque chose d’émoustillant.
Murphy montait dans la voiture de Bellamy le soir, et au premier feu rouge, ils se roulaient des pelles, faisant parfois klaxonner les impatients quand ça passait au vert et qu’ils étaient toujours bouche contre bouche.
Ce soir là, Murphy avait eut envie de rentrer et d’aller squatter sa chambre Bob l’Eponge. Jasper lui avait dit qu’il ne resterait pas chez Monty. On était mardi soir et Murphy avait déjà passé pas mal de temps chez Bellamy. D’autant plus que le mercredi après midi, il allait sans doute le passer chez lui aussi. Il ne voulait pas s’imposer. Il demanda donc à Bellamy de le déposer devant la maison de Wendy et Seth.
- Tu en as déjà marre de moi ?
- De trop, et puis je manque à Bob.
- Quand je pense que tu préfères une éponge à moi.
Bellamy lâcha le volant d’une main pour la pose sur le poignet de Murphy.
- Et donc, tu vas vraiment rester avec Bob l’Eponge ?
- Si tu te demandes si je vais sortir cette nuit pour trouver quelqu’un d’autre que toi à baiser, je ne vais pas le faire.
Bellamy caressa le poignet avec son pouce et hocha la tête.
- T’es pas obligé de me faire confiance, fit Murphy, mais j’ai compris la leçon.
L’adulte approcha la main de Murphy jusqu’à sa bouche et l’embrassa. Puis il le relâcha.
- J’ai confiance, dit-il.
Murphy se pencha d’un coup vers lui et embrassa sa joue, avant de se remettre bien, sur son siège, les joues un peu rouges. Regardant par sa vitre pour le cacher. Bellamy sourit et Murphy marmonna :
- Tu peux venir, si tu veux. Enfin tu dois pas vouloir, il y a ta petite sœur dont tu dois t’occuper et en plus mon lit n’a qu’une place, et il y a Wendy qui fourre son nez partout. Alors bien sûr, ne fais pas attention à ce que j’ai dis.
Bellamy ne répondit pas, se gara sur le trottoir devant la maison de Murphy. Celui-ci tourna les yeux vers lui alors que Bellamy posait son front sur le volant. Ses épaules se secouaient et Murphy fronça les sourcils.
- Ca va ?
Bellamy hocha tant bien que mal la tête, puis arrêta de se retenir et éclata de rire.
- Quoi ? Demanda Murphy sur le défensive.
- Oh bon sang John, je ne savais pas que tu pouvais être aussi adorable.
Murphy devint réellement écarlate, il secoua la tête et sortit de la voiture. Bellamy coupa le contact, retira ses clés et le suivit.
- Je veux bien rester ce soir avec toi.
- Non j’ai changé d’avis, rentre chez toi.
Murphy accéléra le pas, il avait l’impression que sa nuque le brûlait et il ne voulait pas que Bellamy le regarde.
- Trop tard, j’ai pris ma décision.
Murphy haussa les épaules, enfonça les clés dans la serrure et rentra dans la maison, toujours suivit de Bellamy. Murphy monta les marches à toute vitesse, rentra dans la salle de bain et claqua la porte au nez de l’adulte. Il fit couler de l’eau très froide dans l’évier, mit la bonde et foutu sa tête dans l’eau.
C’était quoi ça ?
Il était débile ou quoi ?
Pourquoi il réagissait comme un gosse content de recevoir un compliment stupide ?
Il posa son poing sur sa poitrine et engueula intérieurement son idiot de cœur.
Murphy n’était pas préparé pour ça, il ne pensait pas que les choses tourneraient ainsi, la baiser okay, les câlins pourquoi pas, laisser Bellamy le bouffer des yeux et agir avec tendresse avec lui bien pas de problème. Mais il perdait le contrôle, son corps bougeait tout seul, il se mettait à rougir pour rien, il parlait bizarrement (les mots s’échappant de sa bouche dans un sens bizarre),
Il passa une main sur son front, tirant ses cheveux en arrière.
On l’avait pas prévenu que c’était ça, être amoureux.
- John ? Ca va ?
C’était Bellamy qui parlait à travers la porte.
Murphy vida l’évier et sortit de la salle de bain.
- Ouais.
Bellamy lui sourit et posa sa bouche sur la sienne.
Ils allèrent dans la chambre. Murphy posa son sac :
- Y a pas grand-chose à faire ici, dit-il. La plupart du temps je descend mater la télé, ou je vais sur le pc. Et sinon Jasper trouve un truc à faire et m’oblige à le faire avec lui.
- Et tu acceptes ?
- La plupart du temps, non, mais va savoir comment il s’y prends, je finis toujours par me retrouver à le faire quand même.
