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Original - pas de spoil - LES DEUX L (8)

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Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
Messages : 1062
Date d'inscription : 08/08/2013

Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Empty
MessageSujet: Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Icon_minitimeSam 3 Oct - 22:14

Fandom: Original
Prompt: Il a le cœur tout léger.
Note: Bonne lectuuuure !!!



LES DEUX L


Nos débuts sur YouTube me donna une toute nouvelle confiance en moi. Liam m'accompagna dans un salon de tatouage et piercing où je me fis tatouer une hirondelle dans le cou en mémoire de ma mère.

— C'est badass, mon pote. Je kiffe.
— T-T'es c-censé êt-t-tre le b-badass d-d-de la b-b-bande.
— Plus maintenant ! Je suis un bisounours comparé à vous. C'est plus facile d'être derrière la caméra, dit-il avec un clin d'oeil.

Cette remarque me fit réfléchir. Lui qui était si habitué à être dans la lumière... cette situation lui convenait-elle ?

— E-Est-ce q-q-que tu aim-merais êt-tre d-d-devant la c-c-caméra p-plus s-s-souvent ?
— Pour me retrouver avec des insectes dans ma bouffe où les cheveux roses ? Non, merci !

Je grimaçai, Alice avait été un peu loin avec cette histoire de criquets. Le tatoueur me passa un baume, une liste de produits pour les soins et scotcha un plastique sur le tatouage. La douleur était tenable, je ne regrettai pas de l'avoir fait, si j'avais eut moins peur du regard des autres, je l'aurai sûrement fait depuis longtemps.

Sur le chemin du retour, Liam fourra un CD dans mon lecteur:

— On écoute toujours Panic !at the disco ou le Barbier de Fleet Street avec toi, on va écouter de la bonne musique pour une fois.

Simon and Garfunkel, The Doors, Mettalica, Queen, Scorpions, AC!DC, Nirvana... Tous ces groupes étaient ce qu'il considérait être comme de la vraie musique. Creep de Radiohead sortait des baffes quand Liam me tapa soudainement sur le bras:

—  Arrête-toi. Arrête-toi ! Répéta t-il quand je ne bougeai pas.

J'appuyai comme un dingue sur la pédale de frein, la voiture derrière moi klaxonna et m'évita de justesse.

— M-Merde, Liam ! M'exclamai-je.
— Mets tes warnings et gare toi sur le coté, ordonna t-il.

Il défit sa ceinture et sortit sans attendre ma réponse. Je lui obéis, perplexe, le surveillant dans le rétroviseur. Il était accroupi sur le bas coté, la main tendue vers quelque chose que je pus pas voir. Je mis les warnings et coupai le contact pour le rejoindre.

— Liam ?

Je me penchai à ses cotés et mon ventre se crispa désagréablement en apercevant ce qui avait retenu l'attention de Liam.

— E-Est-c-c-ce q-qu'il est m-mort ?

L'estomac du chat se souleva comme pour me contredire. Il était couché dans l'herbe, du sang maculait sa bouche et son nez mais il était vivant. Sa fourrure grise et tigrée le camouflait, on aurait pu le confondre avec une pierre ou un bout de plastique. Liam ôta rapidement sa veste et porta délicatement l'animal pour le blottir dans le tissus.

— Tu connais un véto dans le coin ?
— O-Ouais... S-Sur la t-t-troisièm-me a-avenue.
— Allons-y.

Liam tint le chat contre lui comme un nouveau né, précieusement, tandis que je brisai quelque limitation de vitesse pour arriver chez le véto le plus rapidement possible. Liam descendit alors que la voiture n'était pas encore à l'arrêt, il se précipita à l'intérieur et me laissa me garer. Lorsque j'arrivai à l’accueil, la secrétaire m’accueillit d'un :

— Votre ami est déjà en salle d'examen avec le chat, il est passé entre deux rendez-vous. Vous devriez l'attendre en salle d'attente...

Je me pliai à sa demande et m'assis sur une chaise en plastique inconfortable. L'attente n'avait jamais été mon fort, et ce n'était qu'un chat ! Mais c'était quand même une vie. Mes yeux s'attardèrent sur les affiches collés au mur ventant les mérites d'un anti-parasites, d'un collier anti-puces ou de la vaccination contre la rage. Les animaux étaient jolis, bien peignés, il n'avait rien à voir avec le chat de gouttière que nous avions amenés ici. Appartenait-il à quelqu'un ?

Une porte s'ouvrit, Liam en sortit, sa veste dans les bras. Le véto lui serra la main et lui adressa un signe de tête reconnaissant, j'eus le temps d’apercevoir le chat sur la table d'examen, il ne bougea pas. Le battant se referma, je me levai et rejoignis Liam, appréhensif:

— A-Alors ? Soufflai-je.

