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[Les 100 - UA] Devant l'école

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Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
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Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: [Les 100 - UA] Devant l'école [Les 100 - UA] Devant l'école Icon_minitimeSam 2 Sep - 12:24

Fandom : Les 100
Prompts : Parfois je me fous les jetons.
Comment on en est arrivé là ?!
Note : Murphamy et oui =), truc qui me trotte dans la tête depuis quelques temps éhéhé ! C'est écrit un peu bizarrement, c'est parce que dans ma tête ça apparaît en manga et c'était dur à retranscrire avec des mots, voilà.

***

1. Les yeux assassins et le grand type canon.

Je ne sais pas comment tout a commencé. Je ne sais pas à quel moment tout a basculé.

xxx

- Tu veux que je te fasse une natte ?
Octavia hoche la tête et je coiffe ses cheveux. Elle porte un short noir et un tee-shirt de la même couleur, mais elle a tenu à mettre ses baskets rouges, alors elle détonne dans le décor. Ça fait cinq fois que je lui dis de mettre son gilet, que les jours se rafraichissent, mais elle a toujours autre chose de plus important à faire. J’ai peur qu’on arrive en retard, elle a l’air de s’en fiche et colle une dernière gommette sur son sac à dos (elle ne voulait pas de sac à roulettes).
- Stresse pas Bell, tout va bien, me dit-elle.
- Dépêche-toi, on va être en retard O.
- Mais non, mais non.
Elle est enfin prête et c’est moi qui n’ai pas mis ma veste et mes chaussures. Octavia soupire après moi comme si j’étais un adulte irresponsable. Elle n’a pas tort.

Finalement on arrive en avance. Une fois devant l’école je n’ai pas envie de lâcher ma petite soeur. Je tiens sa main, je la serre fort. Elle me regarde et m’assure :
- Tout va bien aller Bell.
- Pas de bagarre.
- Promis juré.
- Fais-toi des amis.
Je me retiens d’ajouter « cette fois-ci ».
- S’ils sont d’accord.
Comment je pourrais lâcher sa main alors qu’elle me dit ça.
- Tout ira bien, insiste-t-elle. Ce ne sera pas comme avant.
Avant.
Dans son ancienne école. Octavia s’est fait moquer d’elle parce qu’elle n’avait pas de parents, parce que selon les autres elle était bizarre à adorer les papillons et les insectes. Ce n’était pas si grave, ça aurait peut-être pu s’améliorer, mais Octavia n’est pas le genre de gosses à se laisser faire, elle a frappé violemment trois gamins qui s’en prenaient à elle. Elle a été classé « enfant à problème », j’ai été classé « mauvais tuteur », et plus aucun gamin n’a jamais voulu jouer avec elle, ils l’ont isolé jusqu’à la fin de l’année. Et j’ai décidé de la changer d’école. Repartir à zéro.
- Pas de bagarre, je répète.
- Okay Bell, si on m’emmerde…
- Si on quoi ?
- Pardon. Si on m’embête je préviens le maître ou la maîtresse ou je te le dis à toi. Je ne tape personne.
- Sinon on annule les cours de karaté, la prévins-je.
Une menace qui a beaucoup d’effet, Octavia adore les cours de karaté.
- J’ai compriiiiis, ça fait dix mille fois qu’on le dit. Je peux y aller maintenant ?
Elle n’a pas peur alors que je voudrais faire demi-tour, l’embarquer avec moi et faire l’école à la maison. Mais comme elle n’a pas peur, je la relâche et elle entre dans la cours, où je n’ai pas le droit de la suivre, où elle se retrouve seule dans la cage aux fauves. Espérons que tout se passe bien. Je la regarde une minute, puis je me dis que je dois couper le cordon (c’est même pas moi qui l’ai mis au monde bordel), et je me détourne. Pour rentrer sans faire exprès dans quelqu’un. Je m’excuse. Deux yeux bleus me poignardent, comme si j’avais commis un crime qui méritait le mépris. Je n’y fais pas attention, je me suis déjà excusé, je trace ma route et je vais au boulot. Je fais des ménages pour des gens, je nettoie leur maison, je repasse leurs vêtements, rien de bien folichon, mais ça me fait de l’argent et j’ai des horaires assez souples ce qui me permet de m’occuper d’Octavia et d’étudier en autodidacte.
J’ai toujours eu pleins de rêves. Devenir médecin, aller sauver des gens dans d’autres pays, aller visiter d’autres planètes, ou simplement devenir une sorte d’artiste reconnu. J’ai pensé longtemps que je pourrais bien m’en sortir, qu’il suffit d’y croire et de se donner les moyens pour les réaliser.
La réalité c’est que j’ai Octavia, que je suis à la fois frère et père à vingt ans et que je ne peux pas faire ce que je veux. Mais j’aime Octavia, je ferais n’importe quoi pour elle, pour qu’elle, elle puisse réaliser n’importe lequel de ses rêves, tous même.
Alors ce n’est pas si grave.