Bellamy rit et Murphy vint se coller contre lui et souffla :
- Mais évidemment avec toi, on a toujours de quoi s’occuper, sourit-il.
Bellamy lui rendit son sourire, posant sa main sur le creux de son dos, et l’embrassa.
- Tiens Bellamy tu es là, on te voit pas souvent par ici.
Ils sursautèrent tous les deux au son de la voix de Jasper et se séparèrent. Murphy le regarda exaspéré :
- Tu sais frapper avant d’entrer ?
- Ta porte était grande ouverte, rétorqua Jasper.
- T’es là depuis quand ?
- Je viens d’arriver.
Jasper regarda Bellamy qui tenait toujours Murphy contre lui et dit :
- Si vous avez décidé de faire des trucs interdits au moins de dix-huit ans, je ferai mieux de sortir, je ne veux pas entendre ça.
Murphy eut un petit ricanement moqueur :
- Prude.
- Pas forcément mais je vais faire des cauchemars si j’entends mon propre frère faire ça. Je ne pourrai plus jamais te regarder dans les yeux.
- Je ne suis pas ton frère.
Jasper haussa les épaules, et Bellamy, sans relâcher Murphy, dit :
- T’as pas à t’inquiéter, on va rien faire.
- Pour le moment, rajouta Murphy.
- Tu restes cette nuit ? Demanda Jasper.
- Sans doute. Répondit Bellamy.
- Alors faut que je sorte m’acheter des bouchons d’oreille, je ne veux pas entendre ça ! Insista Jasper.
Il alla vider son sac de tout son bordel – pas forcément de cours – en vrac sur son lit et compta le peu d’argent qui lui restait. C'est-à-dire deux centimes. Il revint vers Murphy et Bellamy qui étaient descendus pour regarder la télé.
- Frérot, je suis à court d’argent, tu ne pourrais pas m’en prêter ?
- Non. Et je ne suis pas ton frère.
- Allez, Murphy, s’teuplet. Seth m’a sucré mon argent de poche pour les trois prochains mois, je suis vraiment à court.
- Non.
- Murphyyyyyyyyyyyyyyy !
- Non.
Jasper fit une mine boudeuse et Bellamy se tourna vers lui :
- Je peux t’en prêter si tu veux.
L’adolescent passa d’une jambe à une autre, hésitant. Demander à Murphy qu’il prenait pour son frère, était une chose. Mais Bellamy c’était différent.
- Je ne voudrais pas abuser, dit Jasper.
L’adulte se leva, et alla vers sa veste pour chercher son portefeuille.
- Ca ne me dérange pas, si John est ton frère, je suis un peu ton beau-frère.
Murphy poussa un râle exaspéré depuis le canapé, et s’agenouilla dessus pour les regarder, depuis là où il était :
- Ne rentre pas dans son jeu !
Mais c’était trop tard, Jasper avait écarquillé les yeux puis soudainement tapé son poing dans le plat de sa main.
- Bien sûr, évidemment, pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ?
Bellamy lui sourit.
- J’ai une idée, on a qu’à sortir tous les trois, ça pourrait être sympa non ? Je pourrais même demander à Monty de nous rejoindre.
Murphy posa sa tête sur le dos du canapé.
A tous les coups, ils allaient vraiment sortir…

Jasper et Monty marchaient devant, tandis que Bellamy et Murphy restaient un peu en retrait, en se tenant par la main. Ils passèrent acheter des bouchons d’oreille pour Jasper, et Bellamy n’eut pas besoin de lui payer, Monty s’en occupa. Ensuite ils firent le tour de quelques magasins.
Murphy voulu passer à la pharmacie et Jasper demanda :
- Pourquoi ? Tu as mal à la tête ?
- C’est ça, j’ai mal à la tête, répondit Murphy avec un sourire en coin.
- Si c’est le cas, j’ai des médicaments.
- C’est pas pour ça, abruti !
Jasper réfléchit et ajouta :
- Si c’est pour des capotes, j’en ai aussi, finalement on s’en est jamais servi avec Octavia.
Bellamy fronça les sourcils et Jasper fit un sourire penaud :
- Désolé, je devrais te passer les détails.
- J’aimerais mieux.
Murphy se moqua :
- Genre, comme si tes capotes n’allaient pas être trop petites.
Jasper ouvrit une bouche outrée alors que Monty se marrait à côté.
- Je t’interdis de rire, c’est hyper insultant ça.
L’asiatique posa sa main sur l’épaule de son meilleur ami :
- Mais c’est drôle, dit-il.
