Prompts : Je t'aime de tout mon moi, pour que l'orage s'annonce, né au mauvais siècle, je t'ai vu m'observer, flâner est un luxe...
Pour que l’orage s’annonce et que nous soyons liés à jamais par cette chose,
Que penses-tu que nous nous détachions ne serait-ce qu’un instant.
Ceux qui sont séparés, une fois revenus ensemble s’emboîtent encore plus parfaitement.
Comme des molécules qui ne pourraient alors plus se décoller.
De tout le mois, nous ne nous verrons plus, et je t’aimerais de tout mon moi.
Mois d’avril qui s’avère pluvieux, au moins nous ne glisserons pas.
Ni ton corps, ni ta main sur le mien. Nous resterons polis et courtois.
Et vois-tu, de ne pas nous voir nous offre l’occasion de ne rien faire.
De ne pas sortir, de ne pas profiter de l’autre, flâner est un luxe, profitons en.
Ce n’est qu’un test, voir si ce que disent les livres sont vrais.
La femme qui cru que son mari perdu en mer ne reviendra plus.
Qui le voit revenir et qui l’aime plus qu’au premier jour.
Nous ferons cela, car vois-tu, nous sommes né au mauvais siècle.
Marchons loin de l’autre afin que personne ne nous repère
Que jamais l’on ne sente notre lien indicible.
Se revoir plus tard, nous permettra alors de faire comme si de rien.
Des amis de longues dates, qui ne se sont pas vus depuis longtemps.
Mon cher ami. Comme votre bouche est toujours aussi somptueuse.
Mais je t’ai vu m’observer. Je le sais, que tu n’es pas loin.
Tu ne sais rester si éloigné de moi, et mon cœur te comprends.
Seulement, il nous faut suivre cet essai. Et quand enfin le temps viendra,
Quand le jour se lèvera. Nous pourrons nous étreindre
Plus que jamais alors, jusqu’à ce que le monde s’éteigne.
Et que nous ne soyons plus que deux corps l’un contre l’autre
Inséparables et infinis.
Fin.
Note : t_t. What the hell.