xxx

Je passe la journée à ruminer et stresser. J’ai mon portable allumé, le son à fond, au cas où l’école m’appelle pour m’annoncer une mauvaise nouvelle. Finalement il ne se passe rien et je vais devant l’école pour attendre ma petite sœur. Qui me rejoint avec un sourire jusqu’aux oreilles. Elle s’est fait deux copains, apparemment. L’un est dans sa classe, il s’appelle Atom. L’autre a dix ans, il est dans une classe au-dessus, il s’appelle Lincoln. C’est un véritable soulagement de savoir qu’elle ne va pas être seule les prochains jours. Je sens la tension diminuée. Tout va bien se passer alors.

xxx

Les jours passent. Je m’habitue peu à peu à cette école, aux parents qui viennent chercher leurs enfants en même temps que moi, je discute avec eux, je récupère ma petite sœur, et tout se passe très bien. De temps à autre je croise les yeux bleus assassins, c’est un gosse, un lycéen sans doute. Il se tient souvent seul dans son coin, ne se mêle pas aux parents, des fois il est en vélo, des fois à pieds, et parfois il est avec des amis à lui. Il ne vient pas à chaque fois, mais il repart avec un môme de l’école. Des fois on se croise aussi le matin, le même môme collé à ses baskets. J’ai pensé que c’était son petit frère, puis j’ai entendu le gamin dire à sa maîtresse « voilà ma nounou ».
- Je suis pas ta nounou, sale môme, grogne les yeux de tueur.
Une autre fois, le môme gueule :
- Fifi !!
- M’appelle pas comme ça.
- Mais avant tu disais rien.
- Avant t’avais trois ans !
- Et je t’appelle comment alors ?
- John.
- Mais John c’est moche, se plaint le petiot. ^
- C’est comme ça que je m’appelle.
- Ben tu t’appelles mochement !
- Tu penses que Jasper c’est mieux peut-être ?
- Carrément mieux !
- Sale gosse. Bon. Appelle moi Murphy sinon.
Le môme semble bouder, puis se reprend :
- Okay Muyphyphy !
Il se reçoit une tape derrière la tête mais ça le fait marrer. Octavia me tire par la manche :
- On y va ?
- Ouais ouais on y va.

Un jour, le môme se cogne dans mes jambes à courir partout. Je dis le môme, mais il s’appelle Jasper.
- Pardon monsieur.
Ça me fait bizarre de me faire appeler monsieur, j’ai l’impression d’avoir pris dix ans. Je pense que Jasper va rejoindre son baby-sitter, mais il me regarde avec des grands yeux et me demande :
- T’es le papa d’Octavia ?
J’ai l’impression de prendre encore dix ans de plus.
- Je suis son frère.
Je m’attends à plus de questions, mais Murphy et ses yeux assassins appelle Jasper.
- Viens ici, on y va !
Et Jasper s’en va en coup de vent alors que je les regarde s’éloigner.

