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Original - pas de spoil - Un type bien 3

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Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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Date d'inscription : 08/08/2013

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MessageSujet: Original - pas de spoil - Un type bien 3 Original - pas de spoil - Un type bien 3 Icon_minitimeSam 25 Oct - 21:52

Fandom: Original
Prompt: Tu as peur du noir ?
Note: A lire après Bizarre et Incassable.



Un type bien


Après cet incident, Ash avait tenu sa parole et avait divisé son temps entre son meilleur ami et sa petite-amie. Sans se douter que son meilleur ami était gay et complétement amoureux de lui. Hiroshima faisait de son mieux pour le cacher, pour retenir certains gestes. C'était dur, Ashley n'était pas du genre à garder son espace personnel, il était même carrément tactile, toujours entrain de lui ébouriffer les cheveux, de lui voler ses lunettes, de lui faire des accolades ou de le chahuter. Cette proximité était à double tranchant.

Coté positif: Hiroshima s'était ouvert sur l'extérieur, il commençait doucement mais sûrement à parler aux autres, il s'était inscrit au club de photographie, il devenait peu à peu aussi populaire que Ash, non pas pour sa beauté ou pour son physique mais pour son caractère naturellement gentil et timide.

Coté négatif: Hiroshima jouait avec le feu en permanence, manquait parfois de laisser trainer ses lèvres par inadvertance, devait ravaler les mots qu'il avait sur le bout de la langue. Sa jalousie le rongeait de l'intérieur à chaque fois qu'il voyait Chany ou entendait Ash parler d'elle avec un sourire idiot...

Il s'en accommodait, il n'avait pas le choix. Il préférait être avec Ashley en tant que meilleur ami que pas du tout. Chany était gentille, c'était peut-être ça le pire. Elle était toujours aimable avec lui, elle lui souriait, tentait de dialoguer avec lui... Hiroshima se sentait d'autant plus coupable de la détester aussi férocement juste parce qu'elle était avec celui qu'il aimait.

Si les deux concernés n'avaient rien remarqué... Une autre n'en perdit pas une miette.

Ils étaient en pause déjeuné lorsque Bill railla de façon indiscrète:

— De toute façon, on sait tous pourquoi ce mongole a un sourire de débile, c'est parce qu'il est raide dingue de Ash.

Hiroshima se crispa. Il devait avoir mal entendu, Bill n'avait pas dit ça du tout, ce n'était pas possible. Le groupe de Bill éclata de rire, lui lançant une œillade moqueuse. Hiroshima ne sut pas si Ash avait entendu, les traits de son visage était neutre, il continuait de manger comme s'il n'avait rien entendu. Il fit de même, en espérant que Bill arrêterait de le harceler de cette manière. Son bras venait juste d'être libéré de son attelle, encore fragile et il ne voulait pas renouveler l'expérience, ses grands-parents avaient failli mourir d'inquiétude.

— Eh, Ash ! Tu savais qu'Hiroshima était amoureux de toi ?

Cette fois-ci, impossible que Ashley ne l'ait pas entendu, Bill avait presque crié sa question. La classe entière se tut pour écouter sa réponse. Hiroshima sentit ses joues rougir, il prit une inspiration et se força à rester calme. Il pouvait nier, Bill n'avait aucune preuve. Ashley releva la tête et regarda Bill avec calme, la nouvelle ne semblait pas l'émouvoir ou l'atteindre plus que cela. Il haussa un sourcil, l'air hautain.

— Et même si c'était vrai, qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?
— Tu sais qu'il..., commença Bill, se dégonflant.
— C'est pas tes affaires. Occupes-toi de tes fesses, mec, reprit Ash plus gentiment.

Une vague de soulagement déferla sur Hiroshima, il retint son soupir pour se concentrer sur son repas. Ash retourna à son assiette sans plus s'inquiéter de l'intervention de Bill, la classe retrouva son verbiage habituel. Hiroshima eut envie de se jeter sur son ami pour lui poser un million de question, seulement il avait peur de se trahir. Que pensait Ash de l'homosexualité ? Que penserait-il s'il avait la confirmation que Hiroshima était bel et bien amoureux de lui ? Le rejetterait-il ? Il ne posa aucune de ses questions à voix haute, surtout avec les autres autour d'eux. Mais lorsqu'ils se retrouvèrent seuls dans la vielle voiture, il ne put se retenir plus longtemps.