Jasper secoua la tête et fit la moue. Murphy et Bellamy les abandonnèrent un instant pour entrer dans une pharmacie tandis que Jasper marmonnait qu’il était sûr que la taille de son engin était très convenable et pas du tout plus petite. En fait ils en savaient rien du tout, mais y avait une question de fierté là-dessous.
Ils s’arrêtèrent plus tard dans un bar, et furent tous obligé de boire les jus de fruits que Bellamy leur commanda de force – il s’en prit un lui aussi. Jasper et Monty ne râlèrent pas trop, mais Murphy fit une tête exaspérée.
Avant qu’ils ne rentrent, Jasper s’arrêta près de Bellamy et lui demanda un truc à l’oreille. L’adulte acquiesça, puis lâcha la main de Murphy qui fronça les sourcils :
- C’est quoi ces messes basses ?
- J’ai demandé à Bellamy s’il pouvait venir acheter un truc avec moi. Comme toi tu ne veux pas me prêter ton argent !
Monty qui les avait rejoint dit :
- Si tu veux je peux…
- Non ! Répondit Jasper hyper vite. Pas toi. Tu m’as déjà prêté des sous. Tu n’as qu’à raccompagner Murphy à la maison, on n’en a pas pour longtemps.
L’asiatique prit l’air à la fois surpris et méfiant, et Murphy à côté de lui semblait énervé. Bellamy se pencha vers lui et l’embrassa :
- Allez-y, on vous rejoint.
- Vous allez faire quoi ? S’agaça Murphy.
Jasper dit :
- On te l’a dit, Bellamy va m’acheter un truc, arrête d’être aussi méfiant. Regarde Monty, est-ce qu’il a l’air de se méfier ?
En fait oui, il en avait l’air. Bellamy embrassa encore Murphy, qui se laissa convaincre à contre cœur.
Bellamy et Jasper firent donc demi-tour, tandis que Murphy et Monty prenaient le chemin de la maison de Wendy et Peter Pan.
- A ton avis ils vont faire quoi ? Demanda Murphy l’air agacé.
- Ce qu’ils ont dit. Sans doute. Répondit Monty.
- Et pourquoi ils n’y vont que tous les deux ?
L’asiatique n’avait pas de réponse à donner à cela. Murphy shoota dans une canette au milieu du trottoir en ronchonnant, les mains dans les poches. Monty voulu poser sa main sur son épaule, puis s’arrêta au dernier moment et baissa la main. Il avait juste l’impression que Murphy allait lui mettre un coup par réflexe, s’il le touchait.
Ils firent le trajet assez silencieusement, mais Bellamy et Jasper les rejoignirent avant qu’ils arrivent devant la maison. Murphy enfonça ses mains dans ses poches pour empêcher l’adulte de le prendre par la main, il était toujours vexé d’avoir été mis sur le côté. Jasper avait un sourire de dix-huit kilomètres de long et Monty lui demanda :
- Tu as trouvé ce que tu voulais ?
- Oui.
- Et tu as acheté quoi ?
Jasper secoua sa main d’un air nonchalant :
- Oh rien d’important. Du papier photo, j’en avais plus.
- Et c’est tout ? Demanda Monty.
- Oui, c’est tout. Acquiesça Jasper.
De son côté Bellamy passa son bras autour d’un Murphy mécontent.
- Il m’a demandé à moi parce qu’il savait que tu ne voulais pas lui prêter d’argent.
Jasper ajouta :
- Faut pas être jaloux, je vais pas te le voler ton Bellamy.
- La ferme, marmonna Murphy.
Il finit par sortir les mains de ses poches, et laissa Bellamy enrouler ses doigts autour des siens.
Une fois à la maison, Monty resta un moment. Jasper profita de sa présence pour qu’ils fassent leurs devoirs ensemble, c’était plus marrant que tout seul. Du coup Murphy s’incrusta pour faire les siens, et Bellamy leur donna un coup de mains quand ils en eurent besoin.
- C’est comme si on avait l’étude à la maison, sourit Jasper.
- Et je fais ça gratuitement en plus. Fit Bellamy.
Murphy, qui se tenait près de lui, vint embrasser son cou :
- Je peux te payer en nature, dit-il.
Bellamy attrapa son menton pour qu’il le regarde et lui vola un court baiser :
- Je ne refuse pas.
Jasper préféra se concentrer sur son devoir de chimie que râler, Monty ne fit pas de commentaire non plus. Quand ils eurent fini leurs devoirs, il était déjà tard et Wendy et Seth étaient déjà rentrés du boulot.
- Je vais y aller, fit Monty.