Jasper a un ami. Souvent il se fait engueuler par Murphy parce qu’il tient son ami par le bras et beugle :
- Encore un peu, je veux pas partir maintenant.
Octavia de son côté me demande pourquoi on ne part pas.
- Qu’est-ce que t’attends Bell ?
Effectivement, qu’est-ce que j’attends ?

Une fois Jasper tient une épée en carton dans sa main et il donne un coup sur la tête de Murphy, qui se met à lui courir après et c’est une course poursuite qui commence et Jasper se marre alors que Murphy pas du tout. Il finit par rattraper Jasper, lui prend son épée et lui tape sur la tête à son tour. Je surprends un sourire sur le visage de Murphy. Ça me fait tout bizarre.
Une fois Jasper pleure parce qu’il ne veut pas quitter son ami :
- Tu vas le revoir demain, fais pas chier, lui dit Murphy en le soulevant du sol pour le consoler.
Chaque fois Murphy prend le sac de Jasper sur son dos. Quand il a son vélo, il le pousse et marche à côté ou il fait monter Jasper derrière lui. Murphy s’énerve souvent après Jasper, mais ça ne dure pas longtemps. En fait il prend plutôt soin du gosse, mais il semble faire comme si c’était une corvée. Et pourtant il vient le chercher (ou il l’emmène à l’école).
Des fois Murphy ne vient pas. Et ces moment-là je me sens vide, stupide, je l’attends et je ne le vois pas, et je regarde Jasper et j’ai envie de lui demander « où t’a planqué ton baby-sitter hein ? » et je me sens encore plus bête. Alors je repars avec Octavia et je ne dis rien, j’essaie de ne plus y penser. Et pourtant j’y pense.
Et quand Murphy est là à nouveau, je me rends compte.
Que je n’arrive plus à le lâcher des yeux.
Et je ne sais pas du tout depuis quand. Ni comment c’est arrivé.

Je suis sûr d’une chose. C’est que je suis vraiment dans la merde.

xxx

(Murphy)

C’est pas vraiment que je me rends compte de son existence, c’est juste que des fois je remarque comme les mères lui mettent le grappin dessus dès qu’il est là. Et ça papote, et ça drague sévère, foutu tombeur va. C’est ce que je me dis. Ce mec, il doit se faire tout un tas de nana rien qu’en levant le petit doigt. Bon, faut dire qu’il est canon. Y a des gars qui naissent comme ça, et lui il fait partie du clan. Avec ses bouclettes, ses tâches de rousseurs et sa gueule de chiot. Je parle même pas de son sourire, j’ai cru voir une mère manquer de défaillir à un moment. Genre cupidon le type, il sourit, paf direct il te tire une flèche en plein cœur. C’est assez amusant à regarder, mais c’est chiant en même temps, alors je m’en occupe pas trop. Je sais juste qu’il n’était pas là avant, qu’il vient que depuis cette année. Emori l’a remarqué aussi l’autre coup, elle m’a foutu un coup de coude dans les côtes en marmonnant :
- Puréééée John, c’est qui ce beau gosse là ?
J’ai feins de ne pas comprendre.
- Qui ça ?
- Lui là, le grand avec les bouclettes et l’air canon.
- Oh lui.
- Ouais, alors c’est qui ?
Je hausse les épaules.
- J’en sais rien. Tu veux pas non plus que j’aille lui demander sa carte d’identité ou son adresse non ?
- Si t’arrive à avoir son numéro de tel en même temps.
Je roule des yeux et elle éclate de rire.
- Jaloux ? Me demande-t-elle.
Cette fois-ci c’est moi qui lui fout un coup de coude dans les côtes. Et je suis bien content de voir Jasper sortir de sa classe et dire à la maîtresse que je suis là à l’attendre. Ça évite de parler de sujet qui fâche avec Emori.

John, lui, n’a rien remarqué. Pourtant c’est lui qui m’accompagne le plus souvent jusqu’à l’école primaire. John Mbege, mon meilleur ami, qui porte le même prénom que moi, c’est pour ça que les gens ont plutôt tendance à m’appeler Murphy (sauf Emori), et lui John (Mbege c’est chiant à prononcer). Faut dire qu’il s’en fout des autres mecs, lui il est plutôt à s’intéresser à tout ce qui ressemble à un ballon, et d’habitude Emori est pareil. Je suis sûr qu’elle a remarqué le grand type canon juste pour me faire chier. Et le pire c’est que ça marche.

