Prompt : Ça ne se passera pas comme ça la prochaine fois.
Note : C'très nul, mais voilà. Destiel by the way.
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Dean qui détourne les yeux. Qui change de sujet. Qui fait preuve de cet humour que Cas n’arrive pas à assimiler.
Cas qui comprend que Dean a recommencé, qu’il ne peut pas s’empêcher de ne pas dire ce qu’il devrait dire. L’ange comprend presque comment Sam doit se sentir dans ce genre de situations.
Il ne lui dit pas tout, et se cache dans sa torpeur. Comme une tortue rentrant la tête et les pattes, bien dissimulée derrière sa carapace.
Et Castiel qui voit tout ça, un peu vexé, un peu frustré, sans comprendre réellement ce qu’il ressent.
Et Castiel, qui a cette idée en tête, qui décide, que ça ne se passera pas comme ça la prochaine fois. Qui réfléchit, qui, mine de rien, peut-être sans faire exprès, connaît parfaitement, ou juste assez, Dean. Le voilà qui est parti, comme à son habitude. Ange instable, qui ne peut pas tenir en place.
Plus tard, Dean a toujours sa mauvaise tête, et même Sam, ne peux rien en tirer. A vrai dire, c’est tellement épuisant, de devoir toujours tenter de devoir tirer les mots de son frère, plutôt qu’ils viennent d’eux même.
Plus tard, sans qu’on ait besoin de l’appeler, de briser un ange, de prier, Castiel refait son apparition. Il a quelque chose dans les mains, et Sam, en voyant cela, a un petit sourire en coin. Manque de rire.
Là maintenant, Dean tourne sa tête, vers l’ange innocent, qui tiens en ses mains un présent, qui n’est ni de l’encens, ni de la myrrhe et encore moins de l’or.
Quoiqu’aux yeux du chasseur, ça pouvait très bien un vrai trésor. Une magnifique tarte encore fumante, à la pommes, se tenait devant lui. Comme tombée du ciel, venant tout droit du paradis.
Que Castiel tendit à Dean, naturellement. Se disant que peut-être que même si Dean ne voulait pas parler de ce qu’il cachait derrière sa carapace, manger une tarte aux pommes, l’aiderait à se sentir mieux.
C’est ce qu’il paru se produire. Dean croquant à pleines dents cette délicieuse tarte, oubliant juste un peu ce qui le contrariait.
Castiel s’en rendit compte, et paru légèrement soulagé, tandis que Sam, lui, se posait une question. Qu’est ce qui avait rendu le plus heureux Dean. La tarte, ou Castiel ?
A cette réponse plus difficile que le fait que ce soit la poule ou l’œuf qui soit venu en premier, le jeune frère décida de se faire son propre avis sur la question, et resta silencieux quant à ses véritables pensées.
Fin.
Note : C’tout pourri, mais voilà voilà !