Même s’il s’habituait à venir, il avait toujours du mal avec « les parents d’occasions ». Après tout, ils avaient failli virer Jasper de chez eux, et Monty ne savait jamais trop quoi leur dire. Jasper le raccompagna jusque sur le trottoir.
- A demain Jasper.
- A demain Monty-chan.
Monty lui fit un signe de la main, avec un air amusé puis s’éloigna. Jasper le regarda partir avant de retourner à l’intérieur. Murphy était entrain de dire à Wendy et Seth qu’il avait invité Bellamy pour la soirée et la nuit.
- On n’a pas de chambre en plus, fit Wendy, mais on pourra vous déplier le canapé, il fait lit.
Bellamy regarda Murphy et celui-ci haussa les épaules :
- On aura plus de place dans le canapé.
Wendy fronça les sourcils une seconde, puis secoua la tête, elle avait dû mal comprendre.
Pendant le dîner, Seth et sa femme posèrent quelques questions à Bellamy.
- Vous êtes donc le frère d’Octavia, une jeune fille très bien élevée.
- Merci. Fit Bellamy plutôt fier de sa sœur.
- Et vos parents ? Demanda Wendy.
Bellamy haussa les épaules :
- Notre mère est partie en voyage.
- Oh, où ça ?
- Elle a toujours rêvé de visiter Hawaii, elle est peut-être là bas à l’heure qu’il est.
Murphy ronchonna :
- On a fini avec les questions ?
Wendy dit :
- On a bien le droit de se renseigner sur ton ami.
- Ouais ben c’est hyper indiscret, soupira Murphy.
Bellamy posa sa main sur la nuque de l’adolescent.
- C’est bon, c’est rien.
Murphy lui jeta un coup d’œil et se tut, décidant de manger hyper vite pour écourter ce repas. Wendy garda ses yeux rivés sur la main de Bellamy, elle n’avait pas vraiment confiance en cet homme, elle trouvait qu’il avait des gestes déplacés. Bellamy surprit son regard sur lui, et enleva sa main. Jasper changea de sujet et parla de lui et de Monty.
- C’est dommage que ton meilleur ami ne reste pas souvent pour manger.
- C’est parce qu’il a horreur qu’on lui pose trop de questions, je crois. Fit Jasper l’air de rien.
Wendy pinça ses lèvres tandis que Murphy ne put retenir un ricanement. Seth relança un autre sujet. Bellamy accepta aussi de parler un peu de son boulot.
- Ce n’est pas difficile, il faut s’assurer que les ados ne confondent pas salle d’étude et salle des fêtes, puis aider ceux qui rencontrent des difficultés. Je garde de bons souvenirs de mes cours du lycée, alors de façon générale j’aime bien les aider.
Seth hocha la tête l’air de dire que les explications le satisfaisaient. Wendy avait plus l’air mitigé, mais elle ne posa pas de nouvelles questions. Murphy engloutit son dessert et se leva de table, attrapant le bras de Bellamy.
- On va là haut, dit-il ayant envie d’écourter le repas.
Bellamy n’avait pas fini son dessert, mais il se leva quand même.
- Merci pour le dîner, dit-il et il suivit Murphy.
Jasper attrapa le dessert de Bellamy et le termina à sa place. Wendy marmonna à son mari :
- Je ne le sens pas cet homme.
- Il a l’air très bien.
Jasper avala ce qu’il avait dans la bouche pour pouvoir parler :
- Bellamy est génial ! Plus je le connais, plus je l’aime.
Wendy s’offusqua :
- Tu l’aimes ?
Jasper avait repris une cuillère de dessert et marmonna la bouche pleine :
- Oui. Chest un amyi.
Il ne comprenait pas trop le ton de Wendy. Seth dit :
- Ce qu’il veut dire c’est qu’il l’apprécie.
Jasper hocha la tête et retira la cuillère de sa bouche :
- Oui c’est ce que je dis.
Wendy hocha la tête :
- Tu devrais faire attention aux choix de tes mots, ça peut porter à confusion.
- Ah bon ?
- Pendant un instant j’ai pensé que tu disais être amoureux de lui.
Jasper écarquilla les yeux, puis explosa de rire.
- Elle est bien bonne celle là, moi amoureux de Bellamy. Faut que j’aille la raconter à Murphy, j’ai hâte de voir la tronche qu’il va faire.
Sur ces paroles, il se leva de table et monta quatre à quatre les escaliers. Devant la porte fermée, il préféra toquer, il n’avait pas envie de tomber sur Murphy et Bellamy à poil entrain de se tripoter.
- Entre pauvre abruti.
Jasper ouvrit la porte, Murphy et Bellamy étaient tous les deux assis sagement sur le lit de l’adolescent, collés l’un contre l’autre, mais ils étaient sûrement juste entrain de discuter.