— Ce qui s'est passé avec Bill ce midi..., commença t-il.
— Laisse tomber, c'est un abruti. Je ne sais pas pourquoi il s'acharne comme ça sur toi mais je lui ai déjà dit que si jamais il te tapait encore je m'occupais personnellement de son cas.

Hiroshima sentit la colère monter, il se redressa et toisa Ash durement.

— J'ai pas besoin que tu lui refasses le portrait, j'ai l'air de quoi moi maintenant ? Il va penser que je peux pas me débrouiller tout seul et que je dois venir chialer dans tes jupons pour m'en sortir !
— Pas du tout ! Maintenant, il sait que t'es mon ami, ceux qui s'attaquent à mes amis ont du soucis à se faire, c'est tout. Tu ferais la même chose pour moi, non ?

Ash leva les sourcils, certain de la réponse. Hiroshima se retrouva bête, son ami avait raison.

— Ah, tu vois ! S'exclama t-il, content de lui.

Les questions tournoyaient toujours dans sa tête, il se mordit les lèvres, se blottissant dans la couverture chauffante qu'ils avaient ramenés. Le froid de décembre était mordant, au moins ici, ils étaient à l'abri du vent.

— Et si jamais tu avais un ami qui était réellement amoureux de toi, comment tu réagirais ?
— Pourquoi tu me demandes ça ? S'étonna Ash.

Hiroshima haussa les épaules, feignant la désinvolture, s'enterrant un peu plus dans sa couverture pour cacher le fait qu'il rougissait. Ses lunettes récemment réparés butèrent contre le plaid, lui faisant froncer le nez.

— Juste comme ça... Je suis curieux.

Ash hésita, se passant une main dans les cheveux, semblant réfléchir à la question.

— Ben... je suppose que je serais un peu gêné mais je pense pas que je le repousserais pour autant, c'est juste... J'en sais rien, tu me poses une colle ! Rit-il.

Hiroshima se mordit les lèvres encore une fois. Il avait bien fait de tourner cette question à l'hypothétique. Maintenant que Ash lui avait répondu, il ne pouvait pas lui dire qu'il l'aimait. Il ne voulait pas le mettre mal à l'aise.

— Je suis pas gay donc..., grommela Ash.

Une raison de plus. Hiroshima se résolut une fois de plus, éteignit la petite flamme d'espoir qui brillait toujours au fond de lui. Il fallait qu'il oublie Ash amoureusement parlant, qu'il passe à autre chose.

Lorsqu'il rentra à la maison ce soir là, une ambulance était dans l'allée, les lumières éclairaient les autres habitations, les voisins étaient dehors et parlaient entre eux. Hiroshima sentit son sang se glacer dans ses veines. Il marcha vers sa maison comme au ralenti, un homme le retint.

— Monsieur, vous ne pouvez pas passer, contournez l'ambulance, vous voyez bien que vous gênez !
— Mes grands-parents habitent ici, marmonna t-il.

C'était comme si sa langue était collée à son palet, il était terrorisé. L'homme s’adoucit, la tristesse et la pitié teinta son regard. Hiroshima sut que quelque chose de grave s'était produit.

— Qu'est-ce qui se passe, mes grands-parents...
— Votre grand-père a fait un arrêt cardiaque, il va être transporté à l’hôpital. Votre grand-mère a fait une petite crise d'angoisse donc on l’emmène aussi. Vous devriez rentrer chez vo...
— C'est chez moi ! Hurla t-il.

La panique s'infiltra en lui aussi vite qu'un poison, foudroyante. Ses deux seuls parents étaient dans l'ambulance, ils allaient partir et Hiroshima ne savait pas ce qui se passait. Les mots "arrêts cardiaque", "crise d'angoisse" tournoyaient dans sa tête sans s'arrêter, il avait peur, il voulait pousser ce type qui le tenait loin de l'ambulance qui allait partir sans lui.

— Vous habitez ici ? Est-ce que vos parents...
— Je n'ai pas de parents, il ne me reste qu'eux, il faut que vous me laissiez monter avec eux dans l'ambulance, je..., balbutia t-il.

