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[Les 100 - UA] Les barres de chocolat (6)

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Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: [Les 100 - UA] Les barres de chocolat (6) [Les 100 - UA] Les barres de chocolat (6) Icon_minitimeDim 19 Aoû - 19:03

Prompts : Tu es bon pour la poubelle toi.
Pour moi, tu es irremplaçable.

Note : pas relu, ce chapitre est nul.

***

6. Jalousie.

Jasper.

Journée banale. Je me suis levé, j’ai tenté de regarder cinq minutes de dessin animés mais j’ai eu le droit à trois minutes. J’ai reposé discrètement le paquet de cigarettes que j’avais piqué la veille, en me jurant de plus jamais y retoucher. Personne ne m’a vu faire, parce que personne ne fait assez attention à moi pour ça, mais mon oncle a réagi en trouvant le paquet :
- Tiens, je l’ai cherché partout. En fait il était juste là.
Ouais, juste là.
Je suis allé prendre mon petit déjeuner avec Murphy et sa mère. Je me suis régalé de ses œufs et des toasts à la confiture. Je me dis que j’abuse peut-être un peu de leur générosité, mais comme Murphy ne me dit rien, je continue de venir et de me régaler. Murphy est pas du genre à tenir sa langue, le jour où ça l’emmerde que je vienne, il me le dira, en attendant je débarque et je profite. Je ne fais pas de commentaire sur sa mère qui commence déjà à boire dès le matin, je fais celui qui ne voit rien, qui n’est au courant de rien et je me contente de plaindre Murphy dans ma tête. Parce que si je le faisais à voix haute je suis à peu près sûr qu’il me collerait une droite telle que je m’en relèverais pas.
Ensuite, on s’est dirigé tous les deux vers chez Monty qu’on a récupéré.
- Tu veux conduire mon vélo ? A-t-il demandé à Murphy.

xxx

Murphy.

Je savais exactement ce qu’il voulait, ce n’était pas du tout un acte de générosité comme le prit Jasper. Il voulait seulement que je prenne son foutu vélo pour monter à l’arrière avec Jasper. Ben rien que pour le faire chier, j’ai refusé.

xxx

Jasper.

- Non, a dit Murphy, c’est bon.
- Ça me dérange pas, a insisté Monty.
- Non, a répété Murphy
Monty a eu l’air de faire la gueule mais il est monté sur son vélo. On est allé directement dans la forêt, on a dévalé la colline, puis on s’est installé sous un arbre. Monty avait pris un sac et je lui ai demandé ce qu’il avait dedans :
- Des sandwichs, pour ce midi.
- Chouette, ais-je dis.
On aurait au moins un truc à bouffer, contrairement à d’habitude. On resta calme en observant de loin les gens qui se baladaient sur le bord du lac. Je n’ai pas demandé à Monty comment s’était passé la journée de la veille, il ne m’a pas posé la question non plus. À un moment Murphy s’est éloigné « pour pisser » et on s’est regardé dans les yeux.
- Alors tu t’es amusé ? Ais-je demandé.
- Ça va. Et toi ?
- Ça va.
Puis ce fut tout.
J’étais persuadé qu’on avait des milliers de choses à se dire, en tout cas moi j’en avais au moins un millier, mais Murphy avait une petite vessie et il revint aussi vite, et bizarrement j’avais l’impression que Monty n’avait pas envie qu’on parle de ces choses devant lui. Murphy a froncé les sourcils devant notre silence quand il est revenu :
- Y a un truc que je dois pas savoir ? A-t-il demandé avec suspicion.
Ça veut dire avec méfiance.
- Non, ais-je dis.
- Alors pourquoi vous vous taisez quand j’arrive ?
- On était déjà silencieux tu sais.
Je me suis relevé et je lui ai tappé sur le front :
- Arrête de te méfier comme ça, on va pas dire du mal de toi alors que tu es à deux mètres de nous.
- Parce que vous pouvez dire du mal de moi sinon ?
J’ai ouvert la bouche mais Monty a répondu à ma place :
- Totalement.
Plutôt que l’énerver, ça l’a fait sourire en coin et il a balancé à Monty :
- T’inquiète pas c’est pareil pour toi.
Monty a pâli.

xxx

Monty.

Je savais qu’il disait ça pour me faire chier. Enfin, j’espérais. Est-ce qu’ils allaient dire du moi dans mon dos quand j’étais pas là ? Moi j’en était totalement capable d’en dire sur Murphy, alors pourquoi pas lui. Mais ce n’était pas lui qui m’inquiétait, c’était Jasper, et s’il prenait ses dires pour argent comptant ? Et s’il se mettait à me critiquer lui aussi ?

xxx

Jasper.