Nos yeux se croisèrent, les siens semblèrent s'éteindre, il secoua la tête. Une vague de tristesse me comprima la poitrine, je déglutis. Liam se dirigea vers la sortie, les mâchoires serrées.

Je m'occupai d'être poli pour deux:

— Au r-revoir, m-m-merci.

La secrétaire m'adressa un pauvre sourire, je quittai l'établissement, le coeur serré. La radio resta muette sur le trajet menant au quartier de Liam.

Point mort, frein à main.

Je me tournai vers Liam, il était accoudé à la fenêtre et son regard était perdu vers l'extérieur.

— Il l'a euthanasié. Il n'y avait plus rien à faire pour lui.

Impossible de lui répondre "il n'a pas souffert", je n'en savais rien.

— Ok, répondis-je, platement. T-Tu es l-le s-s-seul à l-l'av-voir vu.
— C'est bien ça le problème ! Explosa t-il. Pourquoi je suis le seul à l'avoir vu ? Pourquoi personne ne l'a vu avant moi ?! Il devait être là depuis longtemps, si quelqu'un l'avait vu avant, peut-être qu'il ne serait pas mort !
— Liam... Ce... C-Ce n-n'est q-q-qu'un c-chat, dis-je pour tenter de le calmer.

Ma réponse me fit rougir instantanément. Alors ce n'était qu'un chat, ce n'était pas grave s'il était mort ? Était-ce ce que j'avais voulu dire ? Non, bien sur que non. Mais que répondre face à sa colère  ? La vie et la mort, il s'agissait de deux choses que nous ne pouvions pas contrôler.

— Je déteste ça. J'aurais aimé ne pas le voir, est-ce que ça fait de moi un monstre ? J'aurais préféré ne pas regarder par la fenêtre à ce moment là... Je suis qu'un hypocrite, soupira t-il.

Je tendis la main pour la poser sur son épaule, il parut se reprendre à cet instant précis. Carrant les épaules, il secoua la tête et ouvrit la portière.

— A demain, mon pote. Fais gaffe sur la route, ok ?

Je rétractai ma main et hochai la tête. La portière claqua. Je le regardai disparaître entre deux bâtiments, sa silhouette si légère d'habitude venait de s'alourdir, comme si une enclume avait été posé sur son dos, lui courbant l'échine.

Cette histoire de chat me pesa sur l'esprit jusqu'à ce que je sois rentré à la maison, je pris place à coté d'Alice sur le canapé et lui volai une cuillère de crème glacée dans le pot qu'elle avait sur les genoux, elle fit semblant de chasser mes mains et fronça le nez:

— Dégoûtant. Tu iras me chercher une autre cuillère.

Je haussai une épaule et pris une nouvelle bouchée de glace, le goût de vanille explosa sur ma langue mais ne chassa pas l'amertume qui me restait sur la conscience. Alice soupira:

— Allez, accouche.

Sans me faire prier, je lui racontai ce qui venait de se passer, la voiture, le véto, la mort du chat et la réaction de Liam. Alice écouta avec attention et ses traits se plissèrent avec chagrin. Elle ne pipa mot, elle me piqua la cuillère des mains et enfourna une ration de glace avant de pousser le pot entre nous. Elle ne tenta pas de me réconforter mais partager le fardeau de mes pensées, c'était assez.


*


Le lendemain, je remplaçai le lait des Oréos d'Alice par du dentifrice, sa tête fut impayable et Liam filma le tout sans se faire repérer avant de partir uploader la vidéo sur mon ordinateur. C'est en ne le voyant pas revenir que je me décidai à me mettre à sa recherche, ma soeur sur mes talons.

— Liam ?! Appela t-elle.
— Je suis là !

En suivant le son de sa voix, nous avançâmes dans le couloir, il n'était ni dans ma chambre, ni dans celle d'Alice. Je fronçai les sourcils:

— Où l-là ?
— Ici, dans la chambre... bizarre et pleine de poussière.

Alice et moi nous figeâmes. Je tournai sur mes talons en espérant me tromper, en priant pour qu'il ne soit pas là où je craignis qu'il soit. Alice me détrompa en me devançant:

— Qu'est-ce que tu fiches ici !? S’énerva t-elle.
— Pourquoi tu t’énerves comme ça ? Relax !
— Si cette porte est fermée c'est qu'il y a une raison ! De quels droits tu entres comme ça sans qu'on t'y ait autorisé !? C'est pas poli et carrément mal élevé !