Son cœur battait jusque dans ses tempes, il avait envie de vomir. Une atroce torpeur menaçait de l'engloutir, il se sentait bizarre. Encore plus que d'habitude. L'homme finit par comprendre et le laissa monter à l'avant avec eux, même s'il n'en avait techniquement pas le droit.


oOo


D'autres mots s'ajoutèrent à ceux qu'il avait du mal à comprendre. Réanimation. Mort. Condoléances. Hiroshima ne savait plus, il ne savait plus du tout... On lui posait pleins de question et il s'entendait répondre, mais c'était comme si ce n'était pas de sa bouche que les mots sortaient. Cette voix n'était pas la sienne. L'agonie par contre... Elle était entièrement sienne, là, bien présente, toujours en premier plan. Il avait pleuré. Ou il pleurait encore, qui savait.

Son portable vibra dans sa poche, il avait vibré de nombreuses fois depuis ce matin. Il secoua la tête et enleva ses lunettes pour s'essuyer les joues, pour mieux voir l'écran de son téléphone. Il avait avait cinq appel en absence, deux messages de Ashley qui lui demandait où il était et si tout allait bien. Alors qu'il inspectait sa boite de réception, son portable se remit à vibrer, Ash l'appelait à nouveau, il décrocha, ignorant le regard noir d'une infirmière.

— Shima !? Bon sang, ça fait des plombes que j'essaye de t'avoir au téléphone ! T'es où ? Grommela t-il.

Hiroshima regarda autour de lui, comme s'il avait pu oublier où il se trouvait.

— A l’hôpital, répondit-il.

Sa voix était rauque d'avoir trop pleuré, elle vacilla vers la fin, fatiguée. Il avait passé la nuit sur ce siège. Puis on lui avait annoncé la nouvelle, on lui avait dit d'attendre.

— A l’hôpital ? Est-ce que tout va bien ?
— Mon...

Sa gorge se serra, ses mains se mirent à trembler. Puis son corps entier. Il avait froid. Il était gelé. Il cligna fort des yeux pour se retenir de pleurer encore.

— Shima ?
— Mon grand-père est mort.

Les mots cotes à cotes s'enchainaient, leurs sens ne trouva aucune résonance en lui. Ce n'était que des mots. Qu'une phrase vide pour dire qu'il se sentait horrible, comme si on lui arrachait les entrailles, qu'on le brûlait vif, c'était trop douloureux, trop intense, il allait se noyer.

— Quel hôpital ? J'arrive.

Hiroshima ne savait même pas quelle heure il était, on lui avait dit d'attendre, c'était ce qu'il faisait. Il attendait. Il ne savait pas où on avait emmené sa grand-mère ou si elle allait bien... Qu'est-ce qu'il allait faire ? Qu'est-ce qu'il devait faire ? Il était perdu. Plus rien n'avait de sens. Il balbutia le nom de l’hôpital et éloigna le téléphone de son oreille quand la tonalité retentit, preuve que Ash avait raccroché. Son cerveau dût se déconnecter un moment puisque quand il reprit conscience de ce qui l'entourait, la main de son ami était posé sur son dos et il était à coté de lui. Un pli inquiet barrait son front et la tristesse assombrissait son visage.

— Tu as dormi cette nuit ? Est-ce que tu as mangé au moins ?

Ash le materna jusqu'à l'arrivée de l'assistance sociale. Hiroshima fronça les sourcils, se demandant pourquoi ils avaient besoin d'une assistante sociale. C'était une dame d'un certain âge, elle paraissait plutôt gentille.

— Votre grand-mère est hospitalisée et vous venez de perdre votre grand-père... est-ce que vous avez de la famille autre que vos grands-parents ? Demanda t-elle doucement.

Hiroshima secoua la tête. Ils n'avaient qu'eux. La main de Ash s'appuya un peu plus dans son dos.

— Vous avez conscience que vous ne pouvez pas rester ici, n'est-ce pas ? Il faut que vous ayez un endroit où dormir et tout cela... Est-ce qu'un de vos proches peut vous héberger jusqu'à ce que votre grand-mère aille mieux ?

