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Original - pas de spoil - Chapitre 16

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Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
Messages : 1062
Date d'inscription : 08/08/2013

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MessageSujet: Original - pas de spoil - Chapitre 16 Original - pas de spoil - Chapitre 16 Icon_minitimeDim 12 Avr - 0:36

Fandom: Original
Prompt: La morsure dessinait un sourire sanglant sur sa poitrine, J'entends les sirènes.
Note: Il est 2h36 mais j'ai ENFIN fini ! Very Happy Bne lecture !




Chapitre 16



La lumière s'alluma brusquement, dévoilant toute l'horreur de ce qui venait de se produire. La pierre qui avait été si blanche auparavant avait pris la teinte du charbon. De petites perles vermeilles tachaient le sol, gouttant de la plaie qui m'ouvrait les doigts.

— James !?
— Je l'ai pas rattrapé, chuchotai-je.

La couleur grise du galet semblait me narguer, me rappelant sans cesse que j'avais échoué. Paddy se précipita à mes cotés mais ne prêta aucune attention à la pierre, il s'agenouilla au sol devant moi et écarta ma main de mon torse pour y jeter un coup d'oeil. Mon regard ne quitta pas la pierre, mon coeur battait dans mon gorge.

— Nous devons nettoyer cela, s'inquiéta t-il.
— Tu ne comprends pas, Paddy ! J'ai laissé tombé la pierre ! Amber avait dit de ne pas la faire tomber !

Je me levai, retirant ma main des siennes pour la ramasser, elle était encore chaude. Je paniquai totalement, qu'avais-je fait ? Qu'avais-je déclenché ? Pourquoi avais-je été si stupide ? La main de Paddy se posa sur mon épaule mais je la sentis à peine, tout à ma terreur. Qu'allait-il se passer maintenant ?

— Il faut qu'on parle à Amber !
— Il est quatre heure du matin, Jamie ! Il faut qu'on soigne ta main, viens, on s'occupera de la pierre plus tard.

Hagard, je me laissai traîner jusqu'à la salle de bain, le poing toujours serré sur cette pierre de malheur. Paddy passa mes doigts sous l'eau froide et s'assura qu'aucun éclat ne s'était logé dans ma peau. Une brume épaisse s'était emparée de mon cerveau, j'avais du mal à réaliser ce que j'avais fait et les conséquences de mes actes.

J'oscillais entre détresse et choc.

Saisi d'effroi, je sortis mon téléphone et appelai Nicky. Elle décrocha en criant qu'elle dormait et raccrocha. Paddy me prit le portable pour le poser sur l'étagère et m'empêcher d'y accéder. Ses mains se posèrent sur mes joues, il me força à le regarder, lui.

— Arrête de t'affoler, Amber va revenir aujourd'hui après le travail, nous lui parlerons de ce qui s'est passé et elle saura quoi faire.

L'autorité dans sa voix m'interpella et me fit hausser un sourcil. Un noeud se dénoua dans mon estomac en croisant ses yeux bleus, j'étais toujours inquiet, mais je n'avais plus envie de courir partout comme un poulet sans tête.

Le pouce de Paddy glissa une dernière fois sur ma joue, comme pour s'assurer que j'étais calmé. Il hocha finalement la tête et s'intéressa de nouveau à ma blessure. Ce n'était pas profond mais ce serait douloureux tout de même. Paddy s'appliqua à mettre un pansement sur chacun de mes doigts, précautionneux et attentif.

— Qu'est-ce que je ferais sans toi ? Pensai-je tout haut, sans vraiment m'en rendre compte.

Paddy sourit mais détourna les yeux, gêné.

J'eus du mal à lâcher le galet du regard, il ne quitta pas ma poche une seule seconde. Les ennuis se succédèrent, la matinée avait mal débuté et la journée semblait décidée à me prouver que tout irait de mal en pis. La cafetière rendit son dernier souffle lorsque je tentais de la mettre en marche, je me pris le pied dans le tapis de la salle de bain et me cognai contre un meuble...

