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shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2

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Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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Date d'inscription : 08/08/2013

shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2 Empty
MessageSujet: shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2 shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2 Icon_minitimeDim 17 Sep - 19:56

Fandom: Shadowhunters/Original ?
Prompt: Pourquoi viens-tu si tard ?



Step one: Denial



Il faisait assez chaud pour que Magnus n'ait pas envie de se lever. Les draps de satin étaient doux, les oreillers moelleux et la lumière du soleil ne touchait que ses pieds, réchauffant agréablement ses orteils sans l'éblouir. Un corps chaud se plaqua contre lui, un bras glissa sur sa taille et il sourit en passant le sien autour d'épaules menues. Etta se réveillait toujours avant lui, une vraie lève-tôt, mais elle ne perdait jamais l'occasion de revenir au lit pour l'embêter. Magnus tourna la tête vers elle, les yeux toujours fermés. Des doigts audacieux se frayèrent un chemin sur son torse, caressèrent sa peau de son nombril à sa clavicule.
— Il est l'heure de se réveiller, Motek.
Magnus ouvrit les yeux. La vision de son appartement à New York se désagrégea en un éclair, Etta s'était envolée avec lui aussi. Sa tête retomba brusquement sur l'oreiller, il remonta les couvertures sur lui dans une tentative d’étouffer tout ce qui se trouvait autour de lui.
— C'est l'enfer, marmonna t-il.
Si ce n'était pas l'enfer, ça y ressemblait en tout cas. Catarina continuait de lui envoyer des clients, au moins un par jour au début, puis deux, et finalement trois voir quatre. La plupart avait réellement besoin de ses services, quant aux autres, ils étaient soit mal informés soit juste stupides. Quand il s'était plaint de son nouveau planning, son amie l'avait fait taire en lui donnant une bonne excuse:
— Les clients que je t'envoie, ce sont les miens. Je ne peux pas faire des recherches sur le sujet qui nous intéresse si je suis dérangée toutes les dix minutes...
Lorsqu'il avait su, Magnus avait cessé ses jérémiades et s'était jeté corps et âme dans ce nouveau travail. Catarina était plus puissante et avait plus de contacts que lui, si quelqu'un pouvait ramener Etta, c'était bien elle. Pendant ses consultations, il vit de tout, des humains ensorcelés, des parents inquiets, des enfants et des adultes non-humains, des loup-garous, des vampires...
La seule espèce de client qu'il ne vit pas fut ses confrères et consœurs, les sorciers. Magnus soupçonna Catarina de filtrer les demandes de visite, ce dont il lui était reconnaissant. Nombreux étaient ceux qui rêveraient de voir à quoi il ressemblait ces temps-ci, sa déchéance était une rumeur qui n'avait pas manqué de circuler. Pratiquer la magie à cette fréquence lui fit réaliser à quel point il était rouillé. Sa routine alcoolisé avait mis un coup à son énergie qu'il épuisait beaucoup plus rapidement qu'avant. Mais tout allait bientôt rentrer dans l'ordre.