Cette partie de la maison me faisait peur, des fois j'entendais mon père y entrer, tard dans la nuit, quand il pensait que nous dormions. Je n'y avais pas mis les pieds depuis sept ans, cette chambre était interdite d'accès. Liam en sortit, les mains levés devant lui pour apaiser Alice:

— C'est bon, c'est pas comme si c'était un mausolée ou je sais pas quoi, c'est qu'une chambre !
— Non, c'est SA chambre ! Siffla Alice avec colère.

Le silence retomba. Liam baissa les bras, Alice le fusilla du regard et fit volte face pour aller s'enfermer dans sa chambre en claquant la porte. Il leva les yeux vers moi et je secouai la tête:

— E-Elle a rais-son, tu n'aur-rais pas dû ent-trer.
— C'est bon, mec ! Je savais pas, comment j'aurai pu savoir ? Cette chambre m'appelle depuis le début, c'est pas de ma faute si vous en faites tout un mystère, j'étais curieux... Luke... Tu m'en veux, toi aussi ?

Honnêtement ? Je n'en savais rien. Le battant était entrouvert et elle semblait m'appeler également. Comme si l'air de la pièce était vivant et m'aspirait à l'intérieur. Liam jeta un coup d'oeil par dessus son épaule:

— Y a des trucs plutôt cool, c'est pas morbide ou je sais pas quoi. C'est juste une chambre...

J'opinai du chef et me passai une main dans les cheveux avec nervosité.

— Q-Qu'est-ce q-que t'as t-t-trouvé ? Demandai-je en essayant de me montrer brave.

Les épaules de Liam se détendirent, il me lança un sourire et me prit le bras pour m'entraîner à l'intérieur comme s'il n'avait attendu que cette question pour me faire entrer. Les rideaux étaient ouverts, les draps du lit étaient couleur chocolat, dans le fond de la pièce, une commode de bois bruns trônait, des produits de beauté et de flacons de parfums traînaient dessus. Une bibliothèque géante prenait un pan de mur, emplie de gros volumes qui prenaient effectivement la poussière. La chambre en était couverte, ça sentait le renfermé.

— Tu crois que je peux ouvrir les fenêtres ?

Je me sentis hocher la tête. Je me tenais sur un fil, d'un coté, il y avait le vide et de l'autre s'étendait le filet de sécurité. Restait à savoir de quel coté j'allais tomber. Une brise bienvenue s'infiltra dans la pièce.

— Ta mère avait du goût. Elle lisait Harry Potter ?
— E-Elle l'a ach-ch-heté p-pour n-nous, elle n-nous l-l-le lis-sait le s-s-soir.

Liam effleura les livres du bout des doigts, la tête penchée pour lire les titres:

— Victor Hugo, Dickens, Stephen King..., murmura t-il de façon respectueuse.

Ses doigts butèrent contre un vieux tourne-disque qui reposait parmi les bouquins, à coté d'un amas de vinyles.

— Merde alors, ça c'est cool...

Il prit le tourne-disque et chercha une prise, lorsqu'il l'eut trouvé, il le posa au sol et le brancha avant de revenir fouiller dans les vinyles. Il en prit un et le posa sur le plateau avant de positionner le saphir sur le 45 tours. Les notes de Come together des Beatles s'élevèrent du tourne-disque. Liam m'envoya un sourire:

— J'adore ta mère.

Une vague d'affection menaça de m'engloutir, je détournai le regard. Mes pieds se décollèrent enfin du sol et me portèrent devant la commode. Une photo était coincée dans la coiffeuse, nous étions ensemble, mon père tenait sûrement l'appareil photo. Ma mère était assise sur les marches de la maison, Alice sur un genoux, moi sur l'autre, nos têtes aussi blondes les unes que les autres, un sourire discret aux lèvres.

Something in the way she moves...., chantonna t-il.

Liam se laissa tomber allonger sur le sol, se fichant éperdument de la poussière, les yeux fermés, il écouta la musique en fredonnant en même tant que le chanteur. Je me réappropriai la chambre de ma mère, mes souvenirs se juxtaposant à l'image que j'avais devant les yeux. Ma mère était à sa fenêtre sur sa chaise, elle lisait un livre d'un air concentré pour vite le reposer en nous voyant. Elle venait récupérer une boucle d'oreilles oubliées, lissait les draps du lit, réarrangeait ses cheveux...

Liam atteint une note trop aiguë, sa voix sonna faux et me ramena au présent. Être dans la pièce fut moins douloureux que ce au quoi je m'étais attendu. La chanson changea, Liam se releva brusquement:

— Putain ! Vite, vite ! Viens ici !

Il m'agrippa par les épaules et ses mains se calèrent dans le bas de mon dos.