Hiroshima allait répondre que non. Qu'il n'avait pas de proche assez proche pour l'héberger, qu'à part la voisine qui leur apportait parfois des cookies, il n'y avait personne. Il allait répondre cela. Ash le devança.

— Il peut venir à la maison le temps que ça se calme.
— Et vous êtes... ? Demanda l'assistante sociale.
— Son meilleur ami. Je dois remplir des papiers ou autre ? Demanda t-il.

A partir de ce moment là, Ashley prit en main l'assistante sociale, détournant l'attention pour le laisser tranquille. Hiroshima le regarda, perdu entre reconnaissance et deuil. L'assistante les quitta peu de temps après d'un pas pressé, comme si elle avait un million de rendez-vous après eux. Ash lui ébouriffa doucement les cheveux.

— Ça va aller. Tu verras.

C'était sûrement des paroles creuses qui ne voulaient rien dire. Hiroshima espéra qu'il avait raison. On le laissa voir sa grand-mère au bout d'un moment, elle n'était pas en danger de mort selon les médecins, juste secouée et fragilisée par la mort de son mari. Il s'assit à ses cotés un instant, Ash était resté dans le couloir, pas autorisé à entrer. Josie était pâle, elle semblait avoir pris dix ans. Il eut un pincement au cœur. Hiroshima prit sa main, la frotta entre les siennes et l'appuya contre sa joue.

— Me laisse pas tout seul, chuchota t-il.

Il frotta une dernière fois ses doigts et sortit de la chambre à contrecœur. Il savait que Ash l'attendait. Une fois dehors, son ami passa un bras autour de ses épaules et le guida jusqu'à sa voiture en silence. Hiroshima lui en fut reconnaissant, il n'avait pas envie de parler. Dans le véhicule, Ash mit la radio en marche. Le trajet lui remit les idées en place, la nuit qu'il venait de passer pesa sur lui comme une montagne, il avait juste envie de s'écrouler dans un lit et de dormir pour toujours. La voiture s'arrêta finalement, Hiroshima releva la tête, observant les lieux et la maison devant laquelle ils s'étaient arrêtés. Elle était petite mais jolie.

— Faudra pas te laisser impressionner par Kayla. Ma petite sœur, l'informa t-il. Elle peut être une sacré teigne quand elle veut mais bon, c'est qu'une gosse.

Hiroshima hocha pensivement la tête. Une question lui vint soudainement à l'esprit.

— Tes parents vont pas me mettre dehors ? Je veux dire... Tu leurs as même pas demandé la permission, balbutia t-il.
— Arrête, ils sont à fond dans l'idée qu'il faut aider son prochain. T’inquiète pas, laisse-moi gérer.

Ash déverrouilla la porte. Une horloge murale lui indiqua qu'il était 16h. Hiroshima enleva ses chaussures par habitude, ses yeux se fermaient pratiquement tout seul.

— Je vais te faire quelque chose à manger vite fait, viens-là, t'endors pas.

Ashley le saisit par les épaules et le mena jusque dans une petite cuisine. Il le fit asseoir sur un tabouret et s'activa tout de suite, posant un verre d'eau sous son nez. Hiroshima s'accouda à la table, il sirota son verre d'eau sans enthousiasme, pressé d'en finir et que son ami lui indique une chambre où s'écrouler. Ash poussa une assiette sous son nez, de la purée et une tranche de jambon avant de s'installer en face de lui avec une assiette pour lui aussi.

— Je me suis inquiété et j'ai pas vraiment mangé non plus. Je sais pas faire grand chose en cuisine, s'excusa t-il.

Hiroshima haussa les épaules, il n'était pas du genre difficile de toute façon. Il mangea son assiette pour faire plaisir à Ash et découvrit vite qu'il était affamé. La peine avait éloigné de son esprit tout appétit et maintenant qu'il était loin de l’hôpital, les besoins de la vie quotidienne revenaient au galop. Ils rangèrent la table à la va-vite.

— Allez viens, on va dans ma chambre. T'es à deux doigts de t'effondrer, ça serait moche de faire ça sur le carrelage de la cuisine, plaisanta Ashley.