Heureusement la plupart du temps, je viens seul. J’emmène Jasper le matin, je l’attends à la sortie. Des fois c’est galère pour le tirer de cette foutue école, parce que môsieur veut rester avec Monty. Monty. Le centre de son monde, de son univers. Pas une journée qui passe sans que j’entende ce prénom dans la bouche de Jasper, et ça fait trois ans qu’ils se connaissent, ce qui fait beaucoup, beaucoup de « Monty ». Ils me font penser à ces oiseaux débiles, les inséparables, ils sont comme ça, ils ont du mal à s’éloigner, ils ont du mal à vivre sans l’autre.
- Je peux rester encore un peu steuplet steuplet, le temps que les parents de Monty viennent ?
Alors des fois on attend les parents de Monty. Mais pas chaque fois. Parce que je supporte pas la mère de ce gosse, elle pète plus haut que son cul, elle te regarde comme si elle possédait le monde et que toi t’étais une crotte sur son chemin. Enfin c’est surtout Jasper et moi qu’elle regarde comme ça. Parce que je l’ai déjà vu mater Mister Type Canon, et elle n’est pas mieux que les autres mères en sa présence.
En général elle attrape la main de son fils de manière autoritaire et il n’a pas intérêt de se plaindre, sinon elle lui en fout une devant tout le monde. Alors Monty il prend sa main, il ferme sa gueule et il fait juste un coucou d’au revoir à Jasper. Des fois, les parents de Monty s’occupent de Jasper, dans ces moment-là, je ne viens pas le chercher, alors j’ai jamais vu comment ça se passait, mais je suis sûre qu’elle arrive à museler Jasper et à le faire se tenir à carreau. Le père est plus cool, plus fun, quand il voit Jasper il lui tape dans la main et ils font un check, il est pareil avec son fils. Je suis sûr que c’était lui qui voulait un gamin et que sa femme a dû le subir. Mais bon, ce ne sont pas mes affaires.

Des fois, j’ai l’impression que le grand type canon regarde dans ma direction, mais ça doit être parce que Jasper est bruyant, il doit se dire que ce môme est emmerdant, je ne peux pas lui donner tort. Jasper fait beaucoup de bruits, remue beaucoup d’air et se remarquer par tout le monde. À l’école il se fait souvent engueuler par sa maîtresse, qui vient me voir pour m’indiquer qu’il a des problèmes de comportement et que je dois passer le message à ses parents, mais je suis pas totalement sûr que ça les intéresse ou qu’ils vont y remédier.
- Tu peux pas essayer d’être plus sage ? Je lui dis des fois. Ça m’emmerde que ta maîtresse vienne me voir.
- Je serai plus sage à partir de demain ! Me répond-il la plupart du temps.
Mais ça n’arrive jamais.
Bah tant pis, j’imagine que ça fait partie de sa personnalité.
Et si ça plaît pas au grand type canon, ben je peux rien faire pour lui.

xxx

(Bellamy)

Je me suis baffé les joues de toutes mes forces après avoir emmené Octavia à l’école et avoir croisé Murphy. Je me les suis baffé encore plusieurs fois dans la journée pour me remettre le cerveau à l’endroit. Faut que j’arrête mes conneries, tout de suite, maintenant, immédiatement. C’est décidé, à partir d’aujourd’hui, je ne m’occuperai plus de ce Murphy, j’irai chercher Octavia comme un grand frère responsable et je ne ferai attention à rien d’autre.

