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[Les 100 - UA] Les apparences (chapitre 3)

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Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: [Les 100 - UA] Les apparences (chapitre 3) [Les 100 - UA] Les apparences (chapitre 3) Icon_minitimeSam 24 Fév - 22:51

Fandom : Les 100
Prompt : C'est à toi que je pense.
Note : Pas relu, dernier chapitre. C'est nyanyan je préviens.

***


Quand Bellamy se réveilla, il se mit à paniquer. Il était complètement nu et Murphy dormait à côté de lui, la couverture le couvrant à peine. Bellamy la remonta en rougissant. Merde, merde, merde. Qu’avait-il fait ? Coucher avec ce type était une erreur. Murphy ne fut plus le type attirant, il redevint l’acteur archi connu. Ça ne pouvait pas marcher entre eux, pire que ça, cette nuit pouvait finir sur internet, et la vie de Bellamy serait changé à jamais. Très rapidement, il se rhabilla, sans réveiller Murphy, et passa par le balcon pour retourner dans sa chambre. Là-bas il prit une douche et tenta de se calmer. Ensuite il appela sa petite sœur. Elle avait toujours la grippe.
- Tu prends bien tes médicaments ?
- Oui. Raconte-moi comment ça se passe avec Murphy.
- Et toi avec Lincoln, c’est quoi ce tatouage ?
- Tu l’as enfin vu ? C’est pas trop tôt. Je croyais que tu regardais pas Twitter.
- Ce n’est pas moi qui l’ai vu.
- Qui alors ?
- Personne, je raccroche, on en parlera quand je rentrerai.
- Tu es contre ?
Bellamy soupira :
- Non, mais j’aurais aimé que tu m’en parles avant. Je rentre ce soir.
- À ce soir, profite bien de Murphy.
Si tu savais, pensa Bellamy. Mais elle ne saurait jamais, il ne lui dirait jamais, jamais jamais. Ce qu’il avait fait n’avait été qu’une erreur, ils étaient tous les deux fatigués, il faisait chaud dans la chambre, ils avaient pris ça pour de l’attirance, ils s’étaient embrassés, ça avait été un peu plus loin. Voilà tout. Rien d’autre. Bellamy devait mettre tout ça derrière lui. Il se cloîtra dans sa chambre, il aurait voulu que ça dure mais Murphy entra dans la pièce en passant par le balcon.
- Pourquoi tu n’es pas resté ?
- C’était une erreur, fit Bellamy.
Murphy eut l’air blessé un instant puis son sourire en coin revenant il dit :
- Pas une erreur, un jeu.
- Pour toi tout est un jeu, s’énerva Bellamy.
- Exactement. Et j’ai envie de jouer encore un peu.
- Je n’ai pas envie qu’on me surprenne avec toi.
- Hier ça ne te dérangeait pas, et aujourd’hui tu…
- J’ai été stupide. Je ne veux pas que des journalistes rentre dans ma vie. Je veux être tranquille.
Murphy se mordit les lèvres :
- D’accord, tu seras tranquille, mais jouons encore un peu, juste aujourd’hui. N’oublie pas qu’officiellement tu es en vacances avec moi. Ce serait bizarre si nous restions enfermés deux jours de suite.
Bellamy hocha la tête :
- D’accord, je veux bien jouer ce jeu, mais plus de baiser, okay ?
- Okay.
- Et ensuite…
- Ensuite on s’oublie, j’ai bien compris.
Bellamy ne sut pas pourquoi cela lui fit un pincement au cœur. C’était stupide de regretter, c’était mieux comme ça. Murphy retourna dans sa chambre et ils sortirent presque en même temps. Les journalistes qui étaient revenus les agressèrent et ils acceptèrent de répondre à quelques questions.
- Hier j’étais malade suite à une gueule de bois, fit Murphy, je ne suis pas sorti de ma chambre.
Pourquoi se faire passer pour un alcoolique alors qu’il détestait boire ? Bellamy ne comprenait pas.
- Mais aujourd’hui j’ai décidé de profiter de mon invité. Vous pouvez nous suivre et voir comment je prends soin des autres, fit-il avec un sourire carnassier.
Bellamy et Murphy visitèrent les mêmes choses que la veille, poursuivit par les journalistes, ce n’était pas aussi amusant. Ils essayèrent de passer outre mais ils entendaient sans cesse le crépitement des appareils photos et les commentaires des paparazzis. Les fans reconnaissant Murphy voulurent des autographes et des selfies avec lui. Bellamy fut mis de côté.
Voilà ce que devait être la vie aux côtés de Murphy, ça ne pouvait pas marcher.