Ce soir-là, la pluie cognait violemment contre les vitres, le ciel était d'un noir d'encre et quelques étoiles seulement y brillaient. Mais la lumière la plus vive venait du phare dont les rayons déchiraient la nuit pour guider les bateaux en pleine mer. Loin du tumulte des vagues, Magnus – exceptionnellement sobre – invoqua les portes cintres où pendaient tous les vêtements qui appartenaient à Etta. Il n'avait rien jeté, il s'était contenté de tout entreposer dans un des nombreux hangars qu'il possédait aux quatre coins de la terre. Il sourit et caressa délicatement une robe bleue en dentelle qu'elle appréciait tout particulièrement, elle aurait certainement plaisir à la retrouver, à la porter de nouveau... Il en était là dans ses pensées quand la porte du phare s'ouvrit brutalement, claquant contre le mur, résonnant dans les autres pièces comme un coup de tonnerre. Magnus descendit les marches de l'escalier quatre à quatre pour trouver Catarina entourée d'une petite assemblée, tous trempés jusqu'aux os.
— Magnus, l'appela t-elle.
— Pourquoi viens-tu si tard, Catarina chérie ?
Magnus eut besoin d'une minute pour assimiler ce qui se passait sous son toit, à minuit et quart. Trois garçons, un blond et deux bruns, et deux filles, une rousse et une brune. Catarina referma la porte, quatre jeunes levèrent les yeux vers lui avec espoir, effrayés et tremblants de froid, le dernier était inconscient dans les bras du blondinet.
— Vous devez l'aider— , commença blondie.
— S'il vous plait— , continua la brune.
— Mr Bane— , supplia la rouquine.
— Que tout le monde se taise, tonna Magnus.
Toutes les bouches se fermèrent, celle de Catarina se tordit, elle n'avait d'yeux que pour l'homme aux cheveux noirs qui frémissait faiblement dans son inconscience. Magnus soupira et se pinça l'arrête du nez, d'un geste du poignet, il les sécha tous et alluma le poêle avant de descendre le reste des marches.
— Toi, dépose-le sur le fauteuil, dit-il en pointant Blondie. Et toi, dis-moi ce qui se passe, dit-il à l'attention de Catarina.
— Je ne sais pas vraiment...
Blondie déposa son ami doucement sur le canapé, Magnus étira une couverture sur lui et laissa ses mains survoler son corps pour évaluer l'étendue des dégâts.
— Que s'est-il passé ? Réitéra t-il.
— On ne sait pas, intervint la rouquine. Nous avons combattus un démon qui essayait de s'infiltrer dans un musée pour récupérer un artéfact il y a de cela deux semaines, Jace a...
— J'ai réussi à le maintenir à distance pour que Alec puisse l'atteindre avec ses flèches mais le démon a compris notre stratégie et il s'est attaqué à lui, continua Blondie.
Magnus recommença son examen minutieux, une source de chaleur intense se dégageait de l'abdomen du malade.
— Il y a deux semaines, répéta Magnus.
— Il a eut une blessure à l'aine mais après sa période de convalescence il allait bien.
En relevant les yeux, Magnus remarqua la façon dont Catarina tournait autour d'eux en les surveillant du regard. Quelque chose clochait, son comportement n'était pas naturel. Blondie s'attarda au niveau de la tête du malade pour repousser ses cheveux en arrière, dégageant un front moite de sueur:
— Tiens-bon, mon pote, chuchota t-il.
La chaleur devint incandescente quand Magnus s'y attarda, il siffla en retirant sa main, secouant les doigts pour alléger la brûlure de sa peau. Autour de lui, les jeunes retinrent leurs souffles en attendant son verdict. Son regard s'accrocha à celui de Catarina. Elle s'était arrêtée dans un coin sombre, les bras croisés et une main caressant son menton.
— Je vais devoir rouvrir la blessure, je pense que quelque chose s'y trouve encore. J'ai besoin d'espace pour cela. Allez à l'étage, vous y trouverez de quoi vous faire une tasse de thé.
— Mais..., protesta Blondie.
— Nous n'avons pas de temps à perdre, chaque seconde compte, le coupa t-il.
Blondie souffla, se mordit les lèvres. La rouquine dut le tirer par le bras pour qu'il consente enfin à bouger et à les suivre. Les quatre jeunes gens montèrent à la file indienne, Magnus tendit l'oreille et ne passa à autre chose que lorsqu'il fut sûr d'avoir entendu la porte claquer. Il s'agenouilla à coté de son nouveau client et jaugea prudemment Catarina.
— Maintenant que nous sommes seuls, tu peux me dire ce que tu caches, dit-il.
— Qu'est-ce qui te fait croire que je cache quelque chose ?
— Tu agis de manière étrange. Qu'est-ce qui se passe réellement, Catarina ?
La sorcière passa la langue sur ses lèvres sèches et s'approcha lentement du canapé, elle posa les mains sur le dossier et baissa les yeux sur l'homme qu'elle lui avait ramené.
— J'ai fait quelque chose, avoua t-elle.  Je ne peux pas le sauver, c'est à toi de le faire
Magnus fronça les sourcils, il souleva la chemise du jeune-homme pour retirer ce qui le faisait souffrir.