- Comment tu savais que c’était moi ?
- Tes pas d’éléphant dans l’escalier.
Jasper vint s’asseoir sur un bout de lit.
- Tu sais ce que m’a dit Wendy ?
- Non quoi ?
- Qu’elle a cru que j’étais amoureux de Bellamy.
Jasper recommença à rire devant la tête de Murphy et de Bellamy, tous les deux la bouche ouverte et les sourcils levés. Murphy bafouilla un truc qui ressemblait à « qu qu quoi ? ».
- Mais pourquoi elle a cru ça ? Demanda Bellamy.
- Parce que j’ai dis que je t’aimais.
- Evidemment elle a dû se poser des questions, ronchonna Murphy. Tu es nul dans le choix de tes mots.
Jasper grimaça :
- Les choix de mes mots sont très biens. On peut aimer de pleins de façons différentes.
Bellamy dit :
- Mais pour certaines personnes utiliser « aimer » peut être vraiment fort. Ca doit être le cas de Wendy.
Jasper haussa les épaules.
- Bah pas grave, c’était drôle quand même. Surtout vos têtes.
Il se remit à rire, puis se leva :
- Bon je vous laisse, ne faites pas trop de bruits.
- Mets tes bouchons d’oreille, lui dit Murphy.
- Ouais ouais. J’ai bien compris.
Jasper sortit de la chambre et entra dans la sienne. Préparant ses bouchons d’oreilles.

Murphy soupira puis embrassa le cou de Bellamy :
- Vous vous entendez vraiment bien, fit l’adulte.
- Hein ? Qui ? Quoi ?
- Avec Jasper.
- T’es sûr qu’il n’y avait pas d’alcool dans ton jus de fruits tout à l’heure ?
Demanda Murphy en posant son front sur celui de Bellamy pour tester la température.
- Qu’est ce que vous faites ? Demanda une voix féminine.
Les deux garçons se reculèrent pour regarder Wendy qui avait ouvert la porte de la chambre sans frapper.
- Je vérifiais s’il avait de la fièvre, fit Murphy.
- Et je n’ai pas de fièvre, ajouta Bellamy. Je vais très bien.
Wendy avait une tête choquée et elle restait plantée là sans rien dire, ce qui énerva Murphy, d’autant plus qu’elle était entrée sans frapper.
- Quoi ? Demanda-t-il agressivement.
- Je venais dire que Bellamy peut aller se coucher, on a déplié le canapé et mis des draps propres, une couverture et des coussins.
- Bien, répondit Murphy.
Bellamy se tourna vers lui :
- Tu veux descendre maintenant ? Y aura plus de place.
- C’est pas faux.
Murphy se leva, Bellamy derrière lui. Wendy était toujours là et demanda :
- Vous n’allez pas dormir ensemble ?
- Bien sur que si, ronchonna Murphy, on ne va pas dormir chacun de notre côté.
- Mais mais mais mais…
Murphy décida de l’ignorer, et sortit de la chambre suivit de Bellamy. Elle les suivit et Murphy lui lança :
- Quand Monty dort à la maison, il squatte le lit de Jasper, et personne ne dit rien, non ?
- Mais Monty a seize ans… Comme Jasper.
Murpy souffla d’exaspération.
- J’ai compris, j’essaierai de ne pas trop me frotter à Bellamy cette nuit.
Wendy avait des yeux ronds comme des billes tellement elle fut choquée par ces propos, Murphy en profita pour pousser Bellamy dans le salon et fermer la porte, à clé.
- Putain elle me gonfle.
Bellamy attrapa son bras pour le coller contre lui :
- Alors tu ne vas pas trop te frotter à moi cette nuit ?
Murphy leva un sourcil amusé, posa ses mains sur son dos, les descendant doucement jusqu’à ses fesses.
- J’ai menti.
Bellamy rit, et l’embrassa.
- J’aime mieux ça.

xxx

Quatre heures du matin, Murphy ouvrit les yeux et se les frotta. Bellamy était à moitié étalé sur lui et il repoussa son bras, ce qui fit grogner l’adulte qui se roula de l’autre côté. Murphy eut un petit sourire :
- Espèce d’ours, murmura-t-il.
Il vint doucement embrasser sa nuque, puis se leva. Après avoir couché ensemble ils avaient tous les deux remis leurs sous vêtements, des fois que Wendy vienne forcer la porte, où il ne savait quoi. Murphy s’étira, puis ouvrit la porte et sortit du salon pour monter dans la salle de bains. En sortant, il remarqua que la lumière de la chambre de Jasper était allumée et il ouvrit la porte sans frapper. Jasper était assit sur son lit, un pot de colle dans la main, une photo dans l’autre.