Il fut vite épuisé de cette journée, et avant de retourner à l’aéroport, il s’enferma dans sa chambre. Il pensait faire une petite sieste avant que ce ne soit l’heure de partir mais c’était sans compter sur Murphy qui vint s’incruster en passant par le balcon.
- Un jeu de cartes ? Demanda-t-il. On n’a pas eu une minute à nous.
- Voilà à quoi ressemble ta vie, soupira Bellamy.
- Un jeu de cartes ? répéta Murphy en montrant le paquet.
- Murphy…
- S’il te plaît ?
Bellamy eut du mal à résister à ses beaux yeux bleus et à sa bouche faisant la moue :
- D’accord, accepta-t-il.
- Celui qui gagne a le droit à un vœu, okay ?
- Je te vois venir.
- Tu as peur de perdre ?
- Je vais gagner.
Bellamy perdit. Le vœu de Murphy se réalisa et il posa sa bouche sur celle de Bellamy en un long baiser.
- Merci pour ces vacances, dit-il, elles étaient instructives.
Bellamy le fit taire en l’embrassant à nouveau.
Ils faillirent rater leur avion.
Ils se parlèrent à peine pendant le voyage du retour. Bellamy passa beaucoup de temps à dormir. Murphy a écouté de la musique. Ce fut comme à l’allée. Comme s’ils ne se connaissaient pas, comme s’il ne s’était rien passé. Bellamy sentit son cœur se serrer. C’était donc bien fini, terminé. Tout ça n’avait été qu’un week-end un peu étrange, comme un rêve qui prenait fin.
Mais avant qu’il sorte de l’avion, Murphy le retint par le bras :
- Ce n’était pas un jeu, dit-il avec un ton sûr de lui.
Bellamy le regarda longuement, mais détacha son bras :
- Peut-être pas, mais ça ne peut pas marcher entre nous. Tu es quelqu’un et je ne suis personne.
Murphy le défia du regard et Bellamy détourna les yeux :
- Tu es surtout lâche !
L’acteur lui passa devant en lui donnant un coup d’épaule et sortit de l’avion avant lui. Dans l’aéroport, il fut alpagué par des tas de journalistes, et Bellamy disparu dans la foule, déjà oublié par les gens de ce monde.
Non, décidément, ils n’avaient rien à faire ensemble.

xxx

Bellamy ne raconta jamais à sa sœur la vérité. Il lui offrit la seule photo qu’il avait eu de Murphy.
- Même pas d’autographe ? Se plaignit-elle.
- Même pas.
- Tu le détestes à ce point ?
Qu’aurait-il pu répondre à sa petite sœur ?
- Tu avais raison, souffla-t-il, il est moins con qu’il n’y paraît. Mais je ne suis pas fan de lui, alors je n’ai pas demandé d’autographe.
- T’es le plus nul des grands frères.
- Oui.
Bellamy se sentait bel et bien plus nul, Il n’avait pas même pas pris son numéro de portable. Entre eux c’était vraiment fini et il n’avait pas les moyens de revenir sur sa décision.
Il en parla vite fait à Clarke.
- On a juste… Couché ensemble… Mais c’était rien.
- C’était rien ? Tu es sûr ?
- Oui, rien de rien. Il m’a déjà oublié ?
- Et toi ?
Qu’aurait pu dire Bellamy ?

