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shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1

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Swato
Swato
Dieu vis sur une tortilla.
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Date d'inscription : 08/08/2013

shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1 Empty
MessageSujet: shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1 shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1 Icon_minitimeSam 16 Sep - 22:16

Fandom: Shadowhunters/Original ?
Prompt: Pas sur ta tombe, Je me sens mieux.




Step one: Denial





Magnus claqua des doigts, un verre apparut dans sa main. Avec un sourire, il fit tourner l'alcool et observa les volutes de couleur qui s'enchevêtraient sans aucune cohérence mais non sans une certaine harmonie. A l'horizon, des nuages gris arrivèrent, poussés par des rafales de vent qui lui giflait les joues.
— Je suis désolé..., dit-il en levant son verre.
Contre son dos, la pierre était glacée, sa veste fine ne faisait rien pour adoucir les bords tranchants de la surface contre laquelle il reposait. Si Magnus plissait assez les yeux, il pouvait presque apercevoir son reflet dans l'alcool, déformé et triste.
— Je te l'avais promis mais... Ce n'est pas comme si tu étais là, après tout.
Magnus pressa plus fort son dos contre la paroi, but une gorgée de son verre et renversa sa tête en arrière, son crâne cogna durement la pierre, il s'en ficha.
— Pourquoi est-ce que tu ne me grondes pas ?
Aucune réponse ne lui parvint, ses doigts se refermèrent sur l'herbe, il arracha quelques brins et ouvrit la main, laissant le vent les emporter au loin, jusqu'à ce qu'il les perde de vue.
— C'est vrai... je bois sur ta tombe quand même, dit-il en prononçant doucement chaque mots.
L'offense ne réveilla pas l'esprit de sa défunte compagne, elle resta bien endormie, sous la terre, hors de sa portée. Dans le verre, les traits de Magnus se contractèrent douloureusement.
— Magnus.
L'espoir le fit sursauter, ses doigts se desserrèrent et le verre tomba. Il aurait pu se briser en milles morceaux si la nouvelle venue ne l'avait pas fait disparaître tout aussi facilement qu'il l'avait invoqué. Les épaules de Magnus s'affaissèrent:
— Toi, grogna t-il.
— Oui. Moi.
Les longs cheveux bruns de la jeune-femme étaient incontrôlables, voletant dans tous les sens au gré de la brise marine, Méduse incarnée. Magnus étira ses longues jambes devant lui et fit cliqueter ses bagues les unes contre les autres:
— Catarina chérie, qu'est-ce qui t'amène ici ?
— Tu sais parfaitement ce qui m'amène !
Le vent souffla plus fort, emporta le foulard de Catarina et gonfla les pans de sa robe. Magnus examina attentivement ses ongles, un demi-sourire aux lèvres, amusé par le soupir frustré de son amie.
— Et si on rentrait chez toi ? Proposa t-elle.
— Je suis chez moi, protesta t-il gentiment.
— A l'intérieur, précisa Catarina.
— Je suis parfaitement bien ici.
— Bien ? Répéta t-elle, douteuse.
Catarina haussa un sourcil et croisa les bras en le dévisageant de la tête aux pieds. Magnus avait peut-être un peu forcé sur les cocktails. Et il était encore à moitié en pyjama. Mais ce n'était pas comme s'il s'était attendu à avoir de la visite aujourd'hui.
— Permets-moi d'en douter, continua Catarina. Ne me force pas à te traîner par la peau des fesses, Mags. Tu sais que j'en suis capable.
Magnus grimaça, il s'étira longuement pour le plaisir d'agacer Catarina et se leva. Le prénom Etta était gravé dans une stèle de marbre noir, sans aucune photo associée aux lettres. Magnus pressa ses doigts contre ses lèvres et les apposa contre cette pierre froide, sans vie.
— A demain, Neshama..., murmura t-il.
Les yeux de Magnus trainèrent encore une dernière seconde sur la pierre tombale avant qu'il ne tourne les talons. Il put à peine soutenir le regard de Catarina après cela, il y avait trop de pitié et de tristesse dans son expression. Magnus marcha d'un pas résolu jusqu'au phare tout en désactivant les protections qu'il avait érigé aux alentours pour que son amie puisse pénétrer chez lui sans se soucier de voir ses pouvoirs drainés ou amoindris. L'alcool ne lui avait pas fait oublié ses bonnes manières, il lui tint la porte.
— Tu veux quelque chose à boire ?
— Non, merci.