- Toi non plus tu ne frappes pas avant d’entrer. J’aurais pu être occupé à autre chose.
Murphy passa une main dans ses cheveux en baillant, et n’eut pas le temps d’ajouter quelque chose que Jasper le prenait en photo avec son polaroïd. Celui-ci commença à l’imprimer. Murphy sauta sur le lit pour essayer de lui prendre l’appareil :
- Qu’est ce que tu fous ?
- J’imprime cette photo, t’étais tout moche dessus, elle va être géniale ! Monty va l’adorer.
Murphy essaya de l’attraper mais Jasper se tortilla pour l’empêcher de la récupérer. Il n’eut pas le choix et se jeta sur Jasper, l’écrabouillant de tout son poids pour essayer de mettre la main sur la photo.
- Pourquoi tu veux filer ça à Monty ?
- C’est pour l’album que je lui prépare !
- Rends moi cette photo.
- Naaaaan !
Jasper continuait de bouger les bras, même avec Murphy étalé sur lui. Ce dernier essaya de le chatouiller, et Jasper se tortilla mais continua à protéger la photo.
- Je vois que tu prends du bon temps pendant que je me gèle sans toi sur le canapé, John.
Ils tournèrent la tête vers Bellamy et sa voix ronchonne. Murphy profita de l’inattention de Jasper, pour récupérer la photo puis il en fit une boulette et s’éloigna. Jasper râla :
- Mais elle était bien cette photo.
- Non.
Bellamy se frotta les cheveux et se passa ensuite la main sur le visage :
- Vous faites quoi ?
- Lui je sais pas, moi j’étais juste allé aux toilettes. Expliqua Murphy.
- Je fais l’album photo pour l’anniversaire de Monty.
Bellamy sembla comprendre et s’approcha :
- Oh donc tu as commencé ?
- Oui, merci de m’avoir acheté cet album, il est génial pour coller les photos.
- De rien.
- Je croyais que tu lui avais acheté du papier photos ? Demanda Murphy.
- Oh non ça c’était un mensonge pour Monty. J’ai acheté des tonnes de papiers photos quand j’ai eu l’appareil, parce que je savais que je ne pourrais pas m’empêcher d’imprimer tout le temps. En vrai, je voulais que Bellamy me prête de l’argent pour un album, pour pouvoir coller des photos dessus. Je voudrais l’offrir à Monty pour son anniversaire. C’est pour ça que j’avais besoin de la photo que tu as broyé avec ta main. Terroriste.
Murphy grogna :
- Ne me prends pas en photo quand je suis à moitié à poil, pervers.
- C’est pas comme si Monty en avait quelque chose à faire de ton torse !
- Sûr, il préfère le tien.
- Ben alors pourquoi tu t’énerves ? C’était pour ta tête, la photo.
Bellamy tournait les pages de l’album que Jasper avait fait, il y avait surtout des photos de lui et Monty. Des très vieilles photos de quand ils étaient petits qu’il avait décollé de son mur exprès pour les mettre, et des photos de maintenant, du nouvel an, et de la Saint Valentin.
Il y avait aussi des photos de Clarke, Wells, Finn, Raven, Octavia et Miller. Jasper avait hésité à mettre Maya, mais il n’avait de toute manière pas de photos d’elle, et il avait l’impression que Monty ne l’aimait pas trop. Il y avait celle d’Octavia et Bellamy qui faisaient des grimaces, qu’il avait imprimé pour Murphy. Il l’avait réimprimé spécialement pour l’album. Il y en avait quelques unes de Murphy, dont une où il était en bleu.
- Tu as déjà mis des photos de moi, pas besoin d’une autre.
- T’as peut-être raison… Je pourrais avoir une photo de vous deux ?
Bellamy acquiesça et Murphy finit par être d’accord aussi, mais seulement s’ils remettaient leurs tee-shirt, ce qu’ils firent en allant les chercher en bas.
Bellamy et Murphy se rassirent sur le lit, et Bellamy entoura l’adolescent de ses bras, posant son menton sur son crâne. Il sourit, pas Murphy. Jasper prit la photo et l’imprima.
- Super, vous êtes trop mignons.
Il la colla, et Bellamy prit l’appareil photo :
- Mettez vous l’un à côté de l’autre, que je vous prennes.
- Et pourquoi ? Demanda Murphy.
- Parce qu’on est frère ! S’extasia Jasper, C’est une super idée.
- On n’est pas…
- Oui oui. Viens là !