Hiroshima le suivit, ils montèrent un escalier, Ash ouvrit une porte et le laissa entrer avant de la refermer. Ils étaient dans sa chambre. Il aurait voulu regarder partout, il était dans l'endroit où celui qu'il aimait passait la plupart de son temps après tout, seulement il était tellement épuisé que sa vision en devenait floue et que ses genoux menaçaient de se dérober sous lui. Ash alla fermer les rideaux pour assombrir la pièce. Il le poussa jusqu'au lit, ouvrit les couvertures et les remonta sur lui lorsqu'il fut à l'intérieur.

— Si t'as besoin de moi, tu me cries après, ok ?

Ashley voulut s'éloigner, Hiroshima fut pris d'une peur panique, il le saisit par le bras sans comprendre vraiment ce qui l'effrayait et ce qu'il voulait dire. Ash s'arrêta et le regarda avec inquiétude.

— Tu as peur du noir ? Lui demanda t-il.
— N-non..., bégaya t-il.

Hiroshima lâcha le bras de Ashley. Son ami était déjà bien gentil de l'héberger, s'il lui faisait perdre son temps en plus... Il n'avait pas peur du noir, il avait peur de se retrouver seul dans une maison qu'il ne connaissait pas. Ça lui avait fait la même chose quand il était arrivé chez ses grands-parents après la mort de ses parents...

— Désolé, marmonna t-il.

Hiroshima se tourna sur le coté, tournant le dos à son ami. Ash parut hésiter, il y eut un moment de flottement avant qu'il ne sente le matelas s'affaisser sous lui et un bras s'enrouler autour de sa taille pour le faire se tourner. Hiroshima ne sut que penser lorsqu'il se retrouva contre Ashley, la tête enfouie dans son cou. Son cœur se souleva brutalement en un battement sourd, se réveillant aussi soudainement que lui à ce contact si peu attendu. La fatigue s'évapora momentanément pour ne lui laisser que la chaleur et le rouge aux joues.

— Je sais que je peux pas comprendre ce que tu ressens, mais je veux t'aider... On est amis, je vais pas te laisser tomber. Tu peux compter sur moi, si t'as besoin de quelque chose, je suis là, souffla Ash.  

Les yeux d'Hiroshima se mirent à piquer, sa gorge se serra. Il enleva ses lunettes et les jeta dans un coin de la pièce avant de se serrer plus fort contre Ash, se cachant un peu plus entre ses bras. Il enroula timidement les siens autour de lui et prit le réconfort que son ami lui offrait, en ignorant les larmes qui brûlaient le coin de ses yeux.

Il était amoureux d'un type bien.


A suivre...
Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Un type bien 3 Original - pas de spoil - Un type bien 3 Icon_minitimeDim 26 Oct - 10:06

OOOOOOOOOh purée pauvre Hiro :'(:'(
Mais mon coeur a fait des bonds sur la fin :'(
C'était triste et mignon en même temps >o<
Maeve
Maeve
Je suis ton père Luke
Messages : 990
Date d'inscription : 17/08/2012

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Un type bien 3 Original - pas de spoil - Un type bien 3 Icon_minitimeSam 8 Nov - 23:13

Et coucou.^^

Aaaaaaahhh!! Horrible, horrible, ce qui arrive à Hiro! Son grand-père!! T-T

(Bill qui refait des siennes... Huuuuuum. T T)

Heureusement, heureusement, Ash prend soin d'Hiro et c'est, guh. <3 Et, certes, Hiro, Ash est quelqu'un de bien, mais on ne peut pas s'empêcher de penser : y a t-il quelque chose de plus? ;D

A de suite.^^


Maeve
Swato
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Dieu vis sur une tortilla.
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Date d'inscription : 08/08/2013

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Un type bien 3 Original - pas de spoil - Un type bien 3 Icon_minitimeLun 10 Nov - 12:21

Maliae: :'( Je suis méchante avec lui, heureusement qu'il a Ash ^^

Maeve: Hin hin, là est la question "y a t-il quelque chose de plus ?" mdrrr Ash aime beaucoup Hiro en tout cas Smile

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MessageSujet: Re: Original - pas de spoil - Un type bien 3 Original - pas de spoil - Un type bien 3 Icon_minitime

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