— Qu'as-tu fait ? Demanda t-il.
Par un hasard incroyable, Magnus releva la tête au moment où le regard de Catarina se dirigeait vers son livre de nécromancie. Son cœur manqua un battement, il cligna des yeux et se replongea dans sa tâche. Il fit apparaître une bouteille d'alcool et de la gaze, désinfecta la peau pâle et essaya de repousser l'attitude de Catarina dans un coin de sa tête. Sans y parvenir.
— Je ne comprends pas, dit-il.
— J'ai fait quelque chose pour toi, insista Catarina. Je t'aide, comme j'ai promis de le faire.
Catarina recula quand le blessé se mit à respirer laborieusement, les lèvres entrouvertes sur un souffle entrecoupé. Magnus posa une main sur son front humide et ferma les yeux en psalmodiant une incantation censé l'apaiser. Les halètements du jeune-homme se calmèrent peu à peu, sa tête dodelina sur l'accoudoir et une goutte de sueur roula le long de sa tempe, mouillant ses cheveux corbeaux.
— Quel rapport avec lui ? Demanda t-il.
De nouveau, l'attention de Catarina se tourna vers le livre. Magnus eut un vertige, il cacha le tremblement de ses lèvres derrière sa main mais ne put rien pour celui de sa voix:
— Est-ce que tu l'as ramené ?
— Tu voulais que je fasse quelque chose et c'est ce que j'ai fait. Je ne peux pas ramener son corps... C'est tout ce que j'ai trouvé...
— Ce garçon ? Dit-il, s’étouffant à cause de l'émotion.
Catarina hocha la tête:
— Tu dois le sauver, Mags.
— Il a quelque chose sous la peau, ça ne vient pas de toi ?
— Non, ce n'est pas moi. Peu importe ce que c'est, c'est mauvais et ça le tue.
Elle n'eut pas besoin de le dire deux fois. Magnus retroussa ses manches et appela jusqu'à la moindre particule de magie endormie dans son corps. Il incisa précisément son épiderme pour s'assurer de ne laisser qu'une fine cicatrice et concentra son pouvoir pour retirer l'objet qui n'avait rien à faire là. La peau du garçon se mit à luire, un halo orangé s'alluma dans son aine, un grognement franchit ses lèvres et son visage se crispa sous la douleur.
— Je sais, une minute, siffla Magnus à travers ses dents serrées.
Il guida la lueur jusqu'à la plaie qu'il avait crée et fronça le nez en voyant un liquide doré en sortir. Catarina écarquilla les yeux:
— Qu'est-ce que c'est ?
— Aucune idée.
Magnus fit léviter le liquide et l'enferma dans une des fioles se trouvant sur la bibliothèque avant de s'occuper de refermer les chaires de son patient.
— J'ai retiré l'objet mais la magie du démon va circuler dans son sang pendant un moment...
— Tu l'as sauvé, sourit Catarina.
Les paupières du jeune-homme étaient agitées, son sommeil n'était pas reposant, il était encore faible et son visage brûlait de fièvre.
— Il n'est pas encore sorti d'affaire.
Magnus fit de son mieux. Il lança tous les sorts qu'il connaissait pour réduire la fièvre et pour empêcher une infection de se développer, il fit un pansement adapté et vérifia plusieurs fois ses constantes. Catarina se percha sur un haut tabouret et le regarda faire:
— Son nom est Alexander. Il ne se souviendra de rien, tu ne peux pas lui parler de... tout ça, dit-elle en grimaçant. Il ne comprendrait pas.
Le cœur de Magnus se comprima durement:
— Elle ne se souviendra pas de moi ?
— Une âme n'a pas de sexe, Magnus, corrigea Catarina. Et Alexander n'a crée aucun souvenir avec toi, comment pourrait-il en conserver ?
Après avoir fini, Magnus dévisagea avidement le jeune-homme. Il était si grand que ses pieds dépassaient du canapé. Debout, il devait faire une tête de plus que lui et Magnus mesurait déjà un bon mètre quatre-vingt. Un tatouage à l'encre noire ressortait sur la peau pâle, enroulé finement au creux de sa gorge et le début d'un autre dessin se faisait deviner sous le tissus de sa chemise. Ses traits étaient secs, sa mâchoire carrée.
— Comment l'as-tu choisi ? Demanda t-il.
— Je ne l'ai pas choisi. Il s'est présenté de lui-même.
Un rire tremblotant échappa à Magnus. Pas étonnant que l'âme de Etta ait choisi un corps aussi gigantesque, elle avait toujours été une grande dame. Une inquiétude lui vrilla cependant la poitrine, son sourire s'évanouit:
— Nous ne volons pas la vie de ce jeune-homme, pas vrai ?
Catarina remit une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
— Non. Il a une vie parsemée de dangers, il serait mort sans toi.
Toujours endormi, Alexander tourna la tête sur le coté, son profil se distingua du reste. Malgré sa haute stature, il avait l'air fragile.
— Il est si jeune..., souffla Magnus.
— T'es-tu regardé dans un miroir ces derniers jours ? J'envie ton physique de jeune de vingt-ans, plaisanta Catarina.
Magnus renifla avec amusement et passa une main dans ses cheveux courts:
— Je me sens pourtant terriblement vieux.
Un bruit retentit à l'étage, ils levèrent les yeux au plafond.