Jasper le tira par l’épaule et cola sa tête contre la sienne avec un grand sourire. Murphy garda un air boudeur et Bellamy prit la photo puis rendit l’appareil à Jasper, qui l’imprima pour la coller elle aussi.
- T’es au courant que demain y a cours ? Ronchonna Murphy.
- Oui je sais, mais j’étais trop impatient de faire l’album. J’ai essayé de dormir, de compter les moutons, mais pas moyen. Alors je me suis dis que ce serait plus utile de faire ça.
Bellamy proposa de l’aider et Jasper accepta, du coup Murphy resta aussi. Avec des feutres, Jasper écrivit des titres et mit des commentaires. Bellamy s’amusa à faire des petits dessins pour décorer. Murphy ne savait pas trop quoi faire, alors il prit le polaroïd et les prit en photo, puis l’imprima. Jasper lui sourit, et colla cette photo aussi.
- Je vois pas pourquoi tu veux des photos où je suis dessus, Monty ne m’apprécie pas du tout.
- C’est parce que t’es toujours entrain de l’enquiquiner. Tu lui fais toujours perdre patience. Mais il ne te déteste pas, et je suis sûr qu’il aimera les photos que j’ai choisies.
Murphy vit qu’il en avait mis une où, ils étaient tous les deux, lui et Monty. C’était le jour où ils étaient sortis faire de la luge, ils étaient sur la même luge, avec de la neige sur leur bonnet et un grand sourire tous les deux.
- Cette photo est géniale. Je l’ai aussi imprimé pour moi. Mon frère et mon meilleur ami. En plus vous être trop mignon dessus tous les deux.
Murphy pinça les lèvres et marmonna « je suis pas ton frère ». Bellamy, lui, acquiesça, vraiment d’accord avec Jasper, il trouvait Murphy absolument adorable avec ce sourire, ses joues et son nez rougis par le froid. Il embrassa sa tempe, gardant son nez contre lui. Murmurant à son oreille « je t’aime ». Jasper les prit en photo, l’imprima, et la colla aussi.
- Monty n’a pas besoin de cette photo ! Ronchonna Murphy.
- Si. On vous a aidé tous les deux, pour que vous réussissiez à démêler vos sentiments. Il a le droit d’en voir le résultat.
Murphy céda. De toute façon la photo était déjà collée. Jasper écrivit d’autres trucs, puis à la fin il demanda à Bellamy et Murphy de signer un mot.
- Tout le monde va écrire quelque chose, mais vous serez les premiers du coup.
Bellamy écrivit « Joyeux anniversaire, même si tu as dix-sept ans, tu restes un sale gosse. Sale gosse un jour, sale gosse toujours. Mais j’ai hâte de m’occuper de ta prochaine colle. »
Murphy nota « Arrête de courir. Saute. Bon anniversaire. »
Jasper demanda :
- Ca veut dire quoi ton message ?
- Je pense qu’il comprendra.
- Vous vous embrassez sur la bouche, vous avez des messages codés, je vais me poser des questions. Bouda Jasper.
- Comment ça ils s’embrassent sur la bouche ? Demanda Bellamy les yeux écarquillés.
Jasper fit un signe de la main :
- C’était avant que vous soyez ensemble, ne t’en fais pas.
- Je voulais juste emmerder Monty. Expliqua Murphy.
Jasper bailla et regarda l’heure, il était six heures trente.
- Bon ben c’est pas la peine que je dorme, je me lève dans trente minutes. Ca ne vaut pas le coup.
- Tu es fou, lâcha Murphy, moi je file me recoucher pour cette demi-heure.
Et il le fit vraiment, il couru presque jusqu’au canapé lit, se roula en boule sous la couette et ferma les yeux. Bellamy resta avec Jasper pour finaliser le cahier. L’ado s’amusa à dessiner pleins de cœur autour de la dernière photo prise, avec Bellamy et Murphy dessus.
- T’es vraiment un môme.
- Oui. Acquiesça Jasper en continuant ses cœurs. Vous êtes vraiment adorable. Je suis content de voir Murphy comme ça.
Sur la photo, Murphy avait l’air super paisible et apaisé.
- Tu le prends vraiment pour ton frère n’est ce pas ? Demanda Bellamy.
- Oui.
- Vous n’avez aucun lien de sang pourtant.
- C’est vrai et alors ? On vit ensemble, et on partage des trucs comme des frères. Il compte pour moi, comme un frère. Donc on est frère, c’est juste qu’il ne le sait pas encore.
Bellamy rit. Jasper finit de rajouter et colorier quelques trucs. Puis il s’étira. L’adulte prit une dernière photo.
- Tiens, imprime et colle celle là aussi.
- Parce que je suis ridicule dessus ?