- Stop vous deux ! Ais-je dis. Le seul mal que Murphy a dit de toi c’est qu’il te détestait.
- Je le déteste aussi, A marmonné Monty.
- Bon ben voilà, comme ça c’est réglé, ai-je annoncé.
Puis je me suis rassis en boudant, parce que ça m’énervait que ces deux-là ne s’entendent pas. J’ai réclamé mon sandwich, je l’ai mangé en silence, jusqu’à ce que les deux garçons marmonnent qu’ils essayeraient de s’entendre.
- D’abord je comprends pas pourquoi vous ne vous aimez pas ! Ai-je dit.
- Il est riche et il se la pète, a commenté Murphy.
- C’est un petit voleur qui se croit malin, a renchérit Monty.
J’ai levé les bras au ciel :
- Pourtant vous êtes deux parfaits idiots, alors vous devriez vous entendre.

xxx

Murphy.

La vérité c’était qu’on ne s’entendait pas à cause de Jasper. Peut-être que dans une autre vie, on aurait pu devenir amis, s’il n’avait pas été là.

xxx

Monty.

La vérité c’était qu’on ne s’entendait pas parce qu’on était en compétition. On voulait tous les deux Jasper, moi plus que lui. Mais il semblait adorer m’emmerder. Et puis je comprenais qu’on puisse craquer pour mon meilleur ami. Honnêtement qui ne craquerait pas ?
Sauf que voilà, du coup, Murphy et moi on n’arrivait pas à s’apprécier. Je lui trouvais tous les défauts, il me trouvait tous les défauts aussi. On voyait tout à travers le filtre de celui qui voulait Jasper comme ami.

xxx

Jasper.

La journée a passé sans autres disputes. On s’est un peu baigné dans le lac, et un pêcheur nous as engueulé parce qu’on faisait fuir les poissons. Murphy l’a provoqué et au lieu de l’arrêter, Monty et moi, on a ri.
- Vous êtes des enfants des barres ? A-t-il demandé comme si ça expliquait tout.
J’ai hoché la tête.
- De la petite racaille, a-t-il craché avec mépris.
Murphy a prouvé qu’il avait raison en attrapant le fil de sa canne à pêche et en le cassant. Puis on s’est enfuit.
On est rentré en vélo chez Monty, on a joué aux jeux vidéo, puis il nous a dit :
- Mon père va bientôt rentrer.
C’était le signal pour nous de nous barrer.
- Et pourquoi on resterait pas pour faire la connaissance de ton père ? A provoqué Murphy.
J’ai soupiré et ai dit :
- C’est pas son père le problème, allez viens.
J’ai pris son bras et il l’a retiré. Mais il m’a suivi. On est rentré aux barres de chocolat en silence. On n’est pas tout de suite retourné chez nous, on a trainé un peu. Murphy s’est moqué de moi :
- Alors le petit fumeur comment tu te sens depuis hier ? Tu craches toujours tes poumons.
J’ai ricané jaune.
- Très drôle le grand fumeur.
Il a posé ses mains derrière son crâne :
- C’est toi qui voulait essayer, moi ça m’intéresse pas.
- Tu veux pas te mettre à fumer ?
- Non, ça coûte cher, c’est mauvais, ça pue. Et puis ça rend dépendant, et je ne veux pas devenir dépendant.
- J’imagine que c’est une bonne chose, j’ai dit.
- Pourquoi ? Tu voulais te mettre à fumer ?
- Non, pas spécialement. J’étais juste curieux de voir pourquoi tout le monde ici semblait aimer ça.
- Pas tout le monde, a dit Murphy. Bellamy ne fume pas.
- C’est vrai.

xxx

Murphy.

Jasper a pris l’air ébahi rien qu’au nom de Bellamy et j’ai regretté de ne pas avoir fermé mon clapet. Je lui ai mis une baffe derrière la tête :
- Redescend sur terre, Bellamy va pas s’intéresser à toi.
- Qu’est-ce que t’en sais ? Il est hétéro ?
- Pas toi ?
- Je suis bi, a-t-il dit très naturellement comme s’il ne risquait pas de se faire battre pour ça par pas mal de gens.
- Ferme ta gueule abruti, ne dis pas « je suis bi » aussi facilement.
- Pourquoi pas ?
- Parce que tu pourrais te faire tuer pour ça, t’es pas au courant ?
Il a haussé les épaules comme si j’exagérais.
- T’as pas répondu à ma question d’ailleurs, Bellamy, il est hétéro ?
- J’en sais rien moi, ai-je balancé, je lui ai jamais demandé. Mais je suppose que oui.
Supposition qui me vient de cette idée : la majorité de la population est hétéro.
- Dommage !
Je lui ai remis une claque derrière la tête :
- Atterrit Jasper.
Il s’est alors tourné vers moi et m’a demandé :
- Et toi ? Tu es hétéro ?
Je l’ai tellement pas venu venir que je me suis sentit rougir et je me suis mis à bafouiller. Il a ri :
- Je prends ça pour un non, a-t-il lancé.
Je lui ai fait un fuck mais je ne l’ai pas contredit. À quoi bon ? Je ne pense pas être hétéro. En fait je m’en fous. Je ne compte pas tomber amoureux. Je compte bien ne jamais avoir cette faiblesse. Jamais.

xxx

Jasper.