Voir ses films lui faisaient mal. Voir la série dans laquelle il jouait lui faisait mal. Entendre le son de sa voix lui faisait mal. Entrer dans la chambre de sa sœur et le voir partout en photo lui faisait mal. Bellamy ne l’avait connu que deux jours à peine, comment pouvait-il se sentir ainsi ? Comment pouvait-il penser à lui comme ça ?
Il aurait voulu que ce ne soit qu’une simple coucherie, mais est-ce que ça ne s’apparentait pas plutôt à un coup de foudre ? Sans doute que Murphy l’avait oublié de son côté. Concentré sur ses rôles, rencontrant d’autres personnes, pourquoi s’encombrer d’un inconnu.
C’est ce qu’il crut jusqu’à ce que sa sœur hurle sur son téléphone.
- Qu’est-ce qu’il se passe ? Demanda-t-il.
Octavia lui passa le téléphone. Murphy lui avait envoyé un message sur Twitter :
« Hey salut petite sœur, comment va ton grand frère ? »
- Pourquoi est-ce qu’il me demande ça ?
- J’en sais rien moi, ronchonna Bellamy le cœur battant à toute vitesse. Tu vas lui répondre ?
- Oui, c’est trop merveilleux pour que je ne réponde pas.
- Tu vas dire quoi ?
- Qu’en ce moment tu fais la gueule tout le temps et que tu es de très mauvaise humeur.
- N’importe quoi, passe-moi ton portable !
- Non. Si tu veux lui parler, tu n’as qu’à t’inscrire sur Twitter.
Bellamy haussa les épaules comme s’il s’en fichait, mais il ne s’en fichait pas du tout. Pas du tout.
- Il a encore répondu, cria-t-elle.
- Il a répondu quoi ? Demanda-t-il à toute vitesse.
- Pourquoi ça t’intéresse ?
- Ça m’intéresse pas.
- On dirait pourtant.
- Il a dit quoi alors ?
- Il m’a dit de te dire de t’inscrire à twitter.
- Et pour quoi faire ? Fit Bellamy de mauvaise foi.
- Je crois qu’il veut te parler. À toi, pas à moi. Pff, mais qu’est-ce que tu lui as fait ?
- Rien du tout.
Bellamy sortit son portable et Octavia sourit :
- Tu vas t’inscrire hein ?
- Non pas du tout, je regarde juste mes messages.
- Ah il m’a répondu encore.
Bellamy la fixa avec envie.
- Il me demande ton numéro de téléphone.
- Ne lui donne pas.
Deux minutes plus tard son portable sonna.
- Il t’appelle plutôt vite pour quelqu’un avec qui il ne s’est rien passé.
- O, je t’avais dis de pas lui donner.
- Et j’ai désobéis, sourit-elle, répond-lui.
- Non.
Bellamy raccrocha, pour recevoir un texto juste ensuite :
« J’ai beau essayer d’oublier, j’ai beau essayer de voir d’autres personnes, c’est à toi que je pense. »
Le cœur de Bellamy sauta dans sa poitrine.
- Il te dit quoi ?
Le grand frère blanchit, rougit, bafouilla :
- Rien du tout !
- Vu ta réaction c’est pas rien du tout.
Mais Bellamy ne lui montra pas le SMS.
- Tu comptes lui répondre ?
- Non. Pourquoi ?
- Pourquoi non ?
- Parce que. Je ne comprends pas pourquoi il m’écrit.
- Ben de toute évidence, il a dû s’attacher à toi.
- N’importe quoi.
- Alors pourquoi te rechercher ainsi ?
- C’est un acteur hyper connu, pourquoi s’intéresserait-il à un simple mortel comme moi ?
Octavia roula des yeux et leva les bras en l’air :
- Peut-être parce qu’il est un simple mortel aussi, t’as jamais lu son twitter ?
- Non.
- Et bien tu devrais !

Bellamy attendit le soir, d’être revenu du travail, il s’enferma dans sa chambre, se mit à son ordi et s’inscrivit sur Twitter puis il alla lire celui de Murphy.
« Être acteur c’est bien, être humain c’est mieux. Être un androïde, ça claque. »
« Quel est le con qui a décidé qu’on ne pouvait pas aimer qui on veut aimer ? »
« Les femmes ont autant de droit que les hommes. Et de gauche. »
« Je soutiens les mouvements LGBT+ »
« Si tu ne te lèves pas pour laisser ta place à une femme enceinte dans le bus, t'es pas flemmard. T'es juste un enfoiré ! »
Il y en avait pleins d’autres dans le même style, avec le petit ton sarcastique de Murphy. Bellamy passa des heures à les lire, à regarder ses photos, ses vidéos. À retomber un peu plus amoureux et à comprendre pourquoi sa sœur était fan.
Minute.
Amoureux ?
Bellamy se claqua le front sur le bureau et répondit à Murphy :
« Oublie-moi s’il te plaît, je ne suis pas de ton monde ».
« Il n’y a pas plusieurs mondes, il y en a qu’un seul et nous vivons dans le même, c’est pour ça que l’on a pu se rencontrer. »
« Je te répondrai plus. »
« Si tu ne me réponds plus, je trouverai ton adresse. »

Bellamy cru que ce n’était qu’une menace en l’air jusqu’à ce qu’ils reçoivent les fleurs. Avec la carte.
« Je n’insisterai pas, c’est la dernière fois et je ne veux pas te harceler. Mais si je peux avoir ton adresse (merci à ta sœur) alors c’est que nous vivons dans le même monde et que je peux ressentir ce que je ressens. Si tu ressens un peu la même chose, j’attends ta réponse. J.M »
Bellamy garda la carte, garda les fleurs mais ne répondit pas.

Ça ne marcherait pas, ça ne marcherait jamais. Mais Murphy lui manquait, il lui manquait au point que Bellamy se faisait du mal en allant voir ses tweets.
« Le seul autre monde que je connaisse, c’est celui de Star Wars, alors tant que tu parles à l’endroit d’une voix normale sans te battre au sabre laser et que tu ne ressembles pas à chewbacca, tu viens de mon monde ».
- Je ressemble un peu à chewbacca, murmura Bellamy.