A l'intérieur, Catarina enleva son long manteau rouge, l'accrocha au porte manteau et lissa soigneusement les plis de sa robe en examinant la pièce. Magnus essaya d'observer les lieux à travers ses yeux à elle pour voir si quelque chose clochait. Des peintures abstraites ainsi que des portraits réalistes constituaient sa décoration murale, un mont de vêtements traînait par terre dans l'entrée à coté de bouteilles d'alcool vides... Il déplaça le tout dans sa chambre par magie le plus rapidement et le plus discrètement possible. Plus rien de compromettant ne rodait dans les parages. Les meubles dataient tous de l'époque Victorienne, un canapé raffiné trônait devant un poêle que Magnus mit en route d'un simple mouvement du poignet. Catarina frotta ses mains l'une contre l'autre et se posta devant pour se réchauffer.
— Je m'inquiète terriblement, dit-elle en le toisant du coin de l’œil.
— Pour quoi ? S'enquit-il.
— Pour toi, bien sûr.
Magnus retira sa veste et ses chaussures, puis se laissa tomber sur le canapé et croisa élégamment les jambes:
— Je ne saisis pas pourquoi, je vais bien.
Catarina fit volte-face, ses yeux prirent un éclat violet. Elle n'était pas contente de sa réponse désinvolte.
— Cela fait dix ans, Magnus. Dix ans que Etta est décédée et que tu te terres sur cette île, il est grand temps que tu reviennes parmi nous.
— Cette décision me revient.
— Chaque jours que tu passes ici affaiblit ta position au sein de la communauté. Tu dois reprendre ta place, prendre des clients, éliminer les menaces...
L'agacement s'infiltra dans les veines de Magnus comme un poison, il balaya les paroles de Catarina de la main.
— Je n'en ai rien à faire de tout cela.
— Et il est là le problème ! Dix ans, Magnus ! Dix ans ! Insista Catarina.
— Et bien  ?
Catarina haussa délicatement un sourcil et commença à faire les cents pas dans la pièce:
— Ce n'est pas normal.
— Je suis désolé que mon deuil dure plus longtemps que tu ne l'avais espéré, railla t-il.
— Je commence à me demander si l'un des nôtres ne t'a pas... lancé un sort ou quelque chose de ce genre.
— C'est ridicule, Catarina chérie. Je ne suis pas ensorcelé, je l'aurais senti.
Catarina posa les poings sur les hanches, le fusilla du regard:
— Vraiment ?
Magnus joua distraitement avec ses bagues, ses yeux trouvèrent l'horloge, il avait hâte que cette visite s'achève. Catarina le surprit en se plantant devant lui, aussi vive qu'un courant d'air. Elle lui saisit le menton avec une main pourvue d'ongles acérés et se pencha sur lui en reniflant.
— Tu empestes l'alcool, lui fit-elle remarquer avec un rictus.
Pas intimidé pour autant, Magnus lui sourit:
— L'alcool n'a jamais émoussé mes sens.
Catarina le relâcha finalement, il se massa la mâchoire.
— Permets au moins que je m'assure que personne ne t'a ensorcelé. Moi-même.
L'insistance de son amie eut raison de son agacement, ses yeux roulèrent à l'arrière de son crâne mais il l'autorisa à faire les tests qu'elle souhaitait effectuer, écartant les bras en guise de permission. Catarina ne perdit pas une seconde, peut-être avait-elle peur qu'il ne change d'avis. Ses yeux reprirent leur couleur améthyste, ses mains l'effleurèrent sans jamais le toucher, des flammes violettes léchèrent la peau nue de ses avant-bras et une odeur de lilas embauma l'air. Voir son amie à l’œuvre avait quelque chose de fascinant, ses doigts semblaient danser, agité de tics gracieux, la magie vibrait dans chaque cellule de son corps, elle vivait à travers elle. Elle était magnifique. Il fut un temps où Magnus était l'un des sorciers les plus séduisants de sa génération. Maintenant, s'il était élu le plus efficace, il pourrait s'estimer heureux. Le halo violet disparut, Catarina baissa les mains avec perplexité:
— Il n'y a rien..., murmura t-elle.
Magnus ne dit pas "je te l'avais dit". Catarina s'assit à coté de lui calmement, l'expression défaite, comme si elle avait appris un décès dans la famille. Magnus compatissait, c'était ce qu'il ressentait tous les jours depuis dix ans.
— Je pensais réellement... que quelqu'un t'avait lancé un sort, que je pourrais faire quelque chose pour alléger ta peine. Qu'est-ce que je peux faire ? Chuchota Catarina, la voix brisée.
La gorge de Magnus se serra, ses doigts se serrèrent autour d'un verre imaginaire, il serra si fort le poing que les bagues blessèrent ses articulations. Un rire amer se coinça dans sa trachée, il ne le laissa pas sortir et le ravala en même temps que les larmes qu'il n'avait jamais versé.
— Ramène-là moi.
C'était une plaisanterie. Ou peut-être pas.