Sur le chemin du travail, je manquai de me faire renverser par un motard un peu trop pressé, Paddy perdit toute couleur et estima qu'il était de son devoir de me servir de garde du corps.

Je ratai tout mes cocktails, les plaintes s'accumulèrent, le patron me sermonna, menaça pour la première fois de me remercier avec mon "petit pote" et je fus tellement mauvais que personne ne me laissa de pourboire. Je n'avais qu'une envie: rentrer et aller m'enfermer dans ma chambre en espérant que la journée passerait, et vite.

Ce service fut le plus long de toute ma vie. La seule joie que j'éprouvais fut quand j’aperçus Amber, assise sur les marches de l'escalier devant l'appartement, le nez dans une énorme écharpe rouge. Je courus à sa rencontre tout en sortant la pierre de ma poche pour la lui montrer:

— Je l'ai lancé et j'ai pas réussi à la rattraper ! Et j'ai passé une journée horrible, dis-moi que ce n'est pas à cause de ce cailloux, grognai-je, pas d'humeur.

Je lui fourrai le galet dans la main, pressé de m'en débarrasser et ouvris la porte. Amber écarquilla les yeux:

— Je t'avais dit de ne pas la laisser...
— Je ne l'ai pas fait exprès ! Maintenant, dis-moi ce qu'on peut faire pour arranger tout ça, s'il te plait !
— Le problème, c'est qu'on ne peut pas arranger ça !
— Il doit forcément y avoir une solution..., la raisonna Paddy.

Je m'écroulais directement dans mon lit, laissant aux autres le soin de me suivre. Paddy s'assit sur le matelas, appuyant son dos contre le mur tandis qu'Amber restait debout, les mains sur les hanches comme une maman en colère. Ses cheveux blonds étaient dressés sur sa tête, victime de l’électricité statique, elle ressemblait à un chaton furieux:

— Non, il n'y en a pas ! C'est une pierre magique qui a je-ne-sais-pas-combien de siècle, s'il y en avait une, elle s'est perdue avec le temps !
— Qu'est-ce qui va m'arriver ? Grommelai-je, la voix étouffée par mon oreiller.
— Elle va accorder ton vœu, c'est une pierre à souhait après tout... Mais lorsque la personne n'arrive pas à la rattraper, c'est que le vœu n'était pas censé se réaliser, jamais. Quand c'est le cas, la pierre prend quelque chose en échange, pour équilibrer.
— Tu veux dire que pour exhausser le souhait de Jamie... La pierre va lui prendre quelque chose ?

Je fis un saut de carpe pour me redresser, les surprenant:

— Tu veux dire que mon vœu va se réaliser quand même ? C'est vrai ?
— Je pense que oui, affirma Amber.

Paddy fronça les sourcils, il croisa les jambes et remit une mèche de ses cheveux derrière son oreille en un geste nerveux:

— C'est vague "quelque chose". Que va t-elle lui prendre ?
— Eh bien...

Amber se mordit les lèvres, passant d'une jambe à l'autre. Elle tortilla une mèche de ses cheveux blonds autour de son index et fit basculer son sac devant elle pour fouiller à l'intérieur. Je me retins de lui sauter dessus pour la presser, le suspens était insupportable. Elle sortit un livre, je m'affaissai:

— Encore un bouquin...
— C'est un livre d'histoire de la magie, s'indigna Amber. Une personne a répertorié ce qui est arrivé aux victimes de la pierre.

Elle laissa tomber son sac sur le sol, repoussa un pan de son écharpe par dessus son épaule et s'assit en tailleur sur le lit, ses pieds minuscules me rappelèrent qu'elle n'avait que treize ans. Amber posa le livre entre nous pour que nous puissions tous le voir tandis qu'elle lisait à voix haute:

— Mr Triton ayant perdu l'usage de ses jambes à l'âge de cinq ans souhaita marcher, prix demandé par la pierre: sa voix.
— Sa voix ? Tu crois que je vais devenir muet ? M'inquiétai-je.
— Si seulement, soupira Amber. Mme Franklin souhaita être riche, prix demandé par la pierre: son bras. Tu sais que c'est de là que vient l'expression "coûter un bras" ? C'est fascinant, toutes ces expressions qui ont pour origine la magie mais qui ont été oubliée...
— On se souciera des expressions après qu'on se soit assuré que je ne perdrais pas un membre, si ça ne te dérange pas trop, ironisai-je.