Tiens. Il n’est pas là aujourd’hui. C’est la première pensée que j’ai en arrivant devant la cours de l’école. J’ai envie de me foutre des baffes mais ce serait vraiment bizarre de faire ça devant tout le monde. Je me concentre sur la mère qui me parle, je lui souris et lui répond. Octavia arrive et je l’emmène avec moi et notre route rencontre celle de Murphy qui marche les mains dans les poches l’air nonchalant. Il est en retard, ça n’a pas l’air de l’ennuyer ni de le traumatiser, il ne se presse pas pour arriver. Je sens mon cœur sortir de ma poitrine quand ses yeux croisent les miens, par hasard. Je détourne la tête, je parle à Octavia, je lui prends la main et la tire pour qu’elle marche un peu plus vite. Et mon cœur met au moins cinq bonnes minutes à se calmer. Et se baffer les joues n’a absolument aucun effet.

J’ai rêvé de Murphy ensuite. C’était rien, il apparaissait juste dans mon rêve. Mais je me fiche les jetons. Qu’est-ce que j’ai à courir après un lycéen franchement ? Ça va pas la tête ? Je suis quoi ? Une espèce de gros pervers ? Faut absolument que je me calme. Absolument. À partir d’aujourd’hui, promis, je ne ferai plus attention à Murphy (même si j’ai déjà dit ça hier).

Je ne le cherche pas des yeux à l’école, je fixe un point au loin, et j’attends Octavia. Je fais tous ces efforts pour rien, parce que sans le chercher, c’est lui qui me trouve. J’ai l’impression de fondre sur place quand il se retrouve en face de moi à me regarder dans les yeux. J’ai l’impression qu’il va me dire qu’il sait tout, me traiter de gros pervers et m’emmener à la police, et je sais qu’il aurait raison. À la place il me tend mon portable :
- Il vient de tomber de votre poche, dit-il.
Il traine sa voix quand il me parle. J’essaie de paraître normal, de pas me mettre à faire un truc bizarre, ou dire une connerie. Je prends mon portable, frôle ses doigts, ils sont longs et fins et ses ongles sont rongés jusqu’au sang. Je m’en veux de remarquer ça. Je me dépêche de remettre mon portable dans ma poche et je détourne les yeux.
- Merci, dis-je brusquement.
Il s’éloigne et moi je suis incroyablement heureux d’avoir pu lui parler, même pour échanger si peu de mot. J’ai à la fois envie de sautiller en souriant bêtement, et me cogner la tête contre un mur pour arrêter d’être heureux et d’agir comme un abruti d’adolescent. Je suis un adulte bon sang, j’ai vingt ans. Et surtout, je ne peux vraiment pas craquer pour un gosse qui doit avoir quoi ? Seize ans. Je ne peux pas.

xxx

(Murphy)

Je crois que le grand type canon n’aime pas les adolescents, (ou bien c’est la gent masculine qu’il déteste ?) il s’est montré super brusque alors que je lui ai ramassé son portable. Sans moi il l’aurait perdu. Il m’a à peine regardé, genre je le dégoûtais. Ça doit être ce qui arrive quand on est aussi beau, on a l’impression que les autres mecs sont tous moches.
Pauvre type.

À suivre.
Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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Date d'inscription : 08/08/2013

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MessageSujet: Re: [Les 100 - UA] Devant l'école [Les 100 - UA] Devant l'école Icon_minitimeSam 2 Sep - 12:40

OMYGOD J'ADOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORE !ù!ù!!!^
L'ambiance est trop bien, jle vois vraiment bien en manga t'avais raison, ça donne un style hyper bien à ton histoire je kiiiiiiffe !

Vivement la suite !
Maeve
Maeve
Je suis ton père Luke
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Date d'inscription : 17/08/2012

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MessageSujet: Re: [Les 100 - UA] Devant l'école [Les 100 - UA] Devant l'école Icon_minitimeLun 4 Sep - 21:21

Coucou!

J'adore. Le style. D'écriture. C'est très très vivant, et tes personnages enfants sont toujours aussi attachants.
J'aime beaucoup !^^
(Bell est mal barré :'D)

Maeve

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MessageSujet: Re: [Les 100 - UA] Devant l'école [Les 100 - UA] Devant l'école Icon_minitime

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