Lorsque Catarina fut partie, Magnus s’adonna à une activité que tous les spécialistes en deuil auraient réprouvé. Les yeux fermés, il rassembla chaque souvenirs d'Etta qu'il conservait précieusement dans sa mémoire et laissa ses mains s'activer, la magie pulsa douloureusement au bout de ses doigts et un brouillard opaque prit doucement forme. L'imagination de Magnus donna naissance à une silhouette féminine, tout en courbes, une brume légère pour les cheveux jusqu'aux épaules, un nez retroussé et un adorable sourire à fossettes.
La représentation de Etta lui fit un signe de main. Ce n'était même pas un fantôme, même pas l'ombre d'un spectre. Ce n'était qu'une pale copie d'elle. Mais c'était quand même elle. Magnus se leva et effleura sa joue du revers de la main, assez près pour sentir sa peau se couvrir de rosée.
— Bonsoir, Neshama...
Il aurait voulu la serrer fort, sentir son parfum, mais même ça, il avait oublié. L'avoir sous cette forme, c'était à la fois une délivrance et une torture. Magnus fit tourner son alliance autour de son annulaire et se perdit dans ses pensées. La brume le suivit quand il prit une pile de livres sur la magie noire, sur la nécromancie et la résurrection. Jésus l'avait fait, pourquoi pas Etta ? Et quand il fut trop fatigué pour comprendre ce qu'il lisait, Magnus ressortit les albums et les vidéos de mariage, d'anniversaires ou juste de moments de la vie quotidienne et se noya dans un flot d'alcool.
Dans son lit, Magnus ferma les yeux et reproduisit à l'identique le poids du corps de Etta contre le sien lorsqu'il la serrait dans ses bras. La magie permettait des choses merveilleuses. Et entouré par tous ses souvenirs et toutes ses sensations, Magnus s'endormit.
C'est impossible qu'elle soit morte...