Paddy pointa un passage, se penchant si près que ses cheveux me chatouillèrent le nez:

— Regardez, là. Mme Jacobson souhaita un fils, prix demandé par la pierre: son mari.

Un frisson glacé parcourut mon échine. Je croisai le regard pétrifié de Paddy, son expression terrorisée me renvoya mon angoisse comme un miroir.

— Qu'as-tu souhaité, James ? Souffla t-il.

J'ouvris la bouche, la refermai. Je ne voulais pas que Paddy s'en veuille s'il m'arrivait quelque chose, devais-je lui raconter ce que j'avais souhaiter ? Ses yeux me transpercèrent, j'eus la sensation qu'il savait, sans même que j'ai besoin de parler.

— Jamie, insista t-il.
— J'ai... J'ai souhaité que Nicky soit en sécurité, c'est tout, mentis-je.

Son regard chercha le mien, je me forçai à l'observer bien en face, d'avoir l'air le plus sincère possible. Amber tourna une page:

— Alors ça devrait aller. Ce n'est pas un souhait excessif, je pense que la valeur du vœu détermine la valeur du prix demandé. Une voix contre des jambes, un bras contre la richesse, une vie pour une vie...
— Est-ce que la pierre demande ma sécurité contre celle de Nicky ?
— Peut-être...
— Alors ça me convient.

Paddy secoua la tête, comme s'il n'en revenait pas de m'entendre dire une chose pareille. Amber resta concentré sur son livre, tournant les pages et émettant des hypothèses. S'il fallait que je me cogne contre tout les meubles de mon appartement pour sauver ma soeur, alors soit.



oOo



Les jours suivants furent les pires de toute ma vie jusque là.

S'il y avait un ennui à l'horizon, il était pour moi. S'il y avait un meuble dans les environs, il fallait que j'aille me cogner dessus. Mes patrons en pâtirent, si Marko fut compréhensif, le patron du restaurant me renvoya pour une semaine en guise d'avertissement, sans solde.

Paddy aurait voulu arrêter de travailler aussi pour montrer son mécontentement mais sans argent, comment faire pour payer l'appartement ? Mon travail au Flaminia ne me permettait pas de payer le loyer, j'avais besoin de mes deux jobs pour survivre.

Je promis à Paddy que je lui rendrais jusqu'au moindre centimes de ce que je lui empruntais. Il me répondit de ne pas me soucier de l'argent, que ça n'avait que peu de valeur à ses yeux.

Nous eûmes la preuve que la pierre prélevait son dû lorsque de petites tâches blanches apparurent sur sa surface lisse. Et si j'avais encore des doutes sur l'existence de la magie, ceux-ci s’éclipsèrent lorsqu'une lettre des services sociaux me parvint.



Monsieur Rose,


Un fait nouveau nous a amené à reconsidérer notre position.

Au vu de ce fait et des éléments composant votre dossier, le juge pour enfant a pu statuer que l'enfant Nicole Rose sera placé sous votre tutelle et ce jusqu'à sa majorité. Vous êtes invités à l'accueillir chez vous le plus tôt possible.

Une visite des services sociaux sera organisé ultérieurement.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs.


Cordialement,

Mme Green




Paddy et moi nous fûmes prêt en cinq minutes.

L'appartement possédait un parking au sous-sol, ça sentait le renfermé et l'urine de chat mais rien ne put entacher ma joie, pas même ma presque chute dans la cage d'escalier évitée grâce à l'agilité de Paddy.

La Prius bleu nous attendait bien sagement, lorsque je mis le contact, la jauge d'essence était à son maximum, ce qui me fit soupirer d'aise. Pas d'imprévu cette fois-ci, pas de panne.

— J'ai envoyé un sms à Amber pour l'informer que nous sommes partis chercher Nicole.
— Ne sois pas si formel, maugréai-je pour la forme.