Après je suis rentré chez moi. Et alors que je pensais la journée terminé, Laureline m’a foutu un coup de pied en passant à côté de moi :
- Tu pues, a-t-elle lancé.
- Tu es bonne pour la poubelle toi, ai-je rétorqué.
Elle m’a foutu un autre coup de pied et j’ai attrapé ses cheveux pour tirer dessus. Grave erreur, non seulement elle m’a foutu une paire de baffes, mais en plus elle s’est plaint à son père qui m’a foutu un coup de pied au cul, fort.
- On t’accueille ici, a-t-il dit, alors la moindre des choses c’est que tu te comportes bien.
J’ai hoché la tête alors que ma cousine souriait avec satisfaction. J’aurais voulu lui tordre le cou, à la place je me suis réfugié dans ma chambre. Je n’allais pas me mettre à pleurer parce que j’avais passé une assez bonne journée. Elle aurait été meilleure si Murphy et Monty pouvaient s’entendre, si les gens ne détestaient pas les gosses des barres et si ma cousine n’existait pas. Mais elle n’était pas si mauvaise, il y a eu des jours biens pires. Des moments où j’ai passé des heures à tourner en rond sur le bitume de la cour. Des moments où je me suis ennuyé alors que j’étais quand même avec des potes. Des moments où j’ai failli perdre Monty parce qu’on était petit et que notre amitié tenait à pas grand-chose. Juste des longues lettres et des anniversaires.
Alors, je trouve que c’était pas une mauvaise journée et que les vacances se passent plutôt bien.
J’ai déjà hâte d’être demain pour recommencer.

xxx

Murphy.

Quand ça sonne, je vais ouvrir, persuadé que Jasper vient pour le petit déjeuner. Mais derrière la porte, je trouve Bellamy. Son sourire de séducteur n’est pas peint sur son visage comme d’autres fois.
- Je viens te garder, dit-il.
- J’ai plus besoin de baby-sitter, j’ai onze ans. Bouffon !
Il penche la tête en avant et soupire :
- O est chez son père, je suis tout seul.
Il me fait ses yeux de chiots battus, ou bien du phoque perdu sur sa banquise. J’essaie de rester fort mais il ajoute :
- Et je m’ennuie…
- Roh ! Bon ben reste !
Je lui ouvre grand ma porte et ce matin-là, c’est Bellamy qui petit déjeune avec moi et ma mère. Quand Jasper vient je lui dis :
- Désolé aujourd’hui je babysitte mon voisin.
- Alors je dois me passer de ta délicieuse nourriture ?
- Il a déjà tout mangé.
Jasper fait un peu la gueule et ça me fait plaisir de voir qu’il est déçu de pas passer du temps avec moi.
- Bon ben je vais chez Monty tout seul alors.
- C’est ça.
- Ça veut pas dire que tu me laisses tomber n’est-ce pas ? Demande-t-il.
J’ai une envie sadique de lui dire que si, pour voir son visage se décomposer et être sûr qu’il tient à moi. Cependant, je ne le fais pas. Parce que je suis trop bon.
- Mais non. Allez file.
Il me sourit, me fait un signe de la main puis s’en va. Je referme la porte.
- C’était qui ? Demande Bellamy.
- Jasper.
- La petite fille de cendre ?
- L’appelle pas comme ça c’est ridicule. Mais oui, lui.
- Tu as l’air de bien t’entendre avec lui dernièrement. Je vous vois souvent ensemble.
- On s’entend bien.
- Je suis jaloux, annonce-t-il.
Il dit n’importe quoi.
- Tu traines plus avec moi comme avant, et tu te fais de nouveaux potes.
- Et ouais, je grandis, je peux pas passer ma vie avec mon baby-sitter, ce serait ringard.
Il fait la moue, j’ai envie de lui pincer la joue. Je n’en fais rien.
- Viens, dis-je, allons jouer au basket.
Il accepte ma proposition.

xxx

Monty.