Une semaine plus tard, Catarina revint alors qu'il récupérait tout juste de la pire gueule de bois du siècle. Il lui ouvrit la porte, les yeux encore fermés pour échapper au soleil.
— C'est une visite de courtoisie. Je suis venue te prévenir qu'à partir de maintenant, j'allais t'envoyer des clients.
Magnus grinça des dents. A la fois parce que la nouvelle ne le réjouissait pas et parce que la voix aiguë de Catarina venait de déclencher un tremblement de terre monstrueux dans ses neurones encore imbibés d'alcool.
— D'accord, ok.
— Tu es d'accord ? Demanda t-elle, surprise.
— Bien sûr ! Si tu veux qu'ils meurent tous...
Magnus grogna et invoqua le plus légèrement possible une tasse de thé. Catarina soupira, elle fit le tour du phare et ouvrit toutes les fenêtres qu'elle put trouver, laissant l'air glacé entrer. Il devait avoir fait quelque chose de terrible dans une autre vie pour mériter cela. Magnus s'emmitoufla dans un énorme plaid et s'affala dans le canapé avant de bailler à s'en décrocher la mâchoire.
— Tu as intérêt à dessaouler vite, le premier arrive dans deux heures.
"Fermeture jusqu'à nouvel ordre" ne veut pas dire "Fermeture jusqu'à ce que Catarina me harcèle de reprendre le travail", grommela t-il.
— Deux heures, insista Catarina.
Elle s'en alla tout aussi vite, le laissant en proie à sa gueule de bois et aux éléments. Et comme promis, deux heures plus tard, une vieille dame apparut au milieu de son salon, alors qu'il était encore emmitouflé dans son plaid.
— Ah... Mr Bane ? L'interrogea la femme d'une voix chevrotante.
Magnus soupira lourdement et consentit à sortir la tête de son cocon de couverture:
— C'est à quel propos ?
— Votre consœur m'a envoyé vers vous, elle m'a dit que vous pourriez m'aider...
Après un nouveau soupir, Magnus se redressa, fit apparaître une chaise et une tasse de thé pour son invitée inopinée. La vieille dame s'assit sans faire d'histoire et cligna des yeux en voyant qu'il était torse nu sous la couverture. L'ancien Magnus l'aurait laissé se rincer l'oeil sans sourciller, le nouveau Magnus n'avait aucune patience et aucune envie de flirter. Il rabattit le plaid sur son épaule comme s'il s'agissait d'une toge et détailla prudemment sa nouvelle cliente.
— Et quel problème rencontrez-vous ? Des douleurs ? Besoin d'un sort ?
— Alors voila, en fait j'ai très mal au dos..., commença t-elle.
Magnus fit un bruit qui ressemblait à "hum hum" et se demanda si Catarina lui avait envoyé la bonne personne. Une vieille dame avec des problèmes de dos. Comme c'était étrange.
— ...et la date coincide parfaitement avec la mise en couple de ma grande nièce avec son époux, Xavier, mais vous savez, je l'ai toujours soupçonné d'être un peu sorcier... Il est noir, ajouta t-elle en un chuchotis grimaçant.
Ah, voilà qui expliquait tout. Magnus leva les yeux au ciel, il examina rapidement la dame par acquis de conscience et la coupa dans son récit du gendre diabolique:
— Vous n'avez pas été ensorcelée par Felix.
— C'est... C'est Xavier, en fait. Mais je vous assure qu'il...
— Non, je vous assure que vous n'avez pas été ensorcelé et je suis sûr que Felix...
— Xavier, marmonna la dame.
— .. est un charmant jeune-homme, termina t-il en ignorant son interruption.
La dame releva le nez avec orgueil et renifla:
— Dans ce cas, qu'est-ce que j'ai ?
Magnus la regarda dans le blanc des yeux:
— Des rhumatismes.