— Mais q-qu'est-ce q-que tu f-f-fiches ! M'exclamai-je.
— Tu vois pas que c'est un slow !?
— Et alors !!?
Oh darliiiiiing ! Brailla t-il.
— T'es c-complét-tement din-gue !
If you leaaaaave meee, iiiiiii'll neveeeer make iiiiiit aloooone !

Liam ne s'arrêta pas de chanter comme un cochon qu'on égorge, il se balança de droite à gauche comme un possédé et je ne sus pas où me mettre, perdu entre honte et fou rire. Quelqu'un se racla la gorge. Alice se tenait sur le pas de la porte, la caméra tenu à bout de bras.

— Pourquoi tu nous filmes ?

Alice passa d'un pied à l'autre, clairement indécise et mal à l'aise.

— Parce que je pense qu'on devrait se mettre à vloguer, répondit-elle, moitié ironique.
— A vlo-quoi ? Balbutiai-je.
— On s'en fout, viens-là !

Liam prit la main d'Alice et l'attira au milieu de la pièce où je me trouvais encore.

— Un slow, ça se danse à deux, pas à trois ! Protesta t-elle.
— Mais si, tu vas voir.

Il passa un bras autour de nous. Je levai les yeux au ciel mais fit de même avec Alice et lui. A trois, nous nous lançâmes dans une danse maladroite mais entrecoupée de rire. Ma soeur se détendit au fur et à mesure, la fureur l'avait quitté, la tristesse paraissait pourtant garder une prise sur elle.

Octopus's Garden prit la place de Oh! Darling et Liam se détacha de nous avec un petit clin d'oeil:

— Slow à trois: mission accomplie. Sur ce, je vais serrer la main à un pote, je reviens.

Alice fronça le nez, dégoûtée par son choix d'expression. Je l'examinai avec prudence, à la recherche du plus petit indice indiquant qu'elle allait se remettre en colère. Elle soupira et fit le tour de la chambre comme je l'avais fait plus tôt. Je la vis déglutir difficilement:

— Je t'en ai longtemps voulu.

Je clignai des yeux sans comprendre.

— P-Pourquoi ?
— Parce qu'elle... Je sais pas, marmonna t-elle. Elle faisait très attention à toi, toujours.
— A t-toi auss-si, protestai-je.
— Tu sais de quoi je parle. Le fait que tu bégaies, ça demandait beaucoup de son attention. Et je sais que c'est pas de ta faute, c'est pas comme si tu le faisais exprès, mais maman était proche de toi, d'une façon dont elle ne l'était pas avec moi. Et quand elle est morte...

Alice reprit sa respiration, secoua la tête. Je déglutis à mon tour, une boule vint se coincer dans ma gorge.

— Tu étais là et moi pas. T'as eut plus de temps avec elle, dit-elle, des sanglots dans la voix.
— D-Des s-s-s-s... s-second-d-des, bégayai-je.
— Je sais.
— Alice...
— Je sais ! Dit-elle avec plus de force. C'était stupide, je sais !

Elle s'avança vers moi, les doigts serrés, je crus qu'elle s'apprêtait à me mettre son poing dans la figure mais elle se serra contre moi, violente et sans finesse, comme l'écho de ses sentiments.

— Je suis désolée..., chuchota t-elle.

Je refermai mes bras sur elle. Je ne lui en voulais pas, elle ne ressentait plus cela. La gamine de dix ans s'était sentie trahi, la colère s'était emparée d'elle et ne l'avait plus quitté mais il était temps de tourner la page.

J'eus l'impression de mettre un point final à une histoire douloureuse.

Ne me restait plus qu'un sentiment de calme et un coeur léger.




A suivre...

Invité
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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Icon_minitimeSam 3 Oct - 23:38

La scène du slow à trois est assez mignonne <3 Je suis contente que ça aille mieux entre Alice et Luke !
Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Icon_minitimeLun 5 Oct - 17:11

Bouah j'ai eu les larmes aux yeux, ce que dit Alice et tout c'est super dur et triste, ça tient à rien des fois mais on en veut aux personnes pour des trucs cons, sans s'expliquer ni rien.
C'est triiiiiiiste et beau en même temps et émouvant. J'ai bien aimé le slow à trois c'était choupi.
Maeve
Maeve
Je suis ton père Luke
Messages : 990
Date d'inscription : 17/08/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Icon_minitimeMar 6 Oct - 22:02

Coucou!

Ce chapitre est GÉNIAL. Entre les failles de Liam qu'on entraperçoit, la mère fantôme qu'on commence à découvrir et le lien Alice/Luke... Sans parler des deux L dansants, puis de l'adorable slow à trois. Very Happy

C'était absolument super!! Je vais lire le prochain chapitre! Very Happy


Maeve

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Original - pas de spoil - LES DEUX L (8) Icon_minitime

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