Clarke finit par le prendre à part :
- Tu devrais faire quelque chose, tu dépéris.
- Ah bon ?
- J’ai commencé à suivre les tweets de ce John Murphy et il est évident qu’il parle de toi.
- Ah bon, quand ça ?
- « Ses tâches de rousseurs envahissaient ses joues, si j’ai pu le voir, c’est qu’on venait du même monde »
- Il est obsédé par ce même monde.
- Tu les lis toi aussi ! Tu sais ! Alors fais quelque chose.
- Il ne parle pas de moi, je ne suis pas la seule personne à avoir des tâches de rousseurs, fit Bellamy.
- Mais toi tu as des taches de rousseur et tu as couché avec lui, il parle de toi. Il t’aime, ça se voit.
Bellamy soupira et Clarke murmura :
- Et vu comme tu déprimes en ce moment, tu l’aimes aussi. Alors fais quelque chose avant de le perdre.
- Je vais y réfléchir.

Mais il ne fit rien, il ne fit rien jusqu’à ce que Murphy annonce sur tweeter qu’il laissait tomber « aie tout s’est cassé ». Jusqu’à ce que Murphy dise qu’il a trouvé quelqu’un pour remplir sa vie, et qu’il éprouve tellement de regrets qu’il ait l’impression que son cœur s’arrête de battre dans sa poitrine. Maintenant c’était trop tard, et sa lâcheté lui avait fait perdre quelqu’un de précieux. Quelqu’un avec un sourire en coin et des yeux bleus comme l’océan qui les avait mouillés. Quelqu’un qui trichait aux cartes pour obtenir son vœu et qui escaladait les balcons sans peur. Quelqu’un qui faisait semblant d’être alcoolique alors qu’il ne buvait pas une goutte. Quelqu’un dont Bellamy était tombé amoureux sans s’en rendre compte. Tout ça parce qu’il ne venait pas du même monde.
Mais il n’y avait qu’un seul monde, n’est-ce pas ?
- O, qu’est-ce qu’il se passerait si un jour je sortais avec un acteur super connu, est-ce que tu m’en voudrais à cause des journalistes ?
- Nope, m’en ficherait, dit-elle, tant que tu es heureux.
- Vraiment ?
- Oui.
- J’aime Murphy, dit-il.
Elle leva un bras en l’air :
- Yes ! Je le savais.
- Mais je l’ai perdu.
- Je vais t’aider à le regagner, il y a une convention bientôt, et il participe, je me suis achetée un billet, mais je te le donne, vas-y.
Bellamy serra sa petite sœur dans ses bras. Il irait.

Il ne savait pas à quoi s’attendre, il passait pour un fan comme un autre, devant les autres, pourtant il n’avait jamais été fan de Murphy. Au début, il le détestait, ensuite il l’avait aimé. C’était tout. Il voulait le voir, s’excuser, savoir s’il restait une chance, une dernière petite chance, pour lui. Il s’assit sur un siège près de la scène. Murphy et d’autres acteurs entrèrent, Bellamy ne les connaissait pas bien, il n’avait d’yeux que pour un seul. Murphy ne l’aperçu pas. Bellamy attendit, attendit encore, longtemps, puis il eut enfin le courage de demander le micro et se leva. Aussitôt Murphy braqua ses yeux sur lui, et la question de Bellamy fut étrange pour les autres, mais pas pour l’acteur :
« J’ai compris qu’il n’y avait qu’un seul monde, est-ce que je l’ai compris trop tard ? »
Murphy posa le micro, descendit de scène, se posta devant Bellamy, puis l’embrassa.
- Non, répondit-il. Non il n’est pas trop tard. Tu es pile à l’heure.

xxx

« JOHN MURPHY A UN PETIT AMI.

Hier, lors de la convention CDL3, se passant dans la ville de X, le célèbre acteur John Murphy a fait son coming out en embrassant un homme devant tout le monde. Il se trouve que cet homme n’est autre que celui qui avait participé au concours « gagner un voyage avec John Murphy »…

Bellamy posa le journal et ronchonna :
- Ils n’ont pas mis longtemps.
Murphy vint se serrer contre lui et embrassa sa joue :
- Tu vas devenir célèbre maintenant. Mon petit-ami.
Bellamy le poussa sur le lit tandis que Murphy ricanait. Il l’embrassa pour le faire taire. Il se fichait de ce que dirait les journaux, tout cela n’était qu’apparence.
Bellamy avait trouvé sa réalité.

Fin.
Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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MessageSujet: Re: [Les 100 - UA] Les apparences (chapitre 3) [Les 100 - UA] Les apparences (chapitre 3) Icon_minitimeVen 15 Juin - 18:43

RAH PUTAIN !!!! Mais c'était hyper oizjegiujgoeqiùhezmgiojsrgmojh*pùqez

J'me sens plus, j'adore le final !!! Raaaaah, Bellamyyyyyy !! T'aurais pu éviter de faire du mal à Murphy en ne lui répondait pas quand même, il est bouché celui là ! J'ai adorééééé <3 Bravo ! Smile
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