Magnus avait renvoyé la vieille dame et s'était rendormi sur son canapé avec un léger mal de crâne. Il pensait pouvoir somnoler pour le reste de la journée, il s'était durement trompé. Soudain, la couverture lui fut volé et quelque chose de lourd tomba sur son torse sans douceur. Après s'être remis de ce réveil brutal, Magnus papillonna des yeux pour découvrir une Catarina furieuse et échevelée devant lui, des flammes dans les yeux.
— Si c'est à propos de la cliente, je suis pratiquement certain que ce sont vraiment des rhumatismes, même si je ne suis pas médecin, bougonna t-il.
— Qu'est-ce que c'est que ça ? Le coupa t-elle.
Magnus ne comprit pas la colère de son amie, il se frotta les yeux tandis qu'elle prenait quelques inspirations prudentes en attendant sa réponse. Ce qui l'avait percuté de plein fouet glissa sur les couvertures et son livre sur la nécromancie s'écrasa sur ses genoux avec un bruit sourd.
— Tu ne plaisantais pas. Tu veux réellement la ramener.
— C'est juste un livre, émit-il.
— Quand je t'ai demandé ce que je pouvais faire pour t'aider, tu m'as dit "ramène-la moi"... Depuis toutes ces années, est-ce que c'est ce que tu fais ? Est-ce que c'est pour ça que tu t'es exilé ? Pour mieux préparer ton plan sordide !? Hurla Catarina.
Au fil des questions assassines de Catarina, Magnus sentit la moutarde lui monter au nez, l'eau allait déborder de la casserole, il était à deux doigts d'exploser.
— La mort est un état définitif, c'est la nature, c'est comme ça, tu ne peux pas aller contre !
— Et d'être immortel, c'est la nature, peut-être ? Dit-il rageusement,
Catarina referma la bouche et le regarda avec de grands yeux circonspects:
— Toutes les espèces ont des espérances de vie différentes. Et la vie s'achève plus vite pour certains que pour d'autres, nous n'y pouvons rien.
— Et si on y pouvait quelque chose ?
— Magnus... Tu me fais peur.
Catarina recula. Magnus était encore à moitié drapé de son plaid, il n'y avait rien d'effrayant si ce n'était ses propos. Peut-être qu'il passait pour un fou. Mais il était persuadé d'avoir raison.
— Elle n'est pas morte, dit-il. Elle attend que je trouve une solution pour la ramener ! Les démons ne vivent pas dans cette dimension. La mort, c'est juste une autre forme de vie, une autre dimension et on a déjà vu par le passé qu'il est possible de voyager d'une dimension à une autre. Si je trouve un moyen de passer à travers cette dimension alors je pourrais la ramener !
— Oh Magnus...
Catarina ne comprenait pas. Les larmes dans ses yeux en attestaient, elle était trop ancrée au monde des humains.
— C'est comme des fréquences radio ! Elle est sur une fréquence que je n'arrive pas à capter pour le moment, mais quand j'y arriverai, tout ira bien !
Catarina parut faire un effort pour tenter de le comprendre, elle sourit, hocha la tête:
— Oui... Je comprends ce que tu veux dire. Je ne suis pas d'accord, mais je comprends.
Le soulagement l'emboutit si violemment qu'il recula d'un pas. Ses épaules se détendirent – il n'avait même pas eut conscience de les avoir crispé – son souffle ralentit, il se passa une main dans les cheveux.
— Tu comprends réellement ?
Catarina hocha la tête, une larme roula sur sa joue, elle l'essuya tout aussi vite:
— Oui, je comprends.
Les bras de la sorcière se refermèrent autour de son cou, elle le serra contre lui. Ébahi, Magnus l’étreignit en retour.
— Je vais t'aider, jura t-elle. Je veux juste que tu me promettes une chose ?
Catarina allait l'aider à la ramener... L'émotion manqua de suffoquer Magnus, il resserra fort ses bras autour d'elle.
— Oui, ce que tu veux.
— Promets-moi que personne ne sera blessé.
Magnus déglutit difficilement:
— Je le promets.




A suivre...


Dernière édition par Swato le Dim 17 Sep - 19:56, édité 2 fois
Maliae
Maliae
Piou piou piou piou piou piou piou piou piou piou
Messages : 1927
Date d'inscription : 30/07/2012

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MessageSujet: Re: shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1 shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1 Icon_minitimeDim 17 Sep - 8:41

OMG mais c'est sûr quelqu'un va être blessé, ça se sent gros comme un godzilla !

Purée, en tout cas, c'est tellement bien écrit wouah, on ressent toutes les émotions et tout, et je me suis même marrée ! Mais faut que Magnus lâche l'affaire, je comprends son raisonnement et pour ce que j'en sais il a peut-être pas tort, mais quand tu regardes FMA, tu sais que ce genre de trucs c'est jamais bon. Le mieux serait qu'il trouve quelqu'un d'immortel pour le consoler voilà :p
shadowhunters - pas de spoil - Six (step one) 1
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