- Non. Répondit Bellamy.
- Alors pourquoi ?
L’adulte fit juste un signe de tête amusée, Jasper n’insista pas et imprima l’image et la colla.
- Un café ? Demanda-t-il ensuite.
- Oui, plusieurs même.
Jasper était bien d’accord, vu qu’il n’avait pas du tout dormi. Il descendit dans la cuisine, qui avait été totalement rénovée et prépara le café.
Seth et Wendy ne se lèveraient qu’après qu’ils soient partis au lycée, ils seraient donc tranquilles.
- Heureusement qu’on a cours que ce matin, bailla Jasper, je crois que je vais roupiller tout l’après-midi.
Murphy ne se leva pas tout seul. C’est Bellamy qui alla le chercher, embrassant pleins de fois son visage. L’adolescent soupira et posa sa bouche sur la sienne, avant de finir par se traîner hors du lit et aller prendre une douche pour essayer de se réveiller. Jasper s’était déjà lavé et habillé, et buvait un sixième café, assis dans la cuisine.
Bellamy mangeait son bol de céréales, attendant de prendre la place de Murphy dans la salle de bain. Ce qu’il fit quand l’ado descendit dans la cuisine pour se servir du café dans sa tasse Bob l’Eponge.
- Le voilà encore, demanda Bellamy avant de monter.
- C’est moi qui lui ai offert, sourit Jasper.
- C’est lui qui me l’a offert, marmonna Murphy.
Bellamy sourit et monta prendre une douche. Murphy s’installa l’air fatigué, Jasper se prit un septième café. Malgré sa nuit blanche, il avait l’air plus reposé que Murphy.
- T’aurais pas dût te recoucher, tu vas être encore plus crevé.
- Rien à foutre.
- Ca a l’air de bien se passer avec Bellamy.
- Oui. Ca a l’air.
Jasper sourit :
- Je suis content de voir que tu es heureux.
Murphy lui jeta un regard fatigué puis décida de ne rien répondre et but son café.
- Je me disais… L’anniversaire de Monty c’est samedi, on va le fêter avec tout le monde le soir. Mais j’y vais l’après-midi, tu veux venir ?
- Non.
Jasper croisa ses jambes, se fit une tartine de Nutella et n’insista pas. Ce qui était surprenant de sa part. Murphy leva un œil pour voir sa tête, Jasper avait l’air déçu.
- Putain je suis trop crevé pour ses conneries.
- J’ai rien dis.
- Je sais.
- J’ai pas insisté.
- J’ai vu.
Jasper trempa sa tartine dans son café et Murphy leva les bras au ciel.
- Pourquoi tu veux que je vienne ? C’est l’anniversaire de Monty, vous allez sans doute faire… Les trucs que vous faites d’habitude quand vous êtes tous les deux.
- Je me disais que ça serait marrant que tu sois là.
- Pourquoi ça serait marrant ?
- Je sais pas moi.
- Je suis tout le temps entrain de chercher des noises à Monty, je ne crois pas qu’il voudrait que je sois là. Au contraire, je suis sûr qu’il serait heureux de t’avoir pour lui tout seul.
- Alors c’est vraiment non ? Demanda Jasper.
Murphy but son café, et s’en servit un autre. Avant de lâcher en grognant :
- D’accord, je viens. Mais j’emmène Bellamy.
- Tu m’emmènes où ? Demanda Bellamy qui venait d’entrer dans la cuisine, faisant sursauter Murphy.
- A l’anniversaire de Monty, répondit Jasper avec un grand sourire. C’est samedi, j’ai invité Murphy et il t’a invité toi. Tu viens ?
Bellamy regarda Murphy, se reprit un café et vint s’asseoir près de lui :
- Pourquoi pas ?
- Alors c’est décidé ! Fit Jasper en levant un bras en l’air de bonheur.
- Tellement bruyant, ronchonna Murphy.

Ils iraient donc tous les trois à l’anniversaire de Monty.

A suivre.
Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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MessageSujet: Re: NEW [Les 100 - pas de spoil c'est une UA] Le ringard, le meilleur ami, la déesse, le truand et le grand frère (25) NEW [Les 100 - pas de spoil c'est une UA] Le ringard, le meilleur ami, la déesse, le truand et le grand frère (25) Icon_minitimeJeu 21 Avr - 2:44

Ca va paraitre bizarre ... J'adore le murphamy mais dans ta fic en général ce qui me touche le plus c'est la relation Jasper/Murphy. Le jonty tu y arrives doucement et j'aime bien aussi mais j'adore tellement la relation que tu leur as forgé a ces deux la <3
Hâte de lire la suite ! Smile
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