— On devrait leur donner des nouvelles de leur ami avant qu'ils ne détruisent mon intérieur, grimaça Magnus.
— J'y vais.
Catarina bondit souplement de son tabouret. La situation rattrapa Magnus, il fut bouleversé par ce qui était entrain de se produire, par ce que son amie avait réussi à accomplir...
— Catarina ?
La sorcière se tourna à demi, la main posée sur la rampe de l'escalier. Magnus déglutit:
— Merci. Tu ne sais pas ce que ça représente pour moi de... ce que tu as fait, termina t-il maladroitement.
Catarina baissa humblement la tête et monta les marches sans lui répondre. Magnus se retrouva seul avec Alexander, sans savoir s'il devait rire ou pleurer. Une main devant la bouche, il se contenta de le regarder, consumé par la peine, la joie et d'autres émotions contradictoires.
— Etta..., souffla t-il.
Un boucan indescriptible retentit dans l'escalier, les jeunes se précipitèrent tous en même temps au chevet de Alexander, Magnus eut juste le temps de se reprendre avant d'affronter la tempête.
— Il n'est pas réveillé, déplora la brune.
— Il va mieux ? S'exclama Blondie, inquiet.
— Il se repose. J'ai retiré le corps étranger qui l'affaiblissait, le sort va influer un moment sur lui. Il n'y a plus qu'à attendre qu'il se réveille.
— Le sort va influer de quelle façon ? Interrogea la rouquine.
— Impossible de le savoir pour l'instant.
La rouquine hocha la tête avec compréhension, elle se tourna vers le garçon brun en chuchotant, la brunette posa une main sur les cheveux de Alexander et les caressa affectueusement tandis que Blondie se balançait sur ses talons tout en se frottant les bras:
— Qu'est-ce qu'on peut faire ?
— Rien. Attendre, répondit Magnus.
Blondie accusa le coup. La brunette prit une inspiration, ses yeux se durcirent et elle se redressa, les épaules droites:
— Jace, on doit retourner à l'agence pour faire notre rapport au directeur.
— On ne va pas laisser Alec, protesta Blondie.
— Il est en sécurité ici.
Tous se tournèrent vers Catarina qui descendait encore les marches avec la grâce d'une déesse. Blondie ouvrit la bouche mais elle ne lui laissa pas le temps de parler:
— Il est même plus en sécurité ici que s'il était de retour à New York. L’ile est déserte et Magnus est le sorcier le plus puissant que je connaisse.
— Ne me flattes pas.
— Tu sais que je ne ferai jamais une telle chose. Je dis toujours la vérité, dit-elle avec un sourire affable.
— Et si Alec se réveille ? Les interrompit la brunette.
Les quatre jeunes se postèrent autour du corps évanoui d'Alexander comme un rempart. La brunette les toisaient calmement, elle était prête à leur faire confiance mais elle avait besoin d'être rassurée ; quant à Blondie, il fronçait les sourcils avec méfiance. Les autres paraissaient n'être là qu'en guise de soutien, ils suivraient la décision collective. Magnus resta assis, il croisa les jambes nonchalamment:
— Il aura besoin de se reposer. Je pourrai lui prêter quelques livres s'il s'ennuie et dans mon extrême gentillesse je lui préparerai une tasse de thé, sourit-il.
— Magnus, soupira Catarina.
— D'accord: plusieurs s'il le souhaite, concéda Magnus. Vous pouvez partir tranquille, Catarina a raison, s'il n'est pas en sécurité ici, il ne le sera nulle part ailleurs.
Blondie grogna quelque chose comme "C'est discutable", ce après quoi la rouquine lui donna un coup de coude dans les cotes qui le fit grimacer. Ce fut la brunette qui eut finalement le dernier mot:
— Nous vous laissons Alec. Si quelque chose venait à lui arriver, sachez que vous devrez en répondre à la Police de New York. Et à notre mère, ce qui est d'autant plus terrifiant.
Magnus opina patiemment du chef. La brunette lui rendit son signe de tête et se tourna vers les autres:
— Nous rentrons. Catarina ?
La sorcière se tourna vers Magnus en levant un sourcil. Les barrières magiques étaient toujours en place, voilà pourquoi ils avaient été trempés par la pluie en arrivant, Catarina n'avait pas pu les téléporter directement à l'intérieur du phare, ils avaient du marcher. Magnus sourit et claqua des doigts:
— Bon voyage.
Une odeur de lilas imprégna la pièce, un flash violet l'éblouit et puis plus rien. Ils étaient partis.



A suivre....
Maliae
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MessageSujet: Re: shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2 shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 2 Icon_minitimeMar 19 Sep - 9:41

Bon alors Alexander c'est Etta maintenant parce que Catarina a joué les petites sorcières? C'est super malsain pour Magnus qui aurait mieux fait de passer à autre chose.
Ou bien Catarina a menti
Ou bien il se passe autre chose.
En tout cas j'adore je veux la suite, c'est toujours aussi bien écrit, un vrai régal !
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