Le moteur démarra sans à-coup, aucun problème. C'était le paradis.

La voiture avala le bitume comme dans un rêve, chaque centimètre nous rapprochait de Nicky. J'aurais voulu nous téléporter là-bas, qu'on y soit tout de suite, je voulais la voir maintenant.

— Envoie un texto à Nick pour lui dire qu'on vient la chercher.
— Je l'ai déjà fait.
— Un vrai petit génie, dis-je avec un sourire.

J'aurais voulu graver cet instant dans ma mémoire, je ne voulais pas oublier ce que je ressentais. Cet  entre deux, ce moment entre la lettre des services sociaux et le moment où je retrouverais ma soeur était merveilleux. Attente, excitation, impatience...

Tout cela atteignit son apogée lorsque je reconnus le village. J'eus soudain une affection toute particulière pour ce lieu que j'avais toujours détesté étant petit tout simplement parce que ma soeur s'y trouvait. Derrière plusieurs bâtisses, une grande allée en pavé blanc menait à une maison somptueuse, toute éclairée, elle paraissait aussi pâle qu'imposante. Ce petit palais respirait le luxe et l'argent.

— On est bientôt arrivé. Tu vois la maison avec les volets bleus ? C'est la maison juste derrière.
— Je crois que je vois Nicky ! S'exclama t-il.

Paddy en sautilla presque sur son siège. Je plissai les yeux, et ne mit qu'une seconde à reconnaître la chevelure de feu si familière. Je me garai sur le coté, Paddy descendit de la voiture sans attendre qu'elle soit complétement arrêtée. A l'autre bout de la route, Nicky laissa tomber sa valise et se mit à courir pour nous rejoindre. Je coupai le moteur à la va-vite, frein à main et sortis juste à temps pour voir ma soeur sauter au cou de Paddy avec un grand éclat de rire.

— Vous êtes déjà là ! Les gars, vous m'avez trop manqué, j'en pouvais plus de ce bled ! Rit-elle.

Paddy se poussa pour me laisser la place, je souriais si fort que mes joues me faisaient mal. Nicky me sauta dessus avec autant d'enthousiaste. Ce fut sans compter ma toute nouvelle poisse, mon pied glissa sur le trottoir et je m'écroulai sol, l'entraînant dans ma chute. Mon dos protesta fortement, je grinçai des dents sans me départir de mon sourire, Nicky gloussa:

— T'es toujours aussi nul.
— Sale gosse, grognai-je.
— Raté. Allez, debout, je veux me tirer d'ici avant que cette sorcière ne trouve un moyen de m'enfermer en haut d'une tour pour l'éternité !
— Y a pas de risque, t'es loin d'être une princesse.

Nicky se releva et Paddy m'aida à en faire de même. J'époussetai mon pantalon et me redressai. Les sourires de mes deux colocataires reflétèrent le mien.

— Tirons-nous d'ici.

Je fis tourner mes clefs sur mon index.

Ils se précipitèrent tout les deux dans des directions différentes, comme les techniciens sur les circuits de formule 1, chacun à son poste, une machine bien huilée. Paddy courut chercher la valise rose bonbon que ma soeur avait lâché au milieu du trottoir, Nicky ouvrit le coffre à toute volée pour l'aider et se jeta à l'intérieur comme si elle avait le diable à ses trousses. Je ne pus m'empêcher de rire à leur empressement et me dépêchai de me mettre derrière le volant, des ailes à la place des jambes.

— Go, go, go ! Plaisantai-je.

Paddy claqua la porte derrière lui et je démarrai, fis demi-tour, laissant cet endroit de malheur derrière nous. Les rues se succédèrent, un silence extatique s'installa entre nous, je regardais ma soeur dans le rétroviseur, Pad se dévissait le cou pour la voir.

— Les services sociaux m'ont dit qu'un fait nouveau avait décidé le juge... Tu sais de quoi ils parlent ? demandai-je.
— Oui, je le sais. Figure-toi que notre mère a pété un câble au rayon beauté parce qu'une employée l'a envoyé sur les roses. Elles se sont battus comme des chiffonnières à ce que j'ai entendu. Une assistante sociale est venue mais je ne savais pas qu'ils prendraient la bagarre en compte.
— On a gagné ! Merde, j'en reviens pas qu'on ait gagné, m'exclamai-je en riant.

