Prompt : Faire de la théorie une réalité, né au mauvais siècle
Dans ce château, se prononçait des murmures discrets, que l’on n’aurait su déceler correctement, sauf si on avait déjà des doutes sur ce qu’ils disaient. Des noms se répétaient, et sans cesse les même, qui tournoyaient en un rond si peu parfait qu’il ressemblait plus à un triangle, voir même parfois à un carré.
Celle d’un amour qui rodait de partout, longeant les murs sans jamais s’arrêter. Ce n’était qu’une théorie, mais de ce qui disait, le Roi aimait son Valet et la Dame son Cavalier. Une partie d’échecs qui n’auraient su se résoudre que par des échecs en amour, de ce fait, personne ne désirait y croire.
Comment cela était-il possible ?
Seulement, la théorie commençait à dépasser sa simple fait d’hypothèse. A vrai dire, la théorie devenait réalité et nul ne pouvais pas voir Merlin serrer un peu trop fort Arthur.
Leur discrétion ne cessait pas pourtant d’être, mais tout le monde le savait, c’était sur la bouche de tout les gens du palais, et la demoiselle vivait alors en poursuivant son autre rêve d’amour.
Cet amour ne serait sûrement jamais accepté, mais c’était trop tard. Des regards, des petits gestes bien en coin, n’en restait qu’une relation qui brûlait plus que jamais.
Et au diable le fait d’être né au mauvais siècle, tant que rien ne devenait officiel, que la réalité ne pourrait jamais être considéré sans preuves, alors Arthur et Merlin pouvaient rester ensemble.
Comme des scènes entre les pages d’un livre.
Fin.