J’ai la satisfaction de voir Jasper arriver seul sur son vélo. Du coup on ne sort pas, on reste dans ma chambre à jouer aux jeux vidéo. Au début on le fait en silence, puis il me demande :
- Alors tu t’es amusé dimanche ?
- J’étais à la mer, dis-je, dans un bungalow cinq étoiles.
- Wouah.
- La plage était privée et le paysage super beau.
- Espèce de chanceux. T’as dû t’éclater.
Je ne le détrompe pas et demande :
- Et toi t’as fait quoi dimanche ?
- On est sorti au lac avec Murphy.
Comme je m’en doutais, je ne fais pas de commentaire, mais Jasper continue :
- On a fumé ensemble.
- Pardon ?
- J’avais piqué les cigarettes de mon oncle et on a fumé une clope ensemble. Murphy et moi.
Je m’étrangle, met pause sur le jeu pour pouvoir le regarder en face :
- Vous avez fumé ensemble ?
Jasper rougit un peu :
- Tu trouves ça naze ?
- Si je trouve ça naze ?
- Ouais…
- Mais je m’en fous Jasper, dis-je avec énervement.
Je lui balance mon oreiller à la tronche agacé et il se rapproche de moi :
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Ce genre d’expérience, c’est pas avec Murphy que tu devrais les faire bordel ! C’est avec moi. On a toujours tout partagé.
Je sais que c’est stupide, je sais que c’est égoïste, mais putain, notre première connerie on l’a fait ensemble, notre première coupe ratée aussi. Nos premières expériences c’est ensemble pi c’est tout. Même si je suis persuadé que fumer est dégueulasse, je suis dégoûté de savoir que Jasper l’a fait avec Murphy et pas avec moi.
- Calme-toi Monty, c’était juste comme ça.
- Juste comme ça…
- Ouais. En plus c’était parfaitement horrible. J’ai juste passé mon temps à tousser.
- Et ben, c’est ensemble qu’on aurait dû tousser !
J’ai les sourcils froncés et les poings serrés et Jasper fait la moue.
- Pourquoi ça t’énerve autant je pige pas !
- C’est moi ton meilleur ami, pas Murphy.
Ce que je ne dis pas c’est « j’ai peur que tu me remplaces » mais Jasper doit l’entendre et dit :
- Ben je sais, pour moi, tu es irremplaçable.
- Alors pourquoi tu fais ce genre de trucs avec Murphy et pas avec moi ?
Il hausse les épaules.
- J’ai pas réfléchis. Tu veux qu’on fume ?
- Non ! C’est plus la peine maintenant.
Je me sens triste, je n’ai plus envie de jouer aux jeux vidéo, je n’ai pas non plus envie de sortir en forêt, je n’ai même pas envie de fumer.
- Promis la prochaine fois on fera des trucs ensemble, dit-il en venant tout prêt de moi.
Il passe son bras autour de mes épaules :
- Tu es mon meilleur ami pour toujours. T’inquiète pas.
- Et Murphy c’est quoi ?
- Un très bon ami. On peut être amis tous les trois, tu sais.
- Hm, oui.
C’est dur pour moi. J’ai trop l’impression que Murphy veut me prendre Jasper. Je n’arrive pas à rester calme. Je m’en veux d’être aussi possessif et jaloux, j’ai peur que mon meilleur ami en ait marre de moi, j’ai peur qu’il trouve ma petite crise débile et qu’il m’en veuille, mais à la place il me prend dans ses bras. Je me sens réchauffé par cette étreinte, je ferme les yeux. Jasper murmure à mon oreille des paroles rassurantes. Il m’assure encore une fois que je suis irremplaçable, que je suis son meilleur ami, que la prochaine expérience on la fera ensemble. Puis il me relâche et me sourit.
- Ça va mieux ? Demande-t-il enfin.
Je hoche la tête :
- Tu sais y faire, dit-il.
- T’as vu ça ? Je sais exactement comment te consoler !
- N’en profite pas.
- Jamais !
Son sourire s’agrandit, et j’abandonne.
Je lui rends.

xxx

Jasper.

Je ne savais pas que Monty aurait voulu qu’on fume ensemble. Si je l’avais su j’aurais attendu qu’il soit là pour le faire. Ça aurait été marrant tous les trois, on aurait toussé comme des idiots – bon sauf Murphy qui sait y faire. La prochaine fois je m’arrangerai pour qu’on fasse un truc à nous trois et pas seulement Murphy et moi, ou Monty et moi. Tous les trois je suis sûr que ce sera vachement fun. Et ça pourra peut-être les réconcilier.
Parce que je suis sûr qu’ils pourraient s’entendre s’ils apprenaient à se connaître au lieu de se faire la gueule et de se balancer des piques.
Je tapote le dos de mon meilleur ami, son sourire me fait chavirer et j’attrape ma manette avec un regard interrogateur. Il reprend la sienne :
- Okay, jouons, dit-il. Je vais te massacrer.
Je lance un « mouahahaha c’est ce que nous verrons », et c’est reparti pour nos jeux.

À suivre.
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