Nicky sourit, se pencha sur l'épaule de Paddy et lui ordonna de mettre la radio, il s’exécuta de bonne grâce. Une vieille musique de Mike Oldfield s’éleva dans l'habitacle, Paddy chassa ma main lorsque je voulus changer de station.

— Non, laisse.
— Oui, laisse, James, réclama Nicky.

Elle se mit à chanter si faux que le pauvre compositeur devait se mettre à pleurer des larmes de sang à l'heure qu'il était. Je dépassai un camion sur l'autoroute et me rabattis sur la voie de droite. D'autre chansons vieillottes passèrent à la radio, Paddy se mit à chanter avec ma soeur, même s'il ne connaissait pas les paroles. Je tournais au coin de l'avenue Walt et m'arrêtai à un stop. Nous étions bientôt arrivés, Nicky s'amusait à compter les voitures rouges, elle en était à 8. Paddy se joignit à elle en comptant les bleus, il en était à 11.

Soudain, je ne prête plus attention à leurs comptes parce je vois le véhicule gris qui fonce sur nous. Couleur charbon. Rapide. Trop rapide. C'est un break, une voiture flambant neuve, aussi belle que dangereuse. Elle roule, roule, vite. Trop vite pour qu'on puisse y faire quoi que ce soit. La collision inévitable, le choc des titans. Personne d'autre ne l'a vu, cette voiture, parce que je suis le seul à avoir cessé de respirer.

Pas de vie qui défile devant mes yeux, juste le film de ce qui est entrain de se passer, au ralenti, ou alors en accéléré. Mes mains sont figées, une sur le volant, l'autre sur mon levier de vitesse, ma tête est tournée vers le monstre de métal qui ne s'arrête pas, qui ne dévie pas. Dans un sursaut de détresse, je cherche à presser mon klaxon, je n'ai même pas le temps d'atteindre le volant.

La voiture percute. Les métaux s'entrechoquent. La Prius glisse et se coince contre un mur. La douleur. Le break n'en finit plus de compresser. Tords, force, plie, casse. Je perds connaissance.

Je me réveille. Tout perce. Une bouche de métal se referme sur ma peau, sa morsure dessine un sourire sanglant sur ma jambe. Ça pisse le sang. J'entends un bruit de ventilation horrible, comme une vieille clime proche du décès. Puis je réalise que c'est moi, c'est ma respiration.

— J-Ja... James ? Croasse quelqu'un.

Je veux tourner la tête mais un vertige m'assaille. J'entends des sirènes...

Perds connaissance.



A suivre...
Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Chapitre 16 Original - pas de spoil - Chapitre 16 Icon_minitimeMar 14 Avr - 10:53

oh purée ça aussi je le sentais venir, c'était trop beau, trop rose, trop dégoulinant alors que juste avant James devait perdre quelque chose et manquait de chance. UUUURGH t_t !
Maeve
Maeve
Je suis ton père Luke
Messages : 990
Date d'inscription : 17/08/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Chapitre 16 Original - pas de spoil - Chapitre 16 Icon_minitimeDim 19 Avr - 15:10

Coucou!

...Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhh!!!! TT-TT

Je le savais qu'il y aurait un problème, que c'était trop beau. J'attendais, j'attendais... T T

Oh, non. Pauvre James. Sad

Et Paddy va finir par apprendre la vérité, le voeu qu'il a fait. C'est inévitable. Et il va s'en vouloir à mort. T.T

J'espère que Paddy et Nicky n'ont rien. Vu le voeu de James, ils devraient être indemnes, eux. Mais j'espère aussi que James va s'en sortir. Sad

Bouuuuuhhh!!!

(j'étais censée écrire mais je vais lire la suite, aha! Merciii!)


Maeve

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Chapitre 16 Original - pas de spoil - Chapitre 